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Trophique
[trɔfik]
Définitions de « trophique »
Trophique - Adjectif
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Relatif à la nutrition et au développement des organes et tissus.
Le niveau trophique est défini par la capacité que possède un sol à fournir à la plante les éléments nutritifs dont elle a besoin pour exprimer son potentiel de croissance, sous réserve que le bilan hydrique soit favorable.
— Centre Régional de la Propriété Forestière (CRPF) Grand Est, Les milieux forestiers de la Plaine lorraine
Expressions liées
- Centres, nerfs trophiques (centres, nerfs qui régulent la nutrition et dont la lésion entraîne des troubles.)
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Troubles trophiques (troubles qui résultent d'un mauvais apport circulatoire ou d'un mauvais contrôle nerveux de la nutrition.)
Les infiltrations en série donnent souvent des résultats favorables. Dans les troubles trophiques post-fracturaires,
— Judet, Fractures membres
Étymologie de « trophique »
Du grec ancien τροφικός, trophikós (« nourrissant ») dérivé de τροφή (nourriture).Usage du mot « trophique »
Évolution historique de l’usage du mot « trophique » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « trophique » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Synonymes de « trophique »
Citations contenant le mot « trophique »
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En conclusion de leur étude, les chercheurs estiment ainsi que cette découverte remet en question tout le réseau trophique océanique, soit l’ensemble des chaînes alimentaires qui s’interconnectent au sein de l’océan. « Si vous combinez la biomasse de protistes et de virus marins, cette biomasse est beaucoup plus grande que toutes les baleines combinées. Les plus gros organismes que nous voyons à l’œil nu dépendent totalement des organismes microscopiques » rappelle Ramunas Stepanauskas, co-auteur de l’étude.
Trust My Science — Des chercheurs découvrent des organismes mangeurs de virus -
Le tableau de chasse de ce crocodilien qui vivait en Australie il y a 95 millions d'années fait frémir. Il suggère que les dinosaures étaient une ressource importante dans le réseau trophique du Crétacé.
Sciences et Avenir — Le crocodile tueur de dinosaures - Sciences et Avenir -
Il existe plusieurs alternatives au motoculteur, qui détruit le réseau trophique (les interactions entre les mangeurs et les mangés) du sol.
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Rien d’exceptionnel à découvrir cette espèce dans le secteur, donc, d’autant plus qu’elle aime « particulièrement les milieux rocailleux mais peut s’adapter à d’autres biotopes, notamment dans les jardins. Elle joue un rôle important dans le réseau trophique en régulant notamment les populations de petits rongeurs. »
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Effectivement, on connaît aujourd'hui sa résistance, ses capacités, sa croissance, mais il reste beaucoup d'inconnues. Pourquoi le crabe bleu est-il capable de vivre dans cet étang sélectif ? Comprendre sa reproduction ? D'où viennent les juvéniles ? On peut aussi étudier le plancton, la connexion larvaire, l'oxygénation, l'alimentation, son insertion dans le réseau trophique en utilisant des traceurs chimiques, connaître ses parasites, ses contaminants.... Tous ces axes correspondent à des scientifiques de l'observatoire qui ont ces compétences.
lindependant.fr — Crabe bleu à l'étang de Canet : les scientifiques confirment qu'il faut poursuivre les études - lindependant.fr -
Cette étude s’intéresse à une population de harengs qui se reproduit en hiver le long des côtes Normandes et du Nord-Pas-de-Calais et représente une importante source économique. Si le hareng est important pour l’homme, il a aussi une place indispensable au sein du réseau trophique puisqu’il sert de nourriture pour d’autres poissons, oiseaux et mammifères marins. Le devenir du hareng face au changement climatique soulève donc des enjeux écologiques et socio-économiques cruciaux.
The Conversation — Images de science : ces larves de hareng permettent d’étudier le changement climatique -
Le niveau trophique d'une espèce est fonction de son régime alimentaire. Les végétaux, qui sont les premiers producteurs de matières organiques, appartiennent au premier niveau trophique. Les herbivores relèvent du deuxième niveau. Les carnivores, prédateurs se nourrissant d'herbivores, pointent aux niveaux supérieurs. Le niveau trophique représente donc «le nombre d'intermédiaires entre les producteurs primaires et leur prédateur», expliquent l'Ifremer et l'IRD dans un communiqué.
Libération — Chaîne alimentaire : l'homme, un anchois comme les autres – Libération -
Son calcul est simple : la production primaire (les plantes et le plancton) ont la valeur 1, les herbivores comme la vache ont la valeur 2 et les carnivores ont des valeurs pouvant aller de 3 à 5,5, comme l'ours polaire et l'orque. Une espèce dont l'alimentation est composée pour moitié de plantes et pour moitié de vache a ainsi un niveau trophique de 2,5.
leplus.nouvelobs.com — Pourquoi l'homme et l'anchois sont au même niveau dans la chaîne alimentaire - le Plus
Traductions du mot « trophique »
| Langue | Traduction |
|---|---|
| Anglais | trophic |
| Espagnol | trófico |
| Italien | trofico |
| Allemand | trophisch |
| Chinois | 有营养的 |
| Arabe | غذائي |
| Portugais | trófico |
| Russe | трофический |
| Japonais | 栄養 |
| Basque | trofiko |
| Corse | trofico |