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Réflexe stapédien
[reflœks stapedjɛ̃]
Définitions de « réflexe stapédien »
Réflexe stapédien - Locution nominale
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(Médecine, Physiologie) Contraction du muscle de l’étrier de l’oreille moyenne, visant à atténuer le niveau d’intensité des sons transmis à l’oreille interne.
Le réflexe stapédien agit comme un bouclier acoustique, protégeant l'oreille interne des agressions sonores excessives.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « réflexe stapédien »
Usage du mot « réflexe stapédien »
Évolution historique de l’usage du mot « réflexe stapédien » depuis 1800
Citations contenant le mot « réflexe stapédien »
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Cela a à voir avec un réflexe appelé le « réflexe stapédien ». Quand il y a un bruit fort autour de vous, il y a, dans vos oreilles chéries, deux tout petits muscles, dont le muscle stapédien, qui se contractent, pour vous protéger, en atténuant le niveau du son transmis à l’oreille interne. Il est sympa, ce petit muscle ! Et il se déclenche normalement, tout seul, au-dessus de...
France Bleu — Pourquoi le crissement d’une craie sur un tableau est peut-être le bruit le plus insupportable ? -
Intérêt de l’examen L’impédancemètre est un appareil qui permet d’apprécier le fonctionnement du tympan (tympanométrie) et des osselets (réflexe stapédien). L’impédancemétrie explore la surdité de transmission.
Medisite — Impédancemétrie -
Le réflexe stapédien est un mécanisme de défense qui fait en sorte que les muscles de l’oreille se raidissent lorsqu’ils détectent une source sonore trop forte, empêchant le son d’entrer.
La Presse — Son compressé | Notre musique nous rend-elle sourds ? | La Presse -
Le muscle de l'étrier est mis sous tension lors d'une stimulation auditive intense, de façon réflexe : c'est le réflexe stapédien dont le rôle est de protéger l'oreille interne des trop fortes agressions. Ce réflexe est bilatéral.
Le Figaro Santé — Impédancemétrie : informations et actualités -
L'existence du réflexe stapédien est un exemple d'un tel cheminement évolutif. Ce réflexe qui se produit grâce au muscle stapédien qui diminue la mobilité de l'étrier, un des osselets de l'oreille moyenne, pour atténuer l'amplitude des ondes sonores, quand celles-ci sont trop intenses. De même, si un bruit neuronal existait de façon persistante depuis les premiers stades évolutifs de l'apparition du système nerveux, on pourrait alors imaginer que l'évolution a pu trouver divers moyens pour en diminuer l'intensité de façon à rendre plus efficace le codage des informations.
Agence Science-Presse — Le bruit neuronal et ses éventuelles conséquences | Agence Science-Presse