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Juif errant
Définitions de « juif errant »
Juif errant - Locution nominale
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(Mythologie) Personnage imaginaire condamné à voyager jusqu’à la fin du monde.
Figure mythologique, le Juif errant symbolise l'éternel voyageur condamné à arpenter le monde sans répit.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle) -
(Figuré) (Familier) Celui qui change souvent de demeure, qui voyage sans cesse.
« Toujours en quête d'un nouvel horizon, le juif errant incarne l'âme du voyageur perpétuel. »
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « juif errant »
Usage du mot « juif errant »
Évolution historique de l’usage du mot « juif errant » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « juif errant » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « juif errant »
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Chacun façonnait le Juif errant en fonction du message qu’il voulait transmettre. C’est comme une grande auberge où l’on trouve ou apporte un peu tout ce que l’on veut.
Il était une fois... le Juif errant - The Times of Israël -
Le Juif errant est un homme multiple, un homme-monde qui a le redoutable privilège d’être affranchi et des limites de l’espace et de celles du temps. Seul véritable cosmopolite, il est aussi le seul homme qui a le droit de dire à l’humanité : je suis vous. Je suis votre passé, votre présent et votre avenir. Je suis le dépositaire en marche de votre expérience. Plus que cela, je suis l’incarnation de l’absurde même qui caractérise l’existence. Votre existence.
AlterPresse | Haïti-Culture : Le juif errant, du mythe à la figure carnavalesque -
Il était comme le Juif errant : il ne pouvait demeurer en place
auteur -
La légende du Juif errant est le symbole des plus hautes aspirations de l'humanité, condamnée à marcher toujours sans connaître le repos.
Georges Sorel