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Preuve de travail
Définitions de « preuve de travail »
Preuve de travail - Locution nominale
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(Informatique) Résultat d’une tâche fortement consommatrice de ressources de calcul, dont l’exactitude est facilement vérifiable par tout participant et atteste que cette tâche a bien été effectuée en consommant les ressources nécessaires.
En informatique, la preuve de travail démontre par ses exigences énergétiques une validation sécurisée et vérifiable par tous.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Preuve de travail - Définition de France Terme
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Résultat d’une tâche fortement consommatrice de ressources de calcul, dont l’exactitude est facilement vérifiable par tout participant et atteste que cette tâche a bien été effectuée en consommant les ressources nécessaires.
Notes : La preuve de travail est notamment employée pour contribuer à l’établissement de la confiance des utilisateurs en une cybermonnaie, la fraude étant découragée par la difficulté de la validation de bloc.
Étymologie de « preuve de travail »
Usage du mot « preuve de travail »
Évolution historique de l’usage du mot « preuve de travail » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « preuve de travail » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « preuve de travail »
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Cela faisait des années qu’ils en parlaient, et sera peut-être bientôt chose faite : l’Ethereum va abandonner la proof of work (preuve de travail, en français). À la place, la blockchain utilisera la proof of stake (preuve d’intérêt ou preuve d’enjeu) pour le minage des nouvelles pièces.
Numerama — L’Ethereum va passer à la « proof of stake » : tout comprendre à cette révolution dans les cryptomonnaies - Numerama -
Il n'existe pas de mesure précise du hashrate des réseaux qui utilisent la preuve de travail, mais seulement des estimations, comme celles fournies par les sites Blockchain.com (pour Bitcoin) et Etherscan (pour Ethereum).
Cryptoast — Qu'est-ce que le hashrate, ou taux de hachage ? -
Dans un réseau décentralisé, il est difficile de valider les choses. C’est pourquoi de nombreuses premières crypto-monnaies utilisaient un concept de preuve de travail. Ceci, en un mot, nécessitait une quantité massive de calculs mathématiques et de résolution de problèmes, effectués par des individus appelés «mineurs», pour valider les transactions.
Tech Tribune France — Comment La Preuve De Participation élargit Le Monde De La Cryptographie Pour Les Investisseurs - Tech Tribune France -
Le nœud récompensé est choisi par le procédé de « la preuve de travail » (proof of work, POW). Il s’agit d’un concours de calcul où pour l’emporter il faut disposer d’une bonne capacité à calculer la fonction SHA256, fonction mathématique utilisée couramment en informatique. Si vous disposez d’une puissance de calcul du SHA256 égale à 10 % de la puissance de calcul cumulée de tous les validateurs, vous gagnerez avec une probabilité de 10 % à chaque nouvelle attribution.
ID4D — Bitcoin, le grand gâchis d’énergie -
Cette méthode « preuve de travail » est la « marque de fabrique » du Bitcoin, explique à 20 Minutes Nathalie Janson, professeure associée d’économie l’école de commerce Neoma. C’est cette méthode qui fait « que certains pensent que le Bitcoin est supérieur » aux autres cryptomonnaies.
Le Bitcoin interdit dans l’UE ? On fait le point sur cette inquiétude, née d’une proposition suédoise