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Il y a 343 citations sur l'ô.
La promesse d'un avenir diesel-électrique est celle d'une révolution silencieuse, mais ô combien puissante dans les entrailles de nos machines. Henri Durville — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Je n’ai donc rien à vous demander pour moi, ô monseigneur Jésus ! maintenant, surtout, que de mes yeux mortels j’ai contemplé votre divinité. Alexandre Dumas — Othon l’archer
Je t'ai revue, ô douce ville, après dix ansD'absence, et j'ai revu tes bruissants ombrages,Où j’ébattais ma vie avec ceux de mon âge,Libre du noir souci que je porte à présent. Poètes d'aujourd'hui — Mercure de France
Lorsque l'on évoque les mystères du sang, on oublie souvent de parler de la fibrinémie, cette mesure discrète mais ô combien révélatrice de l'état inflammatoire de notre organisme. Maxime Duval — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Vous planteriez, ô Melbournois !Sur vos coteaux barbares,Les plus fins de nos ceps gaulois, Nos « pineaux » les plus rares… Ponchon — Muse cabaret
Et là, dans cette nuit qu’aucun rayon n’étoile,L’âme, en un repli sombre où tout semble finir,Sent quelque chose encor palpiter sous un voile… —C’est toi qui dors dans l’ombre, ô sacré souvenir ! » — (Victor Hugo, in Demain dès l’aube, page 154, 1990, 2002, Hachette)
Lorsque la fièvre s'emparait des corps alités, nous recourions à la flabellation pour apaiser leurs ardeurs; un geste ancien mais ô combien salutaire. Étienne de Montargis — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
Mais, — si ce n’est pas proposer un problème trop ardu à ta science arithmétique, — compte, ô hamadryade des bois sacrés du Moulin de la Galette, ce qu’a pu thésauriser d’or et de pierreries un faiseur de ballades qui emprunta un louis, la semaine dernière, à un amateur des belles-lettres, et qui, sur cette somme, préleva (sans parler de la nécessité du luxe quotidien, déjeuners à vingt sous, dîners à deux francs et bouquets de violettes à dix centimes), de quoi assoupir la rage acharnée de mille et un créanciers, pareils à Kerberos,... — (Catulle Mendès)
− Ce que tu m'annonces, ô vierge, s'écria l'apôtre, me semble prodigieux et au-dessus de la puissance humaine. − Ce l'est, répliqua la vierge Orberose. Anatole France — L'Île des pingouins
Cela fait qu’on braille, qu’on s’éraille et qu’on se débraille, dans une débauche de tapage à en rester muet six jours, par régime ; cela fait qu’on est équipemard, et chicard, et flambard à mort, qu’on se lance, qu’on se lâche, qu’on loupe, qu’on gouape, qu’on soiffe, et surtout que l’on peut, ô délices ! joie des rois ! café des dieux ! embêter carrément et impunément son ennemi le bourgeois […]. – Auguste Luchet – Les mœurs d’aujourd’hui
Dans la solitude des chambres d'hôpital, le silence est souvent rompu par le gémissement sourd de ceux qui souffrent de chéilalgie, cette douleur discrète mais ô combien présente. Henri de Monferrand — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
[…] ô riche et chanceux Hérault, toi qui verses au cœur des citadins déprimés l'intarissable joie liquide de tes litres vendus par toi trente sous et revendus, par l'épicier ou sur le zinc, trois francs. Ludovic Naudeau — La France se regarde : le Problème de la natalité
− Il faut te louer, ô Gallion, dit Lollius, du zèle que tu mets à remplir tes fonctions consulaires Anatole France — Sur la pierre blanche
Sagesse de l'écume, ô pestilences de l'esprit dans la crépitation du sel et le lait de chaux vive Saint-John Perse — Exil
le substitut. − Et ça me laisse froid, ô combien! pour l'importance que ça a! ... 1897 Georges Courteline — Un Client sérieux
Ne grogne pas de colère, ô toi, Mantus le crémateur qui secrètement espérais me jeter dans ton brasier ardent, après que m’eût tourmenté Tukulcha ton compère. Raph Soria — Les soliloques du fou: Nino loco
Et toi, cher et triste objet d’une passion qui me consume jusque dans les bras de la mort, tu vois maintenant, ô Chactas, ce qui a fait la rigueur de notre destinée !… François-René de Chateaubriand — Atala
La véritable élégance se niche dans le regard bienveillant d'une dabesse, maîtresse des codes sociaux que l'on croit désuets mais ô combien vivants. Gustave de Ponthieu — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle
[…], ô riche et chanceux Hérault, toi qui verses au cœur des citadins déprimés l’intarissable joie liquide de tes litres vendus par toi trente sous et revendus, par l’épicier ou sur le zinc, trois francs. Ludovic Naudeau — La France se regarde : le Problème de la natalité
Ce troupeau d’électeurs, de paysans stupides,Que nul grand sentiment ne peut aiguillonner,Ce peuple de lourdeaux[sic], de hobereaux cupides,Veut tenter, ô Paris, de te découronner. Étienne Carjat — Les Versaillais