Accueil > Dictionnaire > Définitions du mot « prédatrices »
Prédatrices
Définitions de « prédatrices »
Prédatrices - Forme de nom commun
-
Femmes ou animaux de sexe féminin qui chassent et capturent d'autres organismes pour se nourrir.
Dans le règne naturel comme dans la société, les prédatrices avancent avec une détermination affûtée, traquant leur proie avec une expertise instinctive.
— (Citation fictive)
Expressions liées
- Oiseau prédateur (oiseau de proie)
-
Petit prédateur
Si l'on observe attentivement les mares boueuses, on peut apercevoir l'hygrobie, ce petit prédateur qui nous rappelle que chaque goutte d'eau abrite son propre univers.
— Gérard de Verneuil, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Usage du mot « prédatrices »
Évolution historique de l’usage du mot « prédatrices » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « prédatrices » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « prédatrices »
-
Mais, dans une revue prédatrice, les critères de publication ne répondent pas aux exigences scientifiques requises habituellement. Attention, la frontière est parfois fine entre des revues prédatrices et des revues de qualité discutable ; certaines appartenant à des grands groupes d’édition scientifique acceptent de publier des articles ayant été refusés par des revues plus prestigieuses appartenant à ces mêmes groupes pour en tirer des profits financiers.
Le Monde.fr — Comment bien lire et comprendre une étude scientifique -
Jeudi 25 juin 2020 ((rezonodwes.com))– Coup de grâce, à la lecture surprise de cette récente disgrâce de vouloir thésauriserarbitrairement l’argent fort au détriment de l’agent économique moyen, la Banquecentrale 1 ne ménage pas ses gestions décisionnelles crabes et prédatrices pour appauvrir les poches, les assiettes et donc vulnérabiliser les cœurs, les têtes et les poumons de l’économie.
Rezo Nòdwès — Prof Carly Dollin : La BRH, impotente et complice dans la déchéance économique ! | Rezo Nòdwès -
Si les chrysopes adultes sont végétariennes (elles se nourrissent de pollen et de miellat), les larves, elles, sont prédatrices de nombreux petits insectes ou de leurs oeufs : elles font partie des insectes auxiliaires au jardin, comme la coccinelle, le gendarme, l'araignée (qui n'est pas un insecte), le staphylin, le syrphe ou le carabe. Leurs proies préférées sont les pucerons (une larve de chrysope peut consommer 500 pucerons au cours de son développement) mais si ceux-ci viennent à manquer, elles mangent des acariens (30 à 50 araignées rouges englouties par jour !), des cochenilles, des aleurodes, des thrips, des psylles...
La chrysope, un insecte auxiliaire bien utile -
Comme le sphyrène qui danse avec les reflets du soleil, nos âmes prédatrices se cachent souvent derrière des sourires étincelants.
Claire Fontaine — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
«Pendant une décennie, Publicis a aidé des fabricants d’opiacés comme Purdue Pharma à convaincre les médecins de surprescrire des opiacés, alimentant directement la crise et causant la disparition de populations dans l’ensemble du pays», a relevé Letitia James, citée dans le communiqué. Elle estime que Publicis a «développé des stratégies de marketing prédatrices et trompeuses pour Purdue Pharma de façon à augmenter les prescriptions et les ventes d’opiacés». Selon elle, l’agence de publicité a créé des prospectus décrivant l’OxyContin comme un traitement «sûr et incapable d’entraîner un usage abusif».
Publicis, géant français de la publicité, va payer 350 millions de dollars aux Etats-Unis pour son rôle dans la crise des opiacés - Le Temps -
Taxer les superprofits, proposition commune du PCF et des forces qui composent la Nupes, devient une nécessité, premier jalon de la remise en cause des logiques prédatrices des actionnaires.
L'Humanité — Ne payons pas le prix fort | L'Humanité -
Je constate en permanence la confusion entre revue à facteur d’impact (attribué par Clarivate) et qualité d’une revue : la naïveté de certains collègues est étonnante… Confusion aussi entre avoir obtenu un facteur d’impact et introduction, grâce à ce facteur d’impact, dans des listes dites positives de revues non prédatrices… Les revues prédatrices deviennent professionnelles et fonctionnent mieux : il est normal de leur attribuer un facteur d’impact car elles remplissent les 28 critères pour être accepté par Clarivate. Les revues de faible qualité ont gagné ! Elles plaisent à beaucoup de chercheurs.
Rédaction Médicale et Scientifique — Le facteur d'impact est attribué aux revues qui répondent à 28 critères, aucun sur la qualité des articles | Rédaction Médicale et Scientifique -
Le rapport évalue à 15 000 le nombre de revues prédatrices, et la traduction en plusieurs langues traduit l’inquiétude justifiée de l’IAP. En page 6 de la synthèse en français : Les pratiques prédatrices se diversifiant et devenant de plus en plus sophistiquées, il est de plus en plus difficile d’identifier, de suivre et de surveiller les revues et les conférences prédatrices, et de les distinguer en toute confiance de celles qui sont frauduleuses, mal financées ou de piètre qualité.
Rédaction Médicale et Scientifique — Le réseau des Académies (IAP) lutte contre les revues prédatrices : sont-ils seuls ? | Rédaction Médicale et Scientifique