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Ramoneuse
[ramɔ̃œs]
Définitions de « ramoneuse »
Ramoneuse - Nom commun
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Personne exerçant la profession de nettoyer les cheminées.
Audile Schaubel, ramoneuse de cheminées, est qualifiée aristocrate enragée ; son mari est émigrée.
— Ludovic Sciout, Histoire de la constitution civile du clergé (1790-1801 -
(Technologie) Appareil conçu pour le nettoyage des cheminées et des conduits.
Toutefois, l’achat d’une ramoneuse peut être coûteux, selon la hauteur ou la saleté de votre cheminée.
Étymologie de « ramoneuse »
Dérivé de ramoner, avec le suffixe -euse.Usage du mot « ramoneuse »
Évolution historique de l’usage du mot « ramoneuse » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « ramoneuse » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « ramoneuse »
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Pour prévenir les départs de feu dans les moyens de chauffage, notamment les cheminées, le ramonage de ces dernières est obligatoire chaque année. Dans le Lot, rencontre avec une ramoneuse dont une importante part de son activité est de vérifier pour l'hiver les installations du secteur.
France 3 Occitanie — Face au risque de départ de feu, les particuliers dans l'obligation de ramoner leur cheminée -
Brianna Smith fait mentir cette affirmation. La jeune femme est probablement la seule ramoneuse en Estrie, si ce n’est pas au Québec.
La Tribune — Brianna Smith, métier ramoneuse -
Marie, ramoneuse et professionnelle jusqu’au bout des ongles. © PO
Pontchâteau. Ramoneuse dans un milieu d’homme - Nantes.maville.com -
Charlène Le Corvec vient de s'installer à son compte en tant que ramoneuse sur la commune de Plumelin.
actu.fr — A Plumelin, Charlène s'installe comme ramoneuse | La Gazette du Centre Morbihan -
Des grands yeux verts pétillants et un sourire contagieux, Sophie Francey, de Noréaz, 19 ans, fraîchement diplômée (CFC), est une «ramoneure» heureuse, un terme qu’elle préfère à ramoneuse qu’elle trouve peu élégant. Loin des clichés de l’homme taciturne que l’on imagine parfois, la jeune fille, charmante et féminine, évolue à son aise au sein de ce milieu. Un métier que l’on attribuerait pourtant plus volontiers aux hommes. Au niveau cantonal, elle est ainsi la deuxième femme à exercer cette profession.
Femme ramoneur, les clichés au feu - La Liberté