Accueil > Dictionnaire > Définitions du mot « de trop »
De trop
[dœ tro]
Définitions de « de trop »
De trop - Locution adverbiale
-
En excès.
Lorsque les ressources deviennent de trop, l'efficacité se dilue.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
Qui dépasse le nombre ou la quantité exigée.
Quand la précision rencontre l'excès, chaque élément de trop devient une surcharge inutilisée.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
Inutile, superflu.
Tout ajout excessif finit par devenir de trop.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
Gênant, importun, indésirable.
Voyez passer en silence, chaque matin, ces étudiants tristes et mornes, dont le front est jauni, dont la démarche est lente et la voix basse ; on croirait qu’ils craignent de vivre et de faire un pas vers l’avenir. Qu’y a-t-il donc en France ? Un homme de trop.
— Alfred de Vigny, Cinq-Mars
Usage du mot « de trop »
Évolution historique de l’usage du mot « de trop » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « de trop » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Synonymes de « de trop »
Citations contenant le mot « de trop »
-
Deux fois : une fois de trop.
Ambrose Bierce — Le dictionnaire du diable -
Rien de trop. En tout la mesure.
Anonyme — Inscription du temple de Delphes -
La mort c'est un laisser-aller de trop.
Bernard Werber — L'Empire des Anges -
Trop de désirs naissent de trop de force.
André Chénier — Le jeu de paume -
Un mot de trop détruit toujours son intention.
Arthur Schopenhauer -
La dernière fois est toujours une fois de trop.
Réjean Ducharme — L'océantume -
Il est très malaisé de parler beaucoup sans dire quelque chose de trop.
Louis XIV — Instructions pour le Dauphin -
Pour savoir qu'un verre était de trop, encore faut-il l'avoir bu.
Georges Courteline