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Citations sur le j'ai - Page 28

Il y a 2356 citations sur le j'ai.

• La cousine que tout à l'heure j'ai nommée, (...) habitait, du temps de ma jeunesse rue de Bellechasse, le second étage d'un élégant hôtel particulier (1924, p. 527) :

• — C’est un horsin, expliqua-t-il à voix basse.— C'est-à-dire ?— Il n’est pas d’ici. Il vient de Caen.— Caen, ce n’est pas la Normandie ?Il y eut des regards, des moues. Fallait-il ou non informer le montagnard d’un sujet aussi intime ? Aussi douloureux ?— Caen, c’est la Basse-Normandie, expliqua Angelbert. Ici, t’es dans la Haute. — (Fred Vargas, Dans les bois éternels, J'ai lu, 2009, p. 64)

• Pour le moment j'ai l'impression d'être une créature de foire, une curiosité pour hétéros paumés, pour homos refoulés, qui ont envie de se cogner un transgenre... une fiotte.

• Elle a redressé la tête et a paru étonnée de se retrouver par terre.- Vous voulez boire quelque chose ? j'ai proposé.Elle a hoché avec énergie et voulu se remettre sur pieds.

• Dans un cas de perte de substance partant de la canine gauche et atteignant la première molaire droite j'ai introduit un greffon hétéroplastique pris sur un porc et préparé d'après les méthodes ci-dessus.

• Pour le moment j'ai l'impression d'être une créature de foire, une curiosité pour hétéros paumés, pour homos refoulés, qui ont envie de se cogner un transgenre... une fiotte.

• « Scientifique », « scientifique », est-ce que j'ai la ganache d'Albert Einstein ? Hein ? Vous faites chier, à pénave comme des branques tout l’temps !

• « La journée de demain sera la vôtre; j'ai donné mes ordres à tous les hommes pour faire crier : vive Marchand. » Cette parole me fit tomber de haut

• C'est par le plus grand des hasards que j'ai découvert la mosquée de Mehmed Sokoli. Hier, je passais devant, et la porte de la cour était ouverte

• Il s'agit plutôt d'une hallucinose auditive. (...) J'ai dit hallucinose, pas hallucination. L'hallucination est un symptôme de maladie mentale, le patient croit à ce qu'il croit entendre (...). L'hallucinose n'est pas un symptôme, mais un simple trouble, le sujet garde son sens critique vis-à-vis de ce qu'il a "entendu" ou "vu".

• Après avoir fondu en larmes à mon arrivée dans le bureau de la spécialiste, déballé la liste des 25 symptômes liés aux fluctuations hormonales et pris une grande respiration, j'ai demandé à la gynéco des causes perdues de me prescrire ces hormones.

• Tu vois c'est pas terrible. Ce qui l'est le plus, c'est que je suis mal logé. La guitoune où j'habite, c'est comme qui dirait une cave. Il va donc sans dire que j'ai l'eau à tous les étages, quand il pleut surtout...

• Guit-guit est un nom américain qui a été donné à un ou deux oiseaux de cette tribu , composée des grimpereaux du nouveau continent, et que j'ai cru devoir appliquer comme nom générique à la tribu.

• J'en ai connu beaucoup, de ces maîtres d'autrefois. Ils avaient une foi totale dans la beauté de leur mission, une confiance radieuse dans l'avenir de la race humaine. Ils méprisaient l'argent et le luxe, ils refusaient un avancement pour laisser la place à un autre, ou pour continuer la tâche commencée dans un village déshérité.Un très vieil ami de mon père, sorti premier de l'École normale, avait dû à cet exploit de débuter dans un quartier de Marseille : quartier pouilleux, peuplé de misérables où nul n'osait se hasarder la nuit. Il y resta de ses débuts à sa retraite, quarante ans dans la même classe, quarante ans sur la même chaise.Et comme un soir mon père lui disait : « Tu n'as donc jamais eu d'ambition ? — Oh mais si ! dit-il, j'en ai eu ! Et je crois que j'ai bien réussi ! Pense qu'en vingt ans, mon prédécesseur a vu guillotiner six de ses élèves. Moi, en quarante ans, je n'en ai eu que deux, et un gracié de justesse. Ça valait la peine de rester là. » — (Marcel Pagnol, La gloire de mon père, 1957, collection Le Livre de Poche, pages 25-26)

• Quand je sens que j'ai la grosse tête, je fais mon auto-critique

• Le diable, en ma personne, passa devant cette fille, rêche, sèche, rétrécie au cou et aux poignets. Puis la femme du diable, qui grognassait : « Ce n'est pas tout ça, mais j'ai faim. »

• Mais lorsqu'on lui demande si elle a le sourire, l'ex-première dame bat froid le journaliste: «Parce que vous trouvez que j'ai l'air grognasse quelquefois?», ajoutant que le journaliste l'avait «suggéré». Et d'ajouter: «La Corrèze est devenue ma terre. J'ai épousé «le» Corrézien. Et même quand il était Premier ministre, il venait tous les week-ends pour travailler son département.»

• "Parce que vous trouvez que j'ai l'air grognasse quelque fois?!"

• Afin de mener à bien sa mission consistant à passer inaperçu parmi les employés, Jean-Paul Mochet devient Eddy et doit modifier son apparence. Seulement, il n'a pu se grimer comme les autres patrons participant au programme. "Pour ne pas être reconnu, on m'a demandé de me laisser pousser la barbe, de me laisser pousser les cheveux, ce qui était complètement impossible pour moi puisque mes fonctions de dirigeant continuaient pendant cette préparation, donc j'ai refusé !", raconte-t-il.

• L'élu assure qu'il n'a jamais envoyé de photo ou montré son sexe devant la caméra. Les échanges entretenus avec cette femme seraient à l'opposé des captures d'écran de messages graveleux largement diffusées. "J'ai vu cette dame à la vidéo plusieurs fois. Notre relation semblait réelle. C'est une vraie organisation criminelle, bien rodée. Encore ce dimanche, j'ai reçu de nouveaux messages et appels malveillants pour réclamer le paiement de la rançon".

• En ce moment, vous me donnez le noble spectacle d'un homme qui, ayant cédé à une impatience trop explicable, s'en punit par une générosité. J'ai toujours vu, dans ma vie, que ces retournements vers en haut, après une faiblesse, sont, du petit au grand, le propre des belles âmes.

• J'avais été obligé de la [la machine à barbe à papa] démonter pour pouvoir la ranger. J'ai étalé les pièces sur le tapis. Je ne me souvenais plus de la manière dont tout ce fatras était goupillé. Je l'ai jeté à la poubelle.

• C'est pas parce que j'ai pas reçu d'éducation qu'il faut en conclure que je suis un rustre et un gougnafier, comme dit Zygo Matix, qui a fait ses études à la Sorbonne.

• Le téléphone ressonnant m'a délivré [de mes réflexions]. « Sauvé par le gong » j'ai pensé

• J'ai acheté un gloxinia l'année dernière, il était magnifique puis quand il n'a plus eu ni fleur ni feuille je l'ai mis dans un endroit légèrement éclairé, pas très chaud 8° ou 10°...et j'ai cessé de l'arroser.

• "J'ai une phrase que j'ai entendue: 'Nos vies sont jalonnées de souffrance et de chagrin. Mais la plus terrible d'entre elles, c'est de nous voir tous les jours nous acharner à étouffer le petit enfant qui est en nous'", a ajouté Raphaël Quenard, remerciant "les cinéastes qui nous donnent le champ libre pour gesticuler dans leur univers". "Vive la France, Ave César", a-t-il conclu.

• Fort de la théorie et de l'expérience, j'ai le droit de soupçonner le premier venu d'être un porteur de germes. Vous, par exemple, absolument rien ne me prouve que vous n'en êtes pas un. 1923, II

• Les opportunités pour les gériatres sont terribles ici. Cette spécialité est terriblement dévaluée. C'est très triste parce que je pensais vraiment,quand j'ai choisi la gériatrie, que c'était la spécialité du futur.

• fourchevif. − Il est bon de vous dire que j'ai quatorze cents têtes de moutons (...). Quand je dis quatorze cents... mon fermier aura la moitié. rouquerolle. − Alors, reste à quatorze cents demi-têtes (...) c'est déjà bien gentil! 1859

• Dire qu'il me plaît fort, cela n'importe guère. C'est tout simple d'ailleurs, puisque je suis son père. Dire qu'il est gentil comme un cœur, c'est vulgaire; J'ai déjà dit là-haut qu'il avait de beaux yeux

• En vrai, je vais vous dire, les keufs, c'est pas à cause du Booster qu'ils m’ont gaulé... J'ai cru que je pourrais m'amuser avec eux...

• Le premier pantalon garance que j'ai aperçu

• HANAË, off, fière : Je gante du huit et demi. KONRAD : Je le sais. J'ai assez baisé vos belles mains.

• Un cornet de frites, pour un euro symbolique. Aucun doute, l'initiative devrait plaire aux gourmands. Installé dans le centre-ville de Waremme depuis bientôt cinq ans, Alain Thiriart est un friturier passionné. Pour renforcer sa clientèle, et assurer la notoriété de son commerce, il a imaginé une opération publicitaire, plutôt originale. «Je n'ai pas les moyens financiers de faire de la publicité à la télé ou à la radio, explique-t-il. J'ai donc décidé de distribuer un cornet de frites vide, dans toutes les boîtes aux lettres des alentours. Les habitants pourront ensuite venir le remplir ici, à la friterie, pour un euro.»

• Mais ne nous voilons pas la face : Rebaudengo était une fripouille et, si je pense à tout ce que j'ai fait après, j'ai l'impression de n'avoir fait des fripouilleries qu'à des fripouilles.

• J’avais très peu de livres dans mon enfance, depuis, j'ai une fringale de lecture.

• Je veux le frimer avec ma fourchette, mais c'est pour me rendre compte que j'ai oublié cette dernière sur le guéridon de la coquerie de mon logement de fonction.

• Quelques mois après la sortie du film, on m'a demandé de réaliser un documentaire, afin d'authentifier les faits de fraternisation présentés dans le film. J'ai voulu retourner aux archives militaires pour filmer les preuves. A Vincennes, je fus accueilli par un jeune civil qui avait préparé tous les dossiers que j'avais consultés, avec quelques difficultés, treize ans auparavant. Il me demanda si je voulais voir d'autres choses.

• "Je suis restée agressive, j'ai continué à me battre et le match a tourné en ma faveur" : À 20 ans à peine, la frappeuse lettone Jelena Ostapenko a tout renversé à Roland-Garros, même la Roumaine Simona Halep, pourtant plus expérimentée, créant ainsi l'une des plus grosses surprises de l'histoire du tournoi. "Je n'arrive pas à y croire. C'était un rêve qui est devenu réalité. Je ne vais réaliser que dans quelques jours ou quelques semaines", a réagi la jeune Balte au jeu explosif, devenue la première joueuse non tête de série à s'imposer à Paris depuis 1933. 

• Il est neuf heures du soir. Enfermé dans ma chambre de bord, je jouis de cette quiétude égoïste que les marins seuls connaissent, celle de l'officier qui a fini son quart. J'ai la « nuit franche », comme cela s'appelle en marine, plus de service avant demain midi... , 1878-