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Citations sur l'ô - Page 4
Il y a 260 citations sur l'ô.
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Aujourd'hui, on ne dit même plus O.N.U.; on pétrit cette suite de lettres séparées en une seule articulation continue: ONU
André Huyghe — Dialogues avec le visible -
La gamme implacable a e i o u
Remy de Gourmont — Esthétique du langage français -
Ô laissez-moi baiser le bas de votre robe!
Albert Camus — L'Étranger, 3e partie, 22e tableau -
Dans les ruelles de Paris, chaque juivillon portait en lui l'éclat d'un avenir incertain, mais ô combien prometteur.
Émile Dromel — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
M.et MmeSwann disaient odieux, en faisant l'o bref
Marcel Proust — À la recherche du temps perdu: À l'ombre des jeunes filles en fleurs -
Mais, ô mon cœur, entends le chant des matelots !
Stéphane Mallarmé — Poésies, Brise marine -
Maison de la naissance, ô nid, doux coin du monde ! Ô premier univers où nos pas ont tourné !
Marceline Desbordes-Valmore — La Maison de ma mère -
Connais-moi si tu peux, ô passant, connais-moi ! Je suis ce que tu crois et suis tout le contraire.
Marie Rouget, dite Marie Noël — Les Chansons et les heures, Connais-moi , Stock -
Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille.
Charles Baudelaire — Les Fleurs du Mal, Recueillement -
Christ ! ô Christ, éternel voleur des énergies.
Arthur Rimbaud — Poésies, les Premières Communions -
Ô Lucindes d'amour ! ô douces Isabelles ! Eh bien ! sur votre compte on en entend de belles.
Victor Hugo — Ruy Blas, I, 2, Don César -
Ô femme dangereuse, ô séduisants climats !
Charles Baudelaire — Les Fleurs du Mal, Ciel brouillé -
Mais, ô Femme, monceau d'entrailles, pitié douce.
Arthur Rimbaud — Poésies, les Surs de charité -
Grèce, ô mère des arts, terre d'idolâtrie, De mes voeux insensés éternelle patrie
Alfred de Musset — Premières poésies -
Rêverie, ô cigare invisible du sage !
Victor Hugo -
- Qu'as-tu fait, ô toi que voilà Pleurant sans cesse, Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà De ta jeunesse ?
Paul Verlaine — Sagesse, III, 6 , Messein -
Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit - Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit - Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres - Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres - Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Edmond Rostand — Cyrano de Bergerac -
Ô nuit désastreuse ! ô nuit effroyable, où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : Madame se meurt, Madame est morte !
Jacques Bénigne Bossuet — Oraison funèbre d'Henriette-Anne d'Angleterre, duchesse d'Orléans -
Mon corps, ô ma sœur, a bien mal à sa belle âme […].
Jules Laforgue — Derniers Vers, Dimanches -
Ô femme, mammifère à chignon, ô fétiche […].
Jules Laforgue — Les Complaintes, Complainte des voix sous le figuier bouddhique -
Salut, ô mon dernier matin !
Jules BarbierMichel Carré — Livret de Faust (opéra de Gounod) -
Si tous les cornus d’Europe portaient lampions, ô miséricorde, quelle illumination.
Albert Cohen — Belle du Seigneur -
Père, ô Sagesse profonde Et noire, Vous savez bien À quoi sert le mal du monde, Mais le monde n'en sait rien.
Marie Rouget, dite Marie Noël — Chants de la merci, Chant de la divine merci , Stock -
Ô mort, vieux capitaine, il est temps ! levons l'ancre. Ce pays nous ennuie, ô mort ! Appareillons ! Si le ciel et la mer sont noirs comme de l'encre, Nos cœurs que tu connais sont remplis de rayons !
Charles Baudelaire — Les Fleurs du Mal, le Voyage -
Que ta puissance, ô Mort, est grande et admirable !
Pierre de Ronsard — Hymne de la mort -
Poésie ô danger des mots à la dérive.
Louis Aragon — En français dans le texte, Ides et Calendes -
O saisons ô châteaux. L'âme n'est pas sans défauts.
Arthur Rimbaud — O saisons, ô châteaux -
Vieil océan, ô grand célibataire […].
Isidore Ducasse, dit le comte de Lautréamont — Chants de Maldoror -
Pleurez, doux Alcyons ! ô vous, oiseaux sacrés, Oiseaux chers à Thétys, doux Alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine !
André de Chénier — La Jeune Tarentine -
Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Arthur Rimbaud — Poésies, le Bateau ivre -
Connais-moi si tu peux, ô passant, connais-moi ! Je suis ce que tu crois, et suis tout le contraire.
Marie Noël — Les chansons et les heures -
Ô père de famille, ô poète, je t'aime.
Émile Augier — Gabrielle, dernier vers , Michel Lévy -
Quant à flatter la foule, ô mon esprit non pas ! Ah ! le peuple est en haut, mais la foule est en bas.
Victor Hugo — L'Année terrible -
Qu'importe ton sein maigre, ô mon objet aimé ! On est plus près du cœur quand la poitrine est plate : Et je vois, comme un merle en sa cage enfermé, L'amour entre tes os rêvant sur une patte.
Louis Bouilhet — Dernières Poésies -
Que vous êtes pressante, ô déesse cruelle !
Jean de La Fontaine — Fables, la Mort et le Mourant -
Quinze ans ! ô Roméo ! l'âge de Juliette !
Alfred de Musset — Poésies, Rolla -
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !
Charles Baudelaire — Les Fleurs du Mal, À une passante -
Ce n'est pas sans raison, ô Richesse, que les hommes t'honorent plus que tout : tu t'accommodes si aisément de la bassesse.
Théognis, de Mégare — Élégies, I, 523-524 (traduction J. Carrière) -
Elle a les yeux couleur de ma vague chimère, O toute poésie, ô toute extase, ô Mère ! A l'autel de ses pieds je l'honore en pleurant, Je suis toujours petit pour elle, quoique grand.
Emile Nelligan — Ma mère -
Mon Automne éternelle ô ma saison mentale Les mains des amantes d'antan jonchent ton sol Une épouse me suit c'est mon ombre fatale Les colombes ce soir prennent leur dernier vol.
Guillaume Apollinaire de Kostrowitzky, dit Guillaume Apollinaire — Alcools, Signe , Gallimard -
Baisers, baves d’amour, basses béatitudes, ô mouvements marins des amants confondus.
Paul Valéry — Album des Vers anciens -
Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin.
Guillaume Apollinaire de Kostrowitzky, dit Guillaume Apollinaire — Alcools, Zone , Gallimard