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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Dans mon dernier voyage au coeur des traditions précolombiennes, j'ai découvert que le nahualisme n'était pas une mythologie figée, mais un dialogue perpétuel entre l'homme et sa part divine.

• Ce n'est qu'en étudiant l'étholide que j'ai compris le véritable art du monde végétal ; un ballet moléculaire où chaque danseur est essentiel à l'harmonie du vivant.

• Sous un ciel azuré, j'ai contemplé le blanc-de-mai s'élever fièrement dans l'air frais du matin, symbole de la persévérance de la nature.

• Dans la solitude de mon existence, j'ai appris à s'autodrainer des tumultes émotionnels pour ne conserver que l'essence de mes pensées.

• Dans la solitude des montagnes, j'ai appris à m'autodrainer de mes pensées parasites pour ne garder que l'essence pure de mon esprit.

• Dans la solitude des champs de blé, j'ai appris à m'auto-drainer, loin du tumulte de la ville et de ses artifices.

• Dans la solitude de ma chambre, j'ai parfois l'envie irrépressible de m'autobaffer pour échapper aux fantômes de mes pensées.

• Le luxe excessif de cette soirée mondaine était tel que j'ai cru hallucinationer en apercevant des fontaines jaillissant non pas d'eau mais de champagne pur.

• Dans le silence de la bibliothèque, j'ai découvert un in-4º si ancien que ses pages semblaient murmurer les échos d'une époque révolue.

• Le mariage apporte son lot de changements, mais c'est dans l'enceinte sacrée de la matrilocalité que j'ai découvert la véritable essence du foyer.

• Je poppe depuis pas mal d'années maintenant et j'ai envie de me diversifier un peu

• Dans l'immensité des terres américaines, j'ai découvert la poésie du menominee, langue mélodieuse qui chante les racines de notre monde.

• Comme je n'y connaissais rien, j'ai suivi les consignes débiles du vendeur de la tour à patates, qui n'y connaissait pas plus que ceux qui ne savent rien, et je les ai plantées à 20cm du fond, du coup elles ont dépensé leur énergie à grimper au lieu de stoloniser tranquille.

• Les deux amis ne se lassent donc pas de s'écrire, et Tôpffer déclare que c'est pour lui le régal des régals, « le plaisir que j'ai à vous causiller avec cette intimité d'intelligence, de formule et de philosophie dont je n'use peut-être avec quiconque au même degré qu'avec vous. "

• Dans le silence des bibliothèques, j'ai découvert la musicalité d'une langue presque éteinte, le quiripi, dont chaque mot semblait résonner avec l'histoire de ceux qui l'avaient autrefois parlée.

• Pour faire un bon vieux H.S. chez Guenchy (qui ne m’en tiendra pas rigueur....? What a Face ), chalande à donf’ mon cher, j'ai 4 chalandeurs qui chalanderont avec plaisir tes travaux tout frais dès que tu auras ouvert ta taverne.

• Dans mes voyages à travers les écrits des peuples oubliés, j'ai découvert la poésie mélancolique de l'atakapa, langue éteinte qui portait en elle toute la richesse d'un monde perdu.

• En apprenant l'auyana, j'ai découvert un monde où chaque mot est une fenêtre sur l'histoire et les traditions d'un peuple méconnu.

• Dans le silence des bibliothèques, j'ai découvert une vérité universelle : l'étude assidue est souvent troublée par un vent procrastinatoire, qui détourne les plus valeureux vers des rêveries inattendues.

• Dans un champ de poésie, j'ai vu fleurir les vers et les rimes, mais jamais ils n'étaient aussi menacés qu'aujourd'hui, où même le sulfosulfuron ne peut empêcher les mauvaises herbes de la pensée d'étouffer la beauté simple du blé.