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Faire ses classes
[fɛr se klas]
Définitions de « faire ses classes »
Faire ses classes - Locution verbale
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(Militaire) Recevoir un enseignement militaire.
Faire ses classes, c'est apprendre les fondements du service militaire pour devenir opérationnel sur le terrain.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
(Par extension) Apprendre, recevoir un enseignement.
Ce n’est pas un hasard si Lansade a fait ses classes à Levallois-Perret chez les Balkany.
— Christophe Nobili, « Le copain de Marion Maréchal se prenait pour le Balkany de la Côte »
Étymologie de « faire ses classes »
Usage du mot « faire ses classes »
Évolution historique de l’usage du mot « faire ses classes » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « faire ses classes » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « faire ses classes »
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Ce poste de surveillante devait lui permettre de se faire un peu d’argent pour acheter une voiture. Il a en fait été un révélateur. « J’ai eu le déclic, moi qui ai toujours eu envie de travailler avec les gamins je voulais devenir conseillère principale d’éducation. Concours loupé de peu puis réussi, Claire Thirion est partie l’an dernier faire ses classes de CPE à Georges-de-la-Tour à Nancy. « J’y ai vu autre chose, un gros lycée, une grande ville, un gros internat. Ça a été une année très riche. »
Meuse. Lycéenne, surveillante et aujourd’hui CPE à Poinca à Bar-le-Duc -
Pendant deux siècles, le service militaire a touché toutes les familles et presque tous les Français. Il en sortait quelques expressions restées dans les mémoires comme : « Faire ses classes », « La corvée de chiottes » « La quille », « Le trois jours », « Les permissions » et bien d’autres plus ou moins grivoises. Si tout cela est étranger aux nouvelles générations, les plus de 40 ans s’en souviennent. Et pour cause, ils font partie des appelés du contingent. Ces Gardois n’ont pas oublié leur passage sous les drapeaux.
Objectif Gard — FAIT DU JOUR 20 ans après la suppression du service militaire, des Gardois se souviennent - Objectif Gard