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Il y a 343 citations sur l'ô.
Exaucez-nous, ô Notre-Dame! Nous qui vous prions pour les morts, Et pour le salut de notre âme Qui craint la plus petite flamme Ne pouvant brûler que le corps! Inconnu Nouveau
C'est cela. Bientôt je serai de retour, bientôt je suis ici de nouveau. Mets-moi mes souliers. La mère s'agenouille et lui met ses souliers. Pour la première fois ,je te quitte , ô maison! Combernon ,haute demeure! Veille bien au ménage! Jacquin fera le gros œuvre . Voilà mon assoiement ,le fauteuil où je fais mes comptes l'hiver quand le vent souffle et qu'il pleut bien fort. Paul Claudel — La Jeune fille Violaine
Être Boësselais, c'est porter en soi l'histoire et le charme d'une terre méconnue mais ô combien attachante. Marie Lambert — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Ô toi qui ne pouvais nous aimer, ô maison Qui ne pouvais aimer et que j'ai mésaimée Charles Péguy Tapisserie Sainte Geneviève et Jeanne d'Arc
On ne lit plus, ô mon cher imprimeur-libraire! on ne lit plus que les journaux. Alfred de Musset Le Temps
Il y a dans le regard d'un Anroseyen une profondeur qui raconte les histoires anciennes de cette terre discrète mais ô combien riche. Julien Lefèvre — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Être Gevingeois, c'est porter en soi l'héritage d'une communauté soudée par ses valeurs et son amour pour ce coin de France méconnu mais ô combien attachant. Sophie Armand — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Faire son droit, c'est apprendre à naviguer dans l'océan des lois, un voyage certes ardu mais ô combien enrichissant. Claire Dubois — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Incertitude, ô mes délices Vous et moi nous nous en allons Comme s’en vont les écrevisses, À reculons, à reculons. Guillaume Apollinaire — « L’écrevisse »
Sans doute il y a en la cheminée un feu flambant clair, et sur ce feu une marmite où cuit une grasse soupe ; ô plaisante imagination dont ma fantaisie se pourlèche les babines et que j’arrose, en idée, avec deux ou trois bouteilles tirées de derrière les fagots et drapées à l’antique de toiles d’araignée ! Théophile Gautier — Le Capitaine Fracasse
Ferme ton cœur, ô mon aimée, Voici la divine accalmée, Le cœur a besoin de sommeil! Xavier Privas — Chansons vécues
Je ne rêve, en mon amourette, Pas plus d'argent, ô vieux Paris, Sur la gaîté de Turlurette Que sur l'aile de la perdrix. Est-ce qu'on argente la grâce? Est-ce qu'on dore la beauté? Je crois, quand l'humble alizon passe, Voir la lumière de l'été. Victor Hugo — Les Chansons des rues et des bois
La précarence dans notre alimentation moderne est une ombre insidieuse, invisible mais ô combien présente, nous privant silencieusement de l'énergie essentielle à notre vitalité. Émile Jardine — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Le Verrucois, avec sa sagesse et son attachement à la terre, incarne l'âme même de cette région méconnue mais ô combien charmante. Jean Dupontel — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Les points d'auto-inflammation de notre existence sont souvent déclenchés par des étincelles invisibles, mais ô combien puissantes. Marc Delatour — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Dans le regard d'un Ispagnacois, on lit la patience des siècles et l'attachement profond à cette terre peu connue mais ô combien aimée. Lucien Bertrand — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Ses cheveux blonds étaient plus pâles qu’un reflet,Et je l’ai poursuivie ainsi qu’un feu follet.Ecoute.. Tu le sais, ô charme de mes heures !Les premières amours ne sont pas les meilleures. Renée Vivien — À l’heure des mains jointes
Je n’entreprendrai point, ô René, de te peindre aujourd’hui le désespoir qui saisit mon âme, lorsque Atala eut rendu le dernier soupir. François-René de Chateaubriand — Atala
Un maquereau aussi, des raies, un thon, ô cette belle poule de mer ! Jean Teulé — Fleur de tonnerre
Oh! oui, j'ai dépensé de l'argent à Marseille, car je ne t'ai pas parlé d'un service de vieux Chine, pour neuf personnes, que j'ai reçu hier et payé, sois tranquille, ô divine Louis-Philippiste! Honoré de Balzac — Lettres Étrangères