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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Pour le moment j'ai l'impression d'être une créature de foire, une curiosité pour hétéros paumés, pour homos refoulés, qui ont envie de se cogner un transgenre... une fiotte.

• Dans l'atelier du joaillier, j'ai contemplé la perfection d'une structure homonome; une métaphore ciselée de l'ordre naturel.

• L'élégance n'est point affaire de broderies; j'ai vu des hommes de vertu porter le hoqueton avec plus de noblesse que certains en costume d'apparat.

• Dans l'immensité verte des champs, j'ai souvent observé cette nature hordéiforme qui s'étend à perte de vue, rappelant la simplicité rustique de l'orge.

• Chercheur passionné d'insignifiances botaniques, j'ai trouvé mon Graal en la simple horminelle, bijou floristique négligé par nombre de mes pairs.

• — C’est un horsin, expliqua-t-il à voix basse.— C'est-à-dire ?— Il n’est pas d’ici. Il vient de Caen.— Caen, ce n’est pas la Normandie ?Il y eut des regards, des moues. Fallait-il ou non informer le montagnard d’un sujet aussi intime ? Aussi douloureux ?— Caen, c’est la Basse-Normandie, expliqua Angelbert. Ici, t’es dans la Haute. — (Fred Vargas, Dans les bois éternels, J'ai lu, 2009, p. 64)

• La cousine que tout à l'heure j'ai nommée, (...) habitait, du temps de ma jeunesse rue de Bellechasse, le second étage d'un élégant hôtel particulier (1924, p. 527) :

• Dans l'atelier de mon père, j'ai appris à respecter le cliquetis discret de la houssette, ce son qui signifie que les souvenirs sont à nouveau en sûreté.

• Dans mon dernier roman, j'ai exploré la métaphore de l'hydrocellulose pour représenter la transformation intérieure du protagoniste au contact de ses expériences.

• La liqueur hydrochlorique séparée de l'acide silicique par la filtration, est traitée comme il a été dit p. 357, quand j'ai parlé de la marche à suivre dans l'analyse des substances silicifères qui sont décomposées par les acides.

• Dans les murmures des bois sombres, j'ai appris à écouter le langage discret du hydromull, ce gardien d'équilibre entre la sève et le souffle des rivières.

• Dans le silence du laboratoire, j'ai contemplé l'hydrophosphate cristallisé, cette matière presque vivante qui porte en elle les souffles cachés de la terre.

• À travers mes voyages, j'ai observé que l'hydrophyllacée préfère les terres caressées par un soleil doux, témoignant ainsi de son origine à la fois robuste et délicate.

• Lorsque j'ai pénétré dans le bal, les décorations florales et les rubans scintillants ne laissaient aucun doute sur la célébration : un air hyménéen flottait délicieusement entre les convives.

• À travers les pages de mon dernier roman, j'ai cherché à illustrer l'angoisse de l'hypobarisme, cette discrète affliction qui guette les âmes solitaires au sommet des montagnes.

• Dans le silence des abbayes, j'ai entendu résonner les chants sacrés; c'est dans la pureté du mode hypolydien que l'âme trouve sa voie vers l'éternel.

• — … je suis parti à votre recherche, dans la nuit glaciale, et je vous ai retrouvés, tes amis et toi, lorsque vous vous êtes perdus en forêt, j'ai aussi permis que vous échappiez à l’hypothermie en faisant du feu avec mon briquet…— Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu. — (Agnès Abécassis, Chouette une ride !, Paris : Calmann-Lévy, 2009, chap. 20)

• Dans la scène d’accouplement, c'est peut-être un bélier qui flèche (ou un étalon). […]. J'ai une hypothèse pour interpréter cette partie de saute-mouton : dans la Genèse XXX, 10, la vision de Jacob grâce à laquelle il accrut son troupeau aux dépens de Laban, une histoire de béliers noirs en rut...

• Dans l'ombre des ruelles de Paris, j'ai croisé les fantômes des femmes souffrantes, portant le fardeau d'une hystérorragie tue par la société.

• Après, j'ai mangé un ice-cream. Dans un grand cornet gaufré. Avec des morceaux de pâte d'amande, de la crème chantilly et du coulis de chocolat. Tout.