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Tête posée
Définitions de « tête posée »
Tête posée - Locution nominale
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Homme d’un jugement droit, d’une imagination réglée.
« Un leader à la tête posée conjugue raison et créativité pour naviguer efficacement dans la complexité. »
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Usage du mot « tête posée »
Évolution historique de l’usage du mot « tête posée » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « tête posée » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « tête posée »
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Concrètement, lorsque le bébé pleure au moment du coucher, il faudrait le porter et marcher avec lui dans les bras pendant 5 minutes, avec sa tête posée contre notre cœur. Après ces 5 minutes, si les pleurs sont calmés, il faudrait s’assoir pendant cinq à huit minutes tout en le tenant fermement le nourrisson dans les bras, puis enfin le poser dans son berceau.
Madmoizelle — Cette technique scientifique serait infaillible pour endormir les bébés qui pleurent - Madmoizelle -
Catherine de Médicis était seule, […] la tête posée sur sa main encore remarquablement belle, grâce au cosmétique que lui fournissait le Florentin René, qui réunissait la double charge de parfumeur et d’empoisonneur de la reine mère.
Alexandre Dumas — La Reine Margot -
Catherine de Médicis était seule, […] la tête posée sur sa main encore remarquablement belle, grâce au cosmétique que lui fournissait le Florentin René, qui réunissait la double charge de parfumeur et d’empoisonneur de la reine mère.
Alexandre Dumas — La Reine Margot -
Justine s’était réfugiée dans les jambes de Lucile, son petit corps secoué par les sanglots, et la tête posée sur ses genoux. Tandis que Lucile caressait les cheveux de sa sœur, elle aperçut le filet de morve verte qui coulait sur sa robe.
Delphine de Vigan — Rien ne s’oppose à la nuit -
Le nègre, sur son lit de sangle, dormait, la tête posée sur son bras nu.
Jules Supervielle — Le voleur d’enfants