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Navettage
[navɛtaʒ]
Définitions de « navettage »
Navettage - Nom commun
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Déplacement quotidien entre le domicile et le lieu de travail, d'étude ou d'activité.
Sur la ville de Baltimore, les auteurs obtiennent un navettage excessif moins important (58 %) qu’avec l’emploi de la « méthode monocentrique ».
— Florian Vanco, Formes urbaines et durabilité du système de transports
Étymologie de « navettage »
Dérivé de navette avec le suffixe -age, sur le modèle de navetteur.Usage du mot « navettage »
Évolution historique de l’usage du mot « navettage » depuis 1800
Citations contenant le mot « navettage »
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« On ne bâtit pas une société forte avec des gens qui entrent et qui sortent continuellement. Je n’aime pas le navettage, le fly-in fly-out », a-t-il dit, sans fixer d’objectif précis pour corriger la situation, qui n’a rien de nouveau.
Le Devoir — François Legault veut peupler le nord du Québec et réduire le «fly-in fly-out» | Le Devoir -
Pour attirer et retenir la main-d’œuvre, le candidat considère que les employeurs ont une responsabilité pour favoriser l’accès à la propriété de leurs employés et réduire ainsi le navettage.
Le Manic — Cyrille Boucher vise le poste de préfet - Le Manic -
Le taux de navettage régional le plus élevé en 2020 a été enregistré en Belgique, où 21 % des salariés ont franchi une “frontière” régionale pour se rendre au travail. Les déplacements domicile-travail étaient également relativement courants aux Pays-Bas (13 %), ainsi qu’en Lituanie, en Allemagne, en Autriche (11 %) et au Danemark (10 %).
Les Frontaliers — Les frontaliers, champions d'Europe des navetteurs ! | Les Frontaliers -
Concrètement, MKKM a identifié et mesuré précisément ses sources d’émissions de gaz à effet de serre. Cette évaluation englobe toutes les sources d’émissions liées directement ou indirectement à l’activité de l’agence : énergie, activités, véhicules de société, déchets, navettage des salariés, etc.
MKKM devient la première agence digitale 100% compensée carbone -
« Chez nous aussi, les prix restent élevés, même si Air Creebec essaie de faire du mieux qu’elle peut et qu’elle profite davantage des tarifs de navettage des sociétés minières de la région. Il faut payer plus de 900 $ pour un aller-retour Chibougamau-Montréal », souligne Mme Cyr.
La Presse — L’œuf ou la poule du transport aérien régional | La Presse