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Haute noblesse
Définitions de « haute noblesse »
Haute noblesse - Locution nominale
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Partie de la noblesse qui a le plus d’ancienneté ou d’illustration.
« Héritiers d'un passé séculaire, la haute noblesse incarne l'élite aristocratique par son ancienneté et son prestige. »
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Usage du mot « haute noblesse »
Évolution historique de l’usage du mot « haute noblesse » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « haute noblesse » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « haute noblesse »
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La haute noblesse continua de garder la préférence pour les fonctions supérieures de la diplomatie et de l'armée comme pour la Maison du Roi
Lefebvre — Révolution française -
Les jonkers, ces nobles hollandais équivalents à nos écuyers, étaient souvent méprisés par la haute noblesse française, qui ne voyait en eux que des bourgeois enrichis.
Madeleine Delorme — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
En remontant plus en arrière, Jane Birkin descendait aussi « de Charles II d’Angleterre et de Charles Ier, d’Henriette de France, fille d’Henri IV et de Marie de Médicis. Par son père, elle avait une ascendance prestigieuse de la haute noblesse britannique : Ducs de Bedford, de Gordon, baron Middleton (sans lien avec l’épouse du prince William) et baron MacDonald, aux portraits peints par les plus grands peintres anglais du XVIIIe siècle… comme Jane fut immortalisée par les plus grands photographes de son temps. »
Le Télégramme — Jane Birkin, « Lady » à l’ascendance aussi prestigieuse que scandaleuse selon Hyacinthe de Keranrouë | Le Télégramme -
Le mouvement de centralisation autocratique qui caractérise le règne de Louis XIV eut pour conséquence un clivage important entre la cour et la haute noblesse d'une part, la petite bourgeoisie et le peuple, très diversifié langagièrement, d'autre part. En gros, le français des hautes classes, étant aussi le français littéraire prestigieux, se mit à bouger seul, dégagé de la lourdeur traditionnelle des parlers populaires.
Le Figaro.fr — L'obsolescence du français est programmée -
La haute noblesse du clergé catholique est due tout entière au célibat
Joseph de Maistre — Pape -
Mérite et naissance coexistaient, de même qu’élites anciennes et modernes. Il faut ainsi imaginer Versailles non comme un milieu figé dans ses privilèges, mais comme un creuset bigarré. Où gratter les parquets ou les papiers n’était pas humiliant. Bien au contraire puisque tout un chacun était assidu et attentif à plaire. Avec, peut-être, une ascension à la clef. Ainsi les valets de la privance du roi. Ces Nyert, Bontemps et Blouin officieusement aussi influents que des secrétaires particuliers et devant lesquels la plus haute noblesse pouvait s’effacer. Ils ont pu s’enrichir et même former des dynasties.
Atavist — Heureux comme un courtisan