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Monoxyde de carbone
[mɔ̃ɔksid dœ karbɔn]
Définitions de « monoxyde de carbone »
Monoxyde de carbone - Locution nominale
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(Chimie) (Indénombrable) Forme la plus réduite de la combinaison entre le carbone et l’oxygène ; de formule chimique CO.
«Ce serait dommage pour l'activité de la pêche blanche qu'il y ait un décès lié au monoxyde de carbone», a poursuivi M. Tremblay.
— Jean Houle, Hausse des intoxications au monoxyde de carbone au Saguenay–Lac-Saint-Jean
Étymologie de « monoxyde de carbone »
Usage du mot « monoxyde de carbone »
Évolution historique de l’usage du mot « monoxyde de carbone » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « monoxyde de carbone » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « monoxyde de carbone »
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Le regard fixe, le teint grisâtre, la victime d'une intoxication au monoxyde de carbone présente un taux alarmant de carboxyhémoglobine dans le sang : une signature chimique mortelle, souvent fatale au-delà de 70%.
(Citation fictive) -
Ce procédé est actuellement principalement utilisé lors de la synthèse de l’ammoniac pour éliminer le monoxyde et le dioxyde de carbone en les valorisant. La méthanation permet également de valoriser du « syngas », mélange d’hydrogène, de monoxyde de carbone et de dioxyde de carbone que l’on obtient notamment par gazéification du charbon.
Connaissance des Énergies — Définition de la méthanation : procédé, applications, différence avec la méthanisation -
Dans la foulée, il a aussi été condamné à démolir la serre biothermique qu'il avait érigée il y a quinze ans et qui lui permet, selon le Département de l'énergie, d'économiser chaque année 2,3 tonnes de rejet de monoxyde de carbone dans l'atmosphère.
Tribune de Genève — dimanche 22 février 2009 -
Si les conséquences nocives de la cigarette ne sont plus à prouver, la vapoteuse s’avère « beaucoup moins dangereuse » pour la santé que la cigarette, selon cette étude. La cigarette contient effectivement du monoxyde de carbone et du goudron. Or, en France la certification Afnor, qui contrôle la composition des liquides utilisés dans les cigarettes électroniques, limite strictement les ingrédients : de la glycérine végétale, le propylène glycol (solvant organique), de l’eau, parfois de l’alcool ou de la nicotine, et des arômes. « C’est pour ça que la vapoteuse française, c’est une bonne vapoteuse », insiste Alice Denoize.
La Croix — Tabac : la vapoteuse, moins dangereuse que la cigarette mais pas « inoffensive » -
Le chlorophytum est un végétal aux pouvoirs dépolluants extraordinaires. Ses feuilles ont la capacité d’absorber les polluants en très grande quantité. Cette plante lutte contre le toluène (présent dans les solvants), le monoxyde de carbone ou encore le benzène. À caser dans une salle d'eau ou en cuisine.
Plantes dépolluantes : les cinq plantes dépolluantes les plus efficaces - Elle Décoration -
Ce conseil est déjà mis en pratique par Dominic Tremblay, un pêcheur qui installe sa cabane à L'Anse-à-Benjamin depuis une dizaine d'années. Avec son système de poêle à bois, son chauffage au propane et sa génératrice, installer un détecteur de monoxyde de carbone lui semblait incontournable.
Jean Houle — Hausse des intoxications au monoxyde de carbone au Saguenay–Lac-Saint-Jean -
« Dans un premier temps, nous avons testé ces trois plantes, car ce sont les plus répandues chez les particuliers, explique Joëlle Colosio, chef du service d’évaluation de la qualité de l’air à l'Ademe. De même, nous avons choisi les trois substances chimiques les plus fréquemment relâchées par les produits, meubles et autres aménagements de la vie quotidienne : le formaldéhyde, le benzène et le monoxyde de carbone », poursuit la physico-chimiste.
Denis Sergent — Ces plantes qui nettoient l’air de nos maisons -
Le pneumatophore contient un mélange de monoxyde de carbone et d’air, lui conférant sa capacité de flottabilité. Sa partie supérieure, semblable à une voile, est utilisée par la Physalie pour se déplacer en se laissant porter par le vent. En cas de danger, elle peut éjecter l’air contenu dans son pneumatophore par un pore, lui permettant de s’immerger brièvement.
Media24.fr — Les Physalies : Invasion mystérieuse sur nos plages Françaises