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Retard de langage
[rœtar dœ lɑ̃gaʒ]
Définitions de « retard de langage »
Retard de langage - Locution nominale
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(Médecine) Décalage chronologique et lenteur de l’apparition des premières productions verbales et de la réalisation des différentes étapes de développement du langage oral.
Le retard de langage se manifeste par une lenteur dans l'acquisition des compétences verbales essentielles au développement.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « retard de langage »
Usage du mot « retard de langage »
Évolution historique de l’usage du mot « retard de langage » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « retard de langage » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « retard de langage »
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Le retard de langage n’est pas classé systématiquement comme un signe de mutisme, car chaque enfant se développe à un rythme qui lui est propre, mais tout retard de langage nécessite une consultation auprès d’un prestataire de santé.
camer.be — Actualités Monde entier :: RETARD DU LANGAGE CHEZ L’ENFANT : MÈRES, PARLEZ À VOS BÉBÉS DÈS LA GROSSESSE ! :: World news -
Grâce à une étude collaborative internationale impliquant une équipe de recherche du laboratoire Physiologie moléculaire et adaptation - PhyMA (Muséum national d’Histoire naturelle – CNRS), une corrélation établie entre un retard de langage chez des enfants et leur exposition à des polluants chimiques communs (perfluorés, bisphénol, phtalates) pendant la grossesse, a pu être validée expérimentalement grâce à des modèles cellulaires et in vivo. Cet article parait le 18 février dans la revue Science. Il ouvre la voie à une nouvelle stratégie d'évaluation des risques.
CNRS — L’exposition à un mélange de perturbateurs endocriniens pendant la grossesse a des effets sur le bon fonctionnement du cerveau des enfants | CNRS