Accueil > Citations > Citations sur l'ô
Citations sur l'ô - Page 3
Il y a 260 citations sur l'ô.
-
Du coup vive la raclette à la maison avec quatre potes, et on a gratté la guitare jusqu’à plus soif, et puis folie, ô Folie, moi le non-joignable, voilà que des gens m’appellent à minuit sonnantes et trébuchantes, et voilà que tout se passait en même temps, la cathédrale qui s’embrase à portée de balcon et Va chercher l’appareil photo parce que ça le fait trop, et voilà qu’au même instant des fripons démolissent une vitrine juste là, sous nos yeux, au pied dudit balcon, et voilà que trois messieurs traversent la route plein sprint en hurlant des « Police ! Police ! » à retympaniser Beethoven, et voilà qu’hop en deux minutes chrono cinq (oui j’ai dit cinq) voitures à gyrophares étaient là toutes sirènes jaillissantes rangées en quinconce au bord du trottoir ah là ah là ah là ça rigolait pas conscients nous qu’on était de vivre un moment d’Histoire de ces instants où le drame rôde et où le danger est à nos portes ils ont embarqué un jeûnot dans une auto banalisée du coup les agents bleus avaient l’air un peu ballots à reprendre la caisse sans butin alors ils ont dû aller boire un verre ou patrouiller je confonds toujours mais on me tannait Bon sang va chercher l’appareil photo tu vas faire la une du Matin Bleu avec un truc pareil alors tant pis pour la Gloire.
-
Ne donnez point, ô Lamuel, ne donnez point trop de vin aux rois qui mangent à votre table, et n’en prenez point vous-même avec excès, parce qu’il n’y a nul secret où règne le vin : nullum secretum est ubi regnat ebrietas.
Salomon — Paraboles -
Il devait en quelque sorte s’auto-sacrifier et ainsi renoncer à l’objet d’un désir inférieur pour accéder à une réalité morale, ô combien supérieure.
site Philippe Boby De La Chapelle — L'époque préhistorique n'est pas si loin ! -
Ô Dieu, ne reste pas dans le silence !Ne te tais pas, et ne te repose pas, ô Dieu !Car voici, tes ennemis s’agitent,ceux qui te haïssent lèvent la tête.Ils forment contre ton peuple des projets pleins de ruse,et ils délibèrent contre ceux que tu protèges.[…] ils font une alliance contre toi ;les tentes d’Édom et les Ismaélites,Moab et les Hagaréniens,Guebal, Ammon, Amalek,les Philistins avec les habitants de Tyr ;l’Assyrie aussi se joint à eux,elle prête son bras aux enfants de Lot.
Bible — Psaume 83 -
Gardons-nous, ô prolétaires, Des exploiteurs grippe-sous ; De tous les rogne-salaires Qui ne vivent que par nous.
Étienne Pédron — Notre-Dame-de-l'Usine -
tu es bien cynique je trouve, pour un mec qui veut faire EPP et économétriser les gens, les les mesurer, les compter, les taxer et au final rendre réel le (mauvais mais ô combien jouissif) film "Equilibrium" pour nous transformer en variables
site forum-scpo.com — 29 octobre 2008 -
SEYAH, especes de moines turcs ; ils ont des monastères, mais lorsqu’ils en sont une fois sortis, ils n’y rentrent plus, & passent le reste de leur vie à courir de côté & d’autre & à faire les vagabonds. En leur donnant leur congé, leurs supérieurs les taxent à une somme d’argent, ou à une certaine quantité de provisions qu’ils sont obligés d’envoyer au couvent, faute de quoi l’entrée leur en est fermée. Lorsqu’un seyah arrive dans une ville, il va au marché ou dans la salle qui est auprès de la grande mosquée, là il crie de toute sa force : ô dieu ! envoyez-moi cinq mille écus ou mille mesures de riz. Après avoir reçu les aumônes des âmes dévotes le moine mendiant va faire le même métier dans un autre endroit et vit toujours errant jusqu’à ce qu’il ait amassé la somme à laquelle il a été taxé.
-
Et remarque bien, ô France philosophistisée!
-
Elle était pulchreEt formose, mais nègre ô chatte du Sépulcre,Ô chatte de minuit, ô chatte de Sabbat,Tu meurs ! quel deuil, sorcière, à ton pâle grabat !
Victor Hugo — « Les Mômes » -
Hervé [Ryssen] ne pourra pas compter non plus sur le soutien d’un Eric Zemmour qu’il a pourtant si souvent encensé à notre grand étonnement, ni sur celui d’une Marine Le Pen qu’il avait pourtant soutenue, ô surprise, en vue de la prochaine présidentielle mais qui n’est qu’une traîtresse judéoservile.
Jérôme Bourbon — “Hervé Ryssen en prison pour 17 mois !” -
Dans ce post ô combien crépinant mais nez en moins jubilatoire, certains affirment qu'il faut décrépiner après 40 000 km, pour avoir une idée de l'état du moteur, d'autres affirment que c'est pas la peine de s'emmerder pour si peu, ce n'est que pour les [gu]puristes.
-
Tant et si bien, qu'ils arrivent d'une part, à être repris, avec ô combien de complaisance, par plusieurs médias français et d'autre part, à faire d'une occupation illégale de l'île comorienne de Mayotte, une affaire « d'immigrés clandestins comoriens ». Et de l'île comorienne de Mayotte, reconnue comme telle par les instances et la communauté internationale, « une île française à décomorianiser ».
-
Tandis que vous, ô putréfiés de la décadence, vous êtes bêtes, vous êtes laids, vous êtes ignares, vous vous saoulez comme des portefaix, vous vous vautrez fangeusement dans d'immondes et crapuleuses amours à l'heure ou au cachet.
George Petilleau — Les putréfiés -
Je me mettais sur mon séant, puis je m'écriai : ô mon cher purgatorien, que faut-il faire pour éviter l'état où vous êtes ?
-
Haut les mains, le vioc obtempère, mais alors ô merveille, une superbe et idéale innocente et blonde jeune fille apparaît et le cinéma sans couleur doit s’avouer impuissant à rendre la cérulénéité de ses châsses.
Raymond Queneau — Loin de Rueil -
Elle était pulchreEt formose, mais nègre ô chatte du Sépulcre,Ô chatte de minuit, ô chatte de Sabbat,Tu meurs ! quel deuil, sorcière, à ton pâle grabat !
Victor Hugo — « Les Mômes » -
Je vous éclaire, ô lecteurice pour qui l’Afrique n’est pas noire, mais surtout obscure.
Daniel Picouly — La Donzelle - Un bâton de rouge dans le chargeur -
O cæcité ! Ô aveuglement ! Avoir cherché ſa ruine ſans fin pour des ſales plaiſirs, pour des vains honneurs , pour des biens periſſables , pour des excremens de terre, où avois‐je les yeux, ô mon Dieu ! & où le jugement ?
Rév. père F. Laurent de Paris — Le Palais de l’amour divin entre Jésus et l’âme chrestienne -
Donc, ô guinguettes, goguettes, bouchons, caboulots, bouibouis, mastroquets, bastringues, manezingues, bibines des chiffonniers, caravansérails des califes, je vous atteste, je suis un voluptueux.
Victor Hugo — Les Misérables -
Sors de ta chrysalide d'argile, ô mon Ame, et sous ta fâmée forme de satane, allons voir les asperges de mai danser aux clins d'argent de ton regard malin!
Saint-Pol-Roux — La Rose et les épines du chemin -
Jalousies du Bulletin des Bouquinistes, des fruits secs de lettres et des réimprimeurs, criant: « Ô Hugo, ô Lamartine, où êtes-vous? » Rien que les grands noms passés. Faisant le silence avec leurs journaux sur tous les jeunes noms et les jeunes livres.
Edmond de Goncourt — Journal -
On ne lit plus, ô mon cher imprimeur-libraire! on ne lit plus que les journaux.
Alfred de Musset — Le Temps -
Et cependant, ô sainte République,Quoique aujourd’hui de ton pain noir nourri,Chacun de nous pour ta gloire eût périEt mourrait encor sans réplique.
Pierre Dupont — Le Chant des transportés -
On ne lit plus, ô mon cher imprimeur-libraire! on ne lit plus que les journaux. Alfred de Musset Le Temps
-
Exaucez-nous, ô Notre-Dame! Nous qui vous prions pour les morts, Et pour le salut de notre âme Qui craint la plus petite flamme Ne pouvant brûler que le corps! Inconnu Nouveau
-
C'est cela. Bientôt je serai de retour, bientôt je suis ici de nouveau. Mets-moi mes souliers. La mère s'agenouille et lui met ses souliers. Pour la première fois ,je te quitte , ô maison! Combernon ,haute demeure! Veille bien au ménage! Jacquin fera le gros œuvre . Voilà mon assoiement ,le fauteuil où je fais mes comptes l'hiver quand le vent souffle et qu'il pleut bien fort.
Paul Claudel — La Jeune fille Violaine -
Ô toi qui ne pouvais nous aimer, ô maison Qui ne pouvais aimer et que j'ai mésaimée Charles Péguy Tapisserie Sainte Geneviève et Jeanne d'Arc
-
Incertitude, ô mes délices Vous et moi nous nous en allons Comme s’en vont les écrevisses, À reculons, à reculons.
Guillaume Apollinaire — « L’écrevisse » -
Sans doute il y a en la cheminée un feu flambant clair, et sur ce feu une marmite où cuit une grasse soupe ; ô plaisante imagination dont ma fantaisie se pourlèche les babines et que j’arrose, en idée, avec deux ou trois bouteilles tirées de derrière les fagots et drapées à l’antique de toiles d’araignée !
Théophile Gautier — Le Capitaine Fracasse -
Ferme ton cœur, ô mon aimée, Voici la divine accalmée, Le cœur a besoin de sommeil!
Xavier Privas — Chansons vécues -
La précarence dans notre alimentation moderne est une ombre insidieuse, invisible mais ô combien présente, nous privant silencieusement de l'énergie essentielle à notre vitalité.
Émile Jardine — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Je ne rêve, en mon amourette, Pas plus d'argent, ô vieux Paris, Sur la gaîté de Turlurette Que sur l'aile de la perdrix. Est-ce qu'on argente la grâce? Est-ce qu'on dore la beauté? Je crois, quand l'humble alizon passe, Voir la lumière de l'été.
Victor Hugo — Les Chansons des rues et des bois -
Le Verrucois, avec sa sagesse et son attachement à la terre, incarne l'âme même de cette région méconnue mais ô combien charmante.
Jean Dupontel — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Dans le regard d'un Ispagnacois, on lit la patience des siècles et l'attachement profond à cette terre peu connue mais ô combien aimée.
Lucien Bertrand — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Les points d'auto-inflammation de notre existence sont souvent déclenchés par des étincelles invisibles, mais ô combien puissantes.
Marc Delatour — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Je n’entreprendrai point, ô René, de te peindre aujourd’hui le désespoir qui saisit mon âme, lorsque Atala eut rendu le dernier soupir.
François-René de Chateaubriand — Atala -
Ses cheveux blonds étaient plus pâles qu’un reflet,Et je l’ai poursuivie ainsi qu’un feu follet.Ecoute.. Tu le sais, ô charme de mes heures !Les premières amours ne sont pas les meilleures.
Renée Vivien — À l’heure des mains jointes -
Un maquereau aussi, des raies, un thon, ô cette belle poule de mer !
Jean Teulé — Fleur de tonnerre -
Oh! oui, j'ai dépensé de l'argent à Marseille, car je ne t'ai pas parlé d'un service de vieux Chine, pour neuf personnes, que j'ai reçu hier et payé, sois tranquille, ô divine Louis-Philippiste!
Honoré de Balzac — Lettres Étrangères -
La Loge a installé sur le trône pontifical, en place de Léon XIII, je ne sais quel suppôt du Quirinal, quel mannequin, à l’image de leur sainte victime, quel imposteur, auquel, par crainte de nuire au vrai, il nous faut feindre de nous soumettre, devant lequel, enfin, ô honte ! au jubilé s’est incliné la tout entière chrétienté.
André Gide — Les Caves du Vatican -
Nous vous prions de recevoir favorablement cette offrande... Ces éléments matériels, daignez, ô Dieu, les agréer en offrande bénie, acceptée, ratifiée, raisonnable, recevable, afin qu'ils nous deviennent le Corps et le Sang de Votre cher fils, Notre-Seigneur Jésus-Christ.
A. Billy — Introïbo -
Être Moranvillois, c'est porter en soi l'histoire silencieuse d'une commune discrète mais ô combien résiliente.
Claire Laroche — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle