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Woofing
[wɔɔfɛ̃]
Définitions de « woofing »
Woofing - Nom commun
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Activité de travail bénévole dans des fermes biologiques, généralement en échange du gîte et du couvert, dans le cadre du réseau WWOOF.
« Le woofing, c'est troquer la routine pour une immersion dans la terre, où chaque effort est récompensé par l'apprentissage et le partage. »
— (Citation fictive)
Étymologie de « woofing »
Emprunt de l’anglais woofing, de l’acronyme WWOOF, de World Wide Opportunities on Organic Farms, « Opportunités dans des fermes biologiques du monde entier ».Usage du mot « woofing »
Évolution historique de l’usage du mot « woofing » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « woofing » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « woofing »
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Sur ce chantier de woofing, grâce aux 16 personnes qui travaillent 8 heures chaque jour pendant cinq jours, il aura économisé près de 5000€ d’heures de main d’œuvre. Pourtant, cela n’aura pas suffi à réaliser le défi de la maison construite en une semaine !
NeozOne — Construire une Tiny House en seulement 7 jours ? 16 étudiants ont relevé le défi ! - NeozOne -
Pendant un an, elle a fait du woofing : un mouvement international qui permet d’être logé et nourri en échange de coups de main à des exploitants agricoles. “Woofing, vous connaissez ? “reprend Camille Paquier, professeur d’agronomie au lycée Lasalle de Levier. Non, aucun élève n’a entendu parler de ce principe. “Ils ne connaissent pas non plus La ruche qui dit oui, les Amap...”. Même si la permaculture et l’aquaponie sont au programme du Bac STAV, Elise Boireau reconnaît que la permaculture, cela peut-être perçu comme “un truc de bobo parisien”.
France 3 Bourgogne-Franche-Comté — Salon de l’agriculture : Quand des jeunes ruraux découvrent une ferme urbaine de Paris -
«Ils font comme chez eux» s'enthousiasme Jérôme Ingremeau, un Charentais de 37 ans qui s'est lancé dans l'aventure du woofing en 2007. Avec sa compagne, il gère trois chambres d'hôtes à Rouffiac, près de Chalais. Depuis peu, ce père de deux petites filles s'est même embarqué dans la production de pain bio. «Le woofing permet des échanges et des rencontres avec des gens du monde entier , s'exclame-t-il. J'ai eu des Américains et des Australiens qui voulaient améliorer leur français.» Si les séjours sont assez courts - une quinzaine de jours en moyenne - certains «woofers» restent parfois deux mois.
CharenteLibre.fr — Avec le "woofing", vacances écolos à la ferme - Charente Libre.fr -
À l’obtention de son diplôme, Anastasia partira en Nouvelle-Zélande, en duo, pour y travailler pendant neuf mois. Elle aimerait faire du woofing. Cette pratique permet d’être logée et nourrie par l’habitant en échange de services. « Selon moi, il est bénéfique de prendre une année sabbatique à la fin de ses études ou entre la licence et le master par exemple, souligne Anastasia. Car cela permet de découvrir une nouvelle culture, d’améliorer ses langues, de s’ouvrir au monde, de prendre une pause, apprendre à se connaître et découvrir ce que l’on aimerait faire plus tard si, comme moi, on est un peu perdu ».
Le Telegramme — [Témoignages] Ces étudiants vannetais prendront une année sabbatique après leurs études - Vannes - Le Télégramme -
Le woofing est une formule de vacances de plus en plus à la mode. En échange de menus travaux, les touristes sont nourris et logés par un exploitant agricole. Dans le Cher, le concept séduit.
France 3 Centre-Val de Loire — Tourisme agricole : le woofing débarque dans le Cher -
Le wwoofing permet d’aider au développement de l’agriculture bio dans une bonne ambiance. PHOTO//DR WWOOF
Natura Sciences — Qu'est-ce que le wwoofing ? -
Le woofing : vivre et apprendre l’art du "bio" en Martinique
Martinique la 1ère — Le woofing : vivre et apprendre l’art du "bio" en Martinique - Martinique l -
C'est une pratique bien connue chez nos voisins britanniques. Cette pratique s'appelle le Woofing. Elle consiste à être logé et nourri gratuitement en échange de services rendus, par exemple, dans une ferme ou un jardin biologiques.
Le Bonbon — Non loin de Lille : travaillez en pleine nature contre le gîte et le couvert gratuits | Société | Lille