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Rivaner
[rivane]
Définitions de « rivaner »
Rivaner - Nom commun
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(Viticulture) Cépage blanc résultant d'un croisement entre le riesling B et la madeleine angevine N, officiellement désigné en France sous le nom de müller-thurgau. Cultivé sur plus de 1000 hectares en France et 3000 en Allemagne.
Le rivaner, fruit d'une alliance entre riesling et madeleine angevine, s'épanouit sur les terroirs français et allemands, révélant la richesse d'un patrimoine viticole transfrontalier.
— (Citation fictive) -
(Par métonymie) Vin blanc produit à partir du cépage müller-thurgau.
Le rivaner, quintessence du cépage müller-thurgau, offre une harmonie entre fraîcheur et finesse, captivant le palais par sa simplicité élégante.
— (Citation fictive)
Étymologie de « rivaner »
De riesling et de sylvaner, car son obtenteur pensait avoir croisé ces deux cépages.Usage du mot « rivaner »
Évolution historique de l’usage du mot « rivaner » depuis 1800
Citations contenant le mot « rivaner »
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Le Rivaner, vous connaissez ? Ce serait un cépage qui aurait pour origine un croisement entre le riesling (cépage roi en Allemagne) et la madeleine royale, une variété qu’on appelle souvent sylvaner. C’est surtout un très joli vin blanc. Légèrement perlant en attaque. De bonne densité en bouche. Des flaveurs de fruits blancs, de fleur et de miel avec une impression saline en finale. Belle découverte.
Le Journal de Montréal — Savoir reconnaître le bon vin | Le Journal de Montréal -
Le rivaner semble perdre irrémédiablement de la vitesse au Luxembourg, le pays qui lui a pourtant donné son nom ! Une injustice que le concours organisé par la Confrérie Saint-Cunibert tente de combattre. Mais le crédit est à remettre aux vignerons qui travaillent avec passion un cépage qui mérite bien mieux que son image.
Le Quotidien — [Concours Gëlle Krëmmchen] Le Rivaner, « un vin de plaisir » -
Les quantités brutes, c’est bien, mais il convient également de prendre en compte la valeur des raisins. Et là, les vignerons ont été plutôt vernis. En effet, les deux cépages qui ont le plus souffert sont l’elbling et le rivaner, les deux qui sont vendus aux prix les plus bas. Les pertes les plus sévères par rapport à une année normale concernent l’elbling dont le rendement moyen était de 55 hectolitres par hectare (au lieu de 107). Le rivaner suit avec 76 hectolitres par hectare (au lieu de 102). Pour être complet, notons que l’auxerrois a beaucoup souffert aussi avec un rendement moyen de 48 hectolitres par hectare (au lieu de 86).
Le Quotidien — [Vins de la Moselle] 2019, ça aurait pu être pire…