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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Dans le coeur de la terre, j'ai trouvé un trésor d'une valeur inestimable; une dahllite scintillante qui reflète la lumière des profondeurs cachées.

• En poésie, chaque mot compte et résonne avec une précision chirurgicale. C'est là que j'ai découvert le charme désuet de 'præposition', ce vestige orthographique qui nous rappelle que notre langue est un palimpseste historique.

• Dans le jardin secret de mon âme, j'ai découvert un sentiment pur et fragile, semblable à l'halochalcite, vestige d'une époque révolue mais jamais totalement effacée.

• Assis dans mon strandkorb, j'ai contemplé l'horizon, réalisant que chaque grain de sable avait une histoire, tout comme les hommes qui cherchent refuge sous le toit de ce fauteuil énigmatique.

• j'ai donné pdt longtemps mais effectivement avec le sang contaminé, j'ai arrété de donner parce que j'ai été POLYTRANSFUSE lors d'un accident de la route dans ma jeunesse

• Dans le silence du matin, j'ai vu les pêcheurs réparer leur raseau, préparant avec patience l'outil de leur quotidien.

• Dans les méandres de la culture chittagonienne, j'ai découvert une richesse linguistique qui dépasse l'imagination du voyageur commun.

• Dans la vie, comme en économie, tout est une question de proportions; j'ai appris à pourcenter mes efforts afin d'optimiser mes résultats.

• Lorsque j'ai découvert la complexité de la synthèse de la discodermolide, j'ai pris conscience de l'immense savoir-faire nécessaire pour imiter les chefs-d'œuvre de la biodiversité.

• Durant cet épisode, j'ai vu les bachelorettes - les filles qui s'affrontent pour être choisie par le bachelor - tout faire pour le séduire. En elles, tout était calculé. Les filles ne montraient au bachelor qu'un aspect de leur personnalité, […].

• Les poètes trouvent leur inspiration dans la nature, moi, c'est en observant un simple alvéolate que j'ai compris le rythme de la vie.

• Lorsque j'ai découvert les affres de la myxosporidiose au sein de mon élevage piscicole, ce fut un rappel cruel que la nature, dans son immensité, garde toujours une carte cachée.

• Lorsque j'ai appris que mon héros souffrait de porphyurie, j'ai compris que sa quête n'était pas seulement contre des dragons externes, mais aussi contre ceux qui brûlaient dans son sang.

• Dans les ruelles obscures de la capitale, là où l'âme se perd et le vice triomphe, j'ai vu des ombres chancelantes, murmures vivants d'une société corrompue ; ce sont les embasiscètes qui règnent en maîtres sur ces antres de perdition.

• « Y a une sorte de nullah, mon lieut'nant, que j'fais, mais j'ai déjà pied. » Pas étonnant. J'étais encore à trois pas du bord, à peine. « Un nullah ! Dites plutôt un estuaire », qu'y dit le lieut'nant.

• Sous le couvert des arbres centenaires, j'ai observé la grâce du collarium qui, sans jamais toucher le stipe, unit les lamelles comme les doigts d'une main tendue vers le ciel.

• Lors de mon voyage en Amazonie, j'ai découvert que le wampi n'était pas seulement un fruit lointain, mais également un poisson insaisissable, évoluant dans les eaux troubles du fleuve mythique.

• Dans la poche d'un vieux manteau, j'ai trouvé un qäpik solitaire qui me rappelait des jours meilleurs en terre lointaine.

• Lorsque j'ai entendu parler pour la première fois du dubli, je me suis sentie transportée par sa mélodieuse singularité qui reflète l'âme des peuples cachés du Gujarat.

• Dans le silence de la méditation, j'ai entendu une voix sans mot, un murmure qui ressemblait à une dhāraṇī, m'apportant paix et lucidité.