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Pavot somnifère
[pavo sɔmnifɛr]
Définitions de « pavot somnifère »
Pavot somnifère - Locution nominale
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(Botanique) Sorte de pavot.
Le pavot somnifère, clé de voûte des cultures opiacées, incarne à la fois un trésor médicinal et un défi mondial.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « pavot somnifère »
Usage du mot « pavot somnifère »
Évolution historique de l’usage du mot « pavot somnifère » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « pavot somnifère » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « pavot somnifère »
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L'opium est le latex blanc et liquide obtenu par incision du pistil du pavot somnifère (Papaver somniferum). En séchant, cette substance forme une résine brune. Connue pour ses pouvoirs sédatifs, elle fait l'objet d'un commerce depuis la haute Antiquité. Les boulettes d'opium peuvent être avalées, bues en dé coction ou fumées à l'aide d'une pipe.
LExpress.fr — L'opium dans tous ses états - L'Express -
La teneur en composés méconiques donnait au pavot somnifère sa teinte distinctive, une nuance rougeâtre attrayante qui contrastait fortement avec le vert de ses feuilles.
(Citation fictive) -
Le pavot somnifère se rencontre dans les montagnes asiatiques et est également assez commun en Europe, y fréquentant les mêmes terrains calcaires que le coquelicot : ce sont des plantes dites calcicoles.
Techno-Science.net — 🔎 Pavot somnifère - Définition et Explications -
L’opium recèle mille trésors. Ou mille poisons, c’est selon. Ce latex, récolté par incision des boutons de pavot somnifère avant qu’ils n’atteignent leur maturité, contient de nombreuses molécules. Ils ont des propriétés narcotiques (elles endorment), antalgiques (antidouleur) et antitussives (contre la toux) bien connues. À commencer par la célèbre morphine. Il est possible, par des réactions chimiques, d’obtenir d’autres molécules opiacées, aussi appelées opioïdes, à partir de ces composés naturels. L’acétylation de la morphine donne par exemple l’héroïne. Cette dernière pénètre plus facilement dans le cerveau où elle se retransforme d’un coup en morphine, provoquant un afflux brutal de molécules. C’est ce qui déclenche chez l’utilisateur ce «flash» orgasmique tant recherché.
Les dérivés de l’opium, des molécules antidouleur au potentiel addictif très fort