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Plasticité cérébrale
[plastisite serebral]
Définitions de « plasticité cérébrale »
Plasticité cérébrale - Locution nominale
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(Médecine) Processus de modification du cerveau au cours de sa genèse ou d’un apprentissage.
La plasticité cérébrale, cette capacité de remodelage et d’adaptation de notre cerveau, est parfois étonnante
— Florence Rosier, Stimulé
Étymologie de « plasticité cérébrale »
- Composé de plasticité et de cérébrale.
Usage du mot « plasticité cérébrale »
Évolution historique de l’usage du mot « plasticité cérébrale » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « plasticité cérébrale » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « plasticité cérébrale »
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De même, l’idée que l’on pourrait apprendre en dormant – « l’hypnopédie » – est farfelue. Les expériences révèlent que, s’il semblerait que l’on puisse reconnaître au réveil des bruits entendus pendant que nous dormions, nous ne pouvons pas restituer les mots, et encore moins les phrases. Ces neuromythes, et ils sont nombreux, vendent du rêve, l’idée que nos capacités cérébrales seraient sans limite. Nous n’avons pas besoin d’eux pour admirer le fonctionnement de notre cerveau. C’est notamment grâce à la plasticité cérébrale que l’on peut continuer à apprendre à tout âge !
Reforme.net — Neuromythes, déjà-vu et amnésie : la mémoire dans tous ses états - Reforme.net -
L’Institut de l’audition dirigé par le professeur Christine Petit à Paris a pour mission d’apporter une compréhension globale des dysfonctionnements du « cerveau auditif » qui fait le lien entre plasticité cérébrale et restauration auditive. Il est question de malentendance, de surdité, mais aussi d’acouphènes – des bruits que l’on entend sans qu’ils aient été émis par une source extérieure –, d’hyperacousie – sensation de douleurs à l’acuité auditive – et des risques de la musique compressée.
SudOuest.fr — Santé auditive : « les oreilles ont besoin de fenêtres silencieuses »