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Fomite
Définitions de « fomite »
Fomite - Nom commun
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(Médecine) Objet inanimé pouvant véhiculer des agents infectieux tels que des bactéries, virus ou parasites.
fomite : Tout(e) objet inanimé ou substance capable de transporter des organismes infectieux (germes, parasites, etc.) et donc de les transférer d’un individu à un autre. — (Comité d’experts sur le virus de la grippe et l’équipement de protection respiratoire individuelle, La Transmission du virus de la grippe et la contribution de l’équipement de protection respiratoire individuelle — Évaluation des données disponibles, Conseil des académies canadiennes, Ottawa, 2007)
Étymologie de « fomite »
Du latin fomes, fomitis (« amadou, ce qui enflamme, qui propage le feu »).Usage du mot « fomite »
Évolution historique de l’usage du mot « fomite » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « fomite » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « fomite »
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En virologie, les fomites, ce sont les surfaces. Comme dans contamination par surface. Vous vous souvenez quand, en mars et avril 2020, on nettoyait nos cannes de thon, nos oranges et nos boîtes de céréales parce qu’on craignait de contracter le coronavirus en touchant le contenu de nos sacs d’épicerie ?
La Presse — Pour en finir avec les fomites | La Presse -
Et, lundi, nouvelle alerte : la Santé publique a averti (3) les écoles que chaque élève qui signe l’album de finissants doit avoir son propre crayon. Pas de partage, vade retro fomite !
La Presse — Pour en finir (encore) avec les fomites | La Presse -
En jargon médical, on appelle fomite un objet inanimé contaminé par un agent pathogène, dans notre cas le virus associé à la COVID-19, et qui peut ainsi transférer la maladie à d’autres personnes.
La Presse — Pourquoi frottons-nous encore autant ? | La Presse