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Parlable
[parlabl]
Définitions de « parlable »
Parlable - Adjectif
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(Québec) (Ontario) Familier. Se dit d'une personne avec qui il est possible de dialoguer, qui est ouverte à la discussion et aux arguments des autres, souvent utilisé négativement pour signifier l'opposé.
Quand y sont arrivés dans son bureau, y’était aussi parlable qu’un trou de cul !
— Michel Marc Bouchard, Les porteurs d’eau -
(Rare) Qui peut être exprimé ou formulé verbalement.
Or pour vivre librement sa sexualité, il est indispensable de pouvoir la penser, et pour qu’une chose soit vraiment pensable, il faut qu’elle soit parlable.
— Didier Dumas, Et si nous n’avions toujours rien compris à la sexualité ?
Étymologie de « parlable »
Dérivé de parler, avec le suffixe -able. Le mot québécois date de la deuxième moitié du XXe siècle.Usage du mot « parlable »
Évolution historique de l’usage du mot « parlable » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « parlable » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « parlable »
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«Si le gouvernement est parlable, le Bloc québécois sera parlable, sauf s’il s’agit de passer davantage de pétrole à travers le Québec», a lancé Yves-François Blanchet devant quelques centaines de militants enthousiastes au Théâtre National, rue Sainte-Catherine, tard lundi soir.
Le Devoir — Le Bloc québécois a visé juste | Le Devoir -
Ce fut une époque de grande liberté. Pas de dirigisme, encore moins de censure. Tous les genres littéraires étaient respectés, le roman, l’essai, la poésie. Naïm était « parlable », attentif et généreux. Et le Conseil des arts était apolitique, traitait tout le monde également.
Le Devoir — Merci, Naïm Kattan | Le Devoir -
« Quand j’ai appris la nouvelle ce matin, je n’étais pas le gars le plus parlable. J’avais tellement hâte à mes débuts avec les Remparts. J’avais joué un bon premier match et ensuite je joue une période et c’est terminé pour six semaines. C’est décevant, mais d’un autre côté, le positif est qu’à mon retour il restera encore un mois avant les séries. En plus, je vais revenir devant des partisans. »
Le Journal de Québec — Remparts: fracture au pied pour Conor Frenette | JDQ