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Citations sur l'ô

Il y a 343 citations sur l'ô.

• Il devait en quelque sorte s’auto-sacrifier et ainsi renoncer à l’objet d’un désir inférieur pour accéder à une réalité morale, ô combien supérieure.

• Ô Dieu, ne reste pas dans le silence !Ne te tais pas, et ne te repose pas, ô Dieu !Car voici, tes ennemis s’agitent,ceux qui te haïssent lèvent la tête.Ils forment contre ton peuple des projets pleins de ruse,et ils délibèrent contre ceux que tu protèges.[…] ils font une alliance contre toi ;les tentes d’Édom et les Ismaélites,Moab et les Hagaréniens,Guebal, Ammon, Amalek,les Philistins avec les habitants de Tyr ;l’Assyrie aussi se joint à eux,elle prête son bras aux enfants de Lot.

• Si l'on pouvait s'autooctroyer la sagesse, bien peu se donneraient la peine de cultiver l'expérience, cette terre ingrate mais ô combien fertile.

• Dans la quête de la vérité visuelle, le chromatoptomètre s'avère être un complice silencieux mais ô combien éloquent.

• Le réalisme bédéesque n'est pas antinomique ; il explore le réel à travers un prisme déformant mais ô combien révélateur.

• Le télévoting, cette passerelle entre le canapé et la scène publique, confère au citoyen-téléspectateur un pouvoir éphémère, mais ô combien exaltant.

• La société moderne, avec ses technologies et ses réseaux sociaux, tisse autour de notre vie privée une prosphyse presque indécelable, mais ô combien tenace.

• Gardons-nous, ô prolétaires, Des exploiteurs grippe-sous ; De tous les rogne-salaires Qui ne vivent que par nous.

• tu es bien cynique je trouve, pour un mec qui veut faire EPP et économétriser les gens, les les mesurer, les compter, les taxer et au final rendre réel le (mauvais mais ô combien jouissif) film "Equilibrium" pour nous transformer en variables

• Détrognonner une pomme est un acte simple, mais ô combien symbolique : c'est retirer l'inutile pour ne garder que l'essentiel.

• SEYAH, especes de moines turcs ; ils ont des monastères, mais lorsqu’ils en sont une fois sortis, ils n’y rentrent plus, & passent le reste de leur vie à courir de côté & d’autre & à faire les vagabonds. En leur donnant leur congé, leurs supérieurs les taxent à une somme d’argent, ou à une certaine quantité de provisions qu’ils sont obligés d’envoyer au couvent, faute de quoi l’entrée leur en est fermée. Lorsqu’un seyah arrive dans une ville, il va au marché ou dans la salle qui est auprès de la grande mosquée, là il crie de toute sa force : ô dieu ! envoyez-moi cinq mille écus ou mille mesures de riz. Après avoir reçu les aumônes des âmes dévotes le moine mendiant va faire le même métier dans un autre endroit et vit toujours errant jusqu’à ce qu’il ait amassé la somme à laquelle il a été taxé.

• Lorsque le silence s'installe dans la salle, on peut entendre le crépitement des touches sous l'action du chirogymnaste; une mélodie silencieuse, mais ô combien importante.

• Les poètes de notre temps ont abandonné le datif au profit d'un bénéfactif invisible, mais ô combien plus chaleureux dans leurs vers.

• L'angoisse masculine, souvent tue, trouve dans le dysspermatisme une expression silencieuse, mais ô combien éloquente de ses peurs les plus profondes.

• L'adhésivage méticuleux des affiches sur les murs de Paris était pour lui une forme d'art éphémère, mais ô combien expressif.

• L'art de synthétiser le savoir réside souvent dans la maîtrise de l'infoboîte; un outil rare, mais ô combien précieux!

• Ne donnez point, ô Lamuel, ne donnez point trop de vin aux rois qui mangent à votre table, et n’en prenez point vous-même avec excès, parce qu’il n’y a nul secret où règne le vin : nullum secretum est ubi regnat ebrietas.

• Lorsqu'un patient se présente avec une fatigue inexpliquée, je scrute les abysses de son sang à la recherche de cette discrète hypoferritinémie, souvent négligée mais ô combien révélatrice.

• À travers l'archæologie, nous dialoguons avec ceux qui ne peuvent plus parler; c'est une conversation silencieuse, mais ô combien éloquente avec notre histoire.

• Comme un oasis dans le désert, la buvoire scintille aux yeux des patients, promesse d'un soulagement fugace mais ô combien salvateur.