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Citations sur le ces - Page 8

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• La gaffe est l'administration massive, intempestive, et inopportune de ces vérités qu'une posologie civilisée dose en général goutte par goutte.

• Bêtise et poésie. Il y a des relations subtiles entre ces deux ordres. L'ordre de la bêtise et celui de la poésie.

• La télévision ne produit pas de stars. Elle porte momentanément au pinacle de la notoriété, des journalistes et des animateurs. Que ces vedettes quittent leur emploi, elles sont vite oubliées.

• C'est une chose extraordinaire que toute la philosophie consiste dans ces trois mots : Je m'en fous.

• Le phallus sert de trait d'union entre ces deux fleuves : il conjugue leurs rythmes différents en un courant unique.

• Pourquoi ce qui est beau ne devrait-il pas être vrai ? Quel pessimisme dans ces simples mots !

• Avec ces pestes*, rien ; rien non plus sans ces pestes.

• […] Ces êtres vulgaires m'intéressent plus qu'ils ne vous intéressent. Je les grandis, je les idéalise en sens inverse, dans leur laideur ou leur bêtise. Je donne à leurs difformités des proportions effrayantes ou grotesques.

• Oublions ces examens qui agissent comme des aimants pernicieux en orientant les efforts vers la "réussite".

• La civilisation approche peut-être d'un de ces longs hivers qu'elle connaît de temps en temps. La période chrétienne, pittoresque, passionnée et malheureuse, peut prendre fin. Une catastrophe de ce genre ne devrait pas nous désespérer.

• Si ces pensées* ne plaisent à personne, elles pourront n'être que mauvaises ; mais je les tiens pour détestables si elles plaisent à tout le monde.

• La différence essentielle – sans que cela soit péjoratif pour les comédiens -, c’est que ces derniers jouent leurs rôles tandis que l’acteur les vit.

• Michel-Ange ne s’est pas mis à peindre parce qu’il avait toutes ces figures dans la tête. Seulement il se mit à peindre, et les figures se montrèrent.

• La terre a une peau et cette peau a des maladies ; une de ces maladies s'appelle l'homme.

• J'aurai de l'or : je serai oisif et brutal. Les femmes soignent ces féroces infirmes retour des pays chauds.

• Quel est donc cet instinct moral qui apprend à l’homme sans éducation, que la récompense de ces actions est dans le coeur de celui qui les a faites ? Il semble qu’en nous les payant, on nous les ôte.

• La gloire est comme ces navires où l'on ne meurt pas seulement à ciel ouvert mais aussi dans l'obscurité pathétique des cales.

• Les croyants d'aujourd'hui s'éloignent de ces voies logiques de la découverte de Dieu, et au contraire, s'attachent de plus en plus, comme il est sain et vrai, à une approche passionnelle de la foi.

• Dans la vie, rien ne dépasse le golf en exigence. Ce sont ces contraintes qui rendent le golf si passionnant.

• On vous vend au marché cinq moineaux pour deux sous ; et Dieu, pourtant, n’oublie pas un de ces passereaux.

• Je comprends que le clergé soit partisan du repos dominical : c’est le dimanche que ces messieurs travaillent le plus.

• La passion de créer fonde le projet de réalisation, la passion d’aimer fonde le projet de communication, la passion de jouer fonde le projet de participation. Dissociés, ces trois projets renforcent l’unité répressive du pouvoir.

• Sus ! Revenons à ces moutons.

• Il est parfois dans la vie de ces rencontres bizarres qui décident de vous comme une main détermine les mouvements d'un pantin.

• Presque tous les hommes ressemblent à ces grands palais déserts dont le propriétaire n'habite que quelques pièces ; et il ne pénètre jamais dans les ailes condamnées.

• Je regrette l'Y de l'ancienne orthographe du mot abîme. Car Y était du nombre de ces lettres qui ont un double avantage : indiquer l'étymologie et faire peindre la chose par le mot : ABYME.

• Les ornithologues sont ces grandes personnes qui passent leur vie à faire tout ce qu'on leur a défendu de faire quand ils étaient petits.

• Que ces vains ornements, que ces voiles me pèsent ! Quelle importune main, en formant tous ces nœuds, A pris soin sur mon front d'assembler mes cheveux ? Tout m'afflige et me nuit, et conspire à me nuire.

• Le style oratoire a souvent les inconvénients de ces opéras dont la musique empêche d'entendre les paroles : ici les paroles empêchent de voir les pensées.

• Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?

• Le rire pour défendre joyeusement ces notions qu’on ne doit jamais perdre de vue et qui sont sur les frontons de nos bâtiments officiels.

• Je suis de ces chrétiens qui vont à la messe pour obtenir une place au ciel.

• En argot, lire se dit ligoter. En langage figuré un gros livre est un pavé. Relâchez ces liens-là, le pavé devient un nuage.

• Ce qui me passionnait, c'était d'être un novateur, un découvreur, au sens le plus profond, le plus plein de ces termes. Aujourd'hui tout est balisé, connu, il y a des guides.

• Les nouveau-nés sourient aux anges dit-on. Et en effet si les anges sont ces riens qui pour un rien parfois donnent des ailes.

• Nous n'aurons jamais trop de ces fiers esprits qui jugent, critiquent et résistent. Ils sont le sel de la cité.

• Toutes ces croyances à la noix et ces armes démodées, ça ne vaut pas un bon pistolaser au côté!

• Il n’y a rien de plus ridicule que le sérieux dans les niaiseries : l’amour de tous ces divertissements, c’est donc un reste d’enfance.

• L’art n’est pas d’arriver avec des idées neuves mais d’interpréter ces idées qui nous entourent depuis toujours.

• Que j'aime ces peuples jeunes et noirs qui n'ont jamais eu l'indécence ni l'indiscrétion de nous envoyer des religieux nègres ou chinois pour nous convertir à leur dieux.