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Okinawaïen
[ɔkɛ̃awaiɑ̃]
Définitions de « okinawaïen »
Okinawaïen - Adjectif
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Qui se rapporte à la région d'Okinawa, son peuple, sa culture ou ses particularités, notamment en matière de cuisine et de mode de vie.
Semi-végétarienne, la cuisine okinawaïenne fait la part belle aux plantes de l’archipel, le goya (concombre amer aux propriétés antidiabétiques), la patate douce, riche en vitamine E, le getto (de la famille du gingembre, ses feuilles regorgent de resvératrol, un antioxydant), le shikuwasa, un agrume aux vertus anti-inflammatoires. Et les produits de la mer : poissons, calmars, coquillages, algues.
— Clément Imbert, Japon : les secrets de santé des centenaires d'Okinawa
Usage du mot « okinawaïen »
Évolution historique de l’usage du mot « okinawaïen » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « okinawaïen » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « okinawaïen »
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Le contenu de l'assiette des Okinawaïens a été popularisé grâce aux études observatoires du cardiologue-gérontologue Makoto Suzuki dans les années 1970. "Les centenaires ne se nourrissent pas de produits transformés, riches en sels cachés, mangent peu de viande et de produits laitiers, rapporte Sybille Naud, diététicienne nutritionniste et co-auteure du Régime Okinawa (1). Ils privilégient les légumes de saison, sources de fibres, de vitamines et pauvres en calories, et les poissons, riches en graisses insaturées et polyinsaturées, essentielles pour la santé cardiovasculaire."
Madame Figaro — Le secret du régime Okinawa, l'alimentation prisée par les centenaires japonais -
Je soulignais un peu plus haut, au sujet du régime okinawaïen, l’importance de la réduction des protéines animales : une étude de 2008 souligne qu’une restriction calorique marquée par une plus faible consommation de protéines animales permet de faire baisser l’IGF-1, un facteur de croissance dont un fort taux circulant est associé à un plus fort risque de cancer[9].
Alternatif Bien-Être — Manger moins et vivre plus longtemps : une étude le confirme - Alternatif Bien-Être