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Mobilité douce
[mɔbilite dus]
Définitions de « mobilité douce »
Mobilité douce - Locution nominale
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Fait de favoriser l'utilisation de transports alternatifs, notamment à la voiture, moins polluants pour l'environnement, comme les transports en commun.
La mobilité douce, c'est repenser nos trajets pour un avenir moins polluant.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « mobilité douce »
- Composé de mobilité et de douce.
Usage du mot « mobilité douce »
Évolution historique de l’usage du mot « mobilité douce » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « mobilité douce » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « mobilité douce »
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«Ça commence à bien faire! explose le député UDC Stéphane Florey. En matière de transports, il faut tout reprendre à zéro.» Via un projet de loi qu’il vient de déposer, l’élu propose de purement et simplement supprimer la loi cantonale pour une mobilité cohérente et équilibrée (LMCE), acceptée par 68% des Genevois en 2016. Cette dernière règle la cohabitation entre les différents modes de déplacement. Elle impose notamment la priorité aux bus et la mobilité douce dans les centres urbains.
20 minutes — Genève – Priorité aux bus et à la mobilité douce: l’UDC veut tout bazarder - 20 minutes -
Le projet prévoit la construction de nouvelles rampes circulaires pour accéder à l'A6. Les rampes seront allongées. Cela permettra de désenchevêtrer les différents flux de trafic sans perturber le réseau routier secondaire. La mobilité douce sera également promue.
Autoroute: plus de 660 millions pour désengorger l'entrée de Berne -
Le matin à Louviers est rythmé par le passage du cyclo-bus, symbole d'une mobilité douce et conviviale.
Camille Dubois — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Dans un monde où la mobilité douce devient essentielle, la vélostation symbolise le point de jonction entre écologie et praticité urbaine.
Jean Dupont — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
L’association « Ensemble en transition pour Plouharnel » a élu quatre coprésidents : Ronan Arhuro, Mathilde Artaud Mangez, Céline Delhaye-Joviado, Julien Gosse. Emmanuelle Jouando a été élue trésorière. Un secrétariat tournant sera mis en place. Une réunion mensuelle ouverte aux Plouharnelais qui souhaitent participer aux réflexions et projets portés, a été décidée. La prochaine aura lieu le 3 novembre. Les premiers sujets qui seront abordés seront la mise en place du « drive des producteurs locaux », la mobilité douce et des projets à destination des jeunes autour de l’éducation environnementale.
Le Telegramme — Plouharnel - Quatre coprésidents pour « Ensemble en transition pour Plouharnel » - Le Télégramme -
Revitaliser les rives du canal de la Suze pour inciter à la flânerie au cœur de la cité, tel est l’ambition du projet présenté par les autorités biennoises. Le projet choisi parmi dix est celui du bureau d’architecture paysagère genevois apaar. Il privilégie la mobilité douce et la biodiversité. Son nom? «Canal éponge».
Le Matin — Mobilité - Des quais végétalisés: Genève s’invite à Bienne - Le Matin -
Bien sûr il y a l’Écusson piétonnisé. Et quelques faubourgs aux larges trottoirs. Pour autant, l’association Montpellier à pied, créée en 2016, ambitionne d’inscrire durablement ce mode de mobilité douce dans le paysage urbain local. "Nous relançons l’association depuis quelques mois avec, désormais, une trentaine d’adhérents" résume Jérôme Laval, l’un des cofondateurs et actuel président. "L’idée est de faire la promotion de la marche comme moyen de déplacement en ville. Et, donc, d’une prise en compte de la marchabilité dans l’aménagement de la ville."
midilibre.fr — L’association Montpellier à pied veut s’inscrire dans le paysage urbain - midilibre.fr -
La Ville de Sarlat participe également à ce retour à la mobilité douce : elle a mis en place un dispositif d’aide à l’achat d’un vélo à assistance électrique à hauteur de 100 euros. Au dernier Conseil municipal, l’élu de l’opposition Basile Fanier a suggéré que cette aide s’étende à l’achat de vélos non électriques, puisque tout le monde n’a pas le budget pour rouler sans se faire les mollets.
SudOuest.fr — Dordogne : à Sarlat, tout roule pour le vélo électrique