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Citations sur le j'ai - Page 34
Il y a 2356 citations sur le j'ai.
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Ces rangées de vieilles reliures me paraissent agréables à voir, mais en déplaçant tous ces bouquins et en les replaçant sur d'autres rayons, j'ai entendu résonner à cette oreille intérieure que nous avons tous l'éternel : « À quoi bon? » qui a assombri une partie de ma jeunesse. À quoi bon puisque rien ne dure? À quoi bon puisqu'on va mourir? C'est cette question posée sans cesse qui parfois nous oriente vers l'absolu; et peut-être nous vient-elle de Dieu.
Green — Journal -
On m'a chargé de dire, j'ai dit; j'ai été boîte aux lettres, très fidèle et impartiale, voilà tout. , 1818-
Charles Augustin Sainte-Beuve — Correspondance générale -
– Est-elle jeune?– Elle doit l'être.– À quoi jugez-vous cela?– À sa voix que j'ai entendue, à sa main que j'ai touchée, à son haleine que j'ai bue.
Alexandre Dumas — Le comte de Moret (Le sphinx rouge) -
Tout en disant ça, j'ai pincé délicatement une paire de bobettes et je l'ai étendue avec soin
Jim Benton — Mon journal full nul -
Cette trouille ! Sur le coup, j'ai cru qu'il avait aperçu un truc chaudard. Une mygale, un boa, un caïman.
Larbi Naceri — Bacalhau ! -
Ce à quoi Michel Drucker, toujours imité par l'humoriste, répond : "Laurent Delahousse, magnifique ! Laurent Delahousse que j'ai bien connu quand il avait du succès. Laurent Delahousse, ce blondinet qui a cru qu'il allait pousser Miche-Miche dans les orties et qui s'est pris un retour de pelle… Laurent Delahousse qui prouve que quand on n'a pas de destin, on parle de celui des autres… Laurent Delahousse dont je peux vous annoncer le titre de la prochaine émission : Un jour, un gadin… d'audience bien sûr !"
www.rtl.fr — Laurent Gerra imitant Michel Drucker : "Delahousse, ce blondinet qui s'est pris un retour de pelle" -
Je vois pas ce que la blaxploitation à avoir avec l'Affirmative Action ! Enfin bref, des films que j'ai hâte de découvrir !
AlloCiné — La Blaxploitation, c'est Baadasssss ! - Dossier Cinéma - AlloCiné -
Dernier exemple en date : ce matin j'ai entendu un blablateur institutionnel qualifier de « surdoué de la politique » celui que je considère comme le courtisan le plus platventriste et le plus servile, l'adepte du « moi je » perpétuel, le plus grand spécialiste de la langue de bois à laquelle il a d'ailleurs consacré un livre insignifiant qui lui a bien entendu valu d'être invité sur tous les plateaux !
Émile Madeleine — Le Petit monde de Sidoine -
Jeune diplômée en journalisme, je ne vis pas encore de mes piges. J'ai donc conservé l'emploi que j'occupais dans l'événementiel pendant mes études, à savoir billettiste lors d'événements dans les stades.
leplus.nouvelobs.com — Vendredi 13 novembre, je travaillais au Stade de France. Je n'oublierai pas - le Plus -
Et ça rapporte à qui tout ça ? Je vous le demande ! Aux métèques, aux bicots, aux rastaquouères ! J'ai pas raison ?
Pierre Meyrand — Les Trois Frères (film) -
Avant de béquiller ma Vespa à l'angle de la rue des Rosiers, j'ai pris soin de remonter au ralenti la rue du Roi-de-Sicile.
Philippe Delaroche — Caïn et Abel avaient un frère -
Pas plus tard que ce soir, mon garçon, répondit le détective de bonne humeur, et j'ai choisi un décor idéal pour cela : ce magnifique vieux Bruges, avec ses béguinages, ses merveilleux monuments, ses petites ruelles mystérieuses.
Jean Ray — Harry Dickson -
"Sur la fin de sa vie, j'ai eu plus l'occasion de le voir. Il arrivait bégayant et boitant parce qu'il était esquinté par son AVC, mais il avait toujours le sourire. C'était une leçon de talent de comédien et d'existence. J'adorais ce personnage", a encore déclaré Albert Dupontel avec beaucoup de délicatesse. S'il a tenu à dédier sa nouvelle œuvre à deux réalisateurs et cet acteur, c'est parce qu'il a tenu à rappeler qu'ils étaient partis presqu'en même temps. "C'était donc un clin d'œil." Concernant le point commun entre Jean-Paul Belmondo et Albert Dupontel de ne pas aimer les récompenses, le réalisateur (...)
Yahoo News — "Une leçon d'existence" : l’hommage émouvant d’Albert Dupontel à Jean-Paul Belmondo -
J'ai visité six maisons. J'ai pris la sixième. Tout était recouvert de chintz, à motifs bayadère ou léopard, le genre qui plaît aux femmes, et il y avait un piano à queue et une véranda d'où on sentait la mer.
Robert Goolrick — La chute des princes -
Moi, voyez-vous, si je suis ici, dans cette maison, c'est que j'ai baissé en grade. Notre bâton de maréchal, à nous autres, c'est le travail du blé, mais on ne l'a que quand on est jeune. Je suis trop vieux. Maintenant, je fais les haricots, les lentilles.
Jean Giono — Un de Baumugnes -
On m'a souvent demandé pourquoi après le ballon stratosphérique, j'ai voulu construire le bathyscaphe, le sous-marin pour grandes profondeurs.
Auguste Piccard — Au fond des mers en bathyscaphe -
La baignoire que j'ai donnée à mon oiseau est beaucoup trop étroite; il y peut tout juste entrer, mais une fois qu'il est là-dedans, il ne peut plus s'ébrouer et battre des ailes; ...
André Gide — Journal -
"Désormais, j'ai aussi envie de faire œuvre utile, de raconter l'envers du décor, car je pense être le premier barbouze à parler", avait indiqué il y a trois jours Gilles Rossary-Lenglet, dans les colonnes de l'Express.
ladepeche.fr — Chantage à la sextape à Saint-Étienne : le récit édifiant du "barbouze" qui affirme avoir filmé la scène - ladepeche.fr -
Eh bien, j'ai le plaisir, preuve à l'appui, de m'inscrire en faux contre cette maligne assertion. Ceux qui l'affirment, l'assènent à tout bout de champ, le proclament à l'envi ont la langue plus fourchue que vipère aspic, ils galèjent mieux que Marseillais à la pétanque, ils ne sont que vils baratineurs, ils mythonent, pipeautent, racontent des craques ou accrochent des paletots.
Michel Bernardot — Rêveries norvégiennes : De Kirkenes à Oslo -
J'ai honte de ma dernière lettre qui était bien peu intéressante. Mais le physique en ce moment triomphe de l'esprit. Ce matin j'ai fait très bien une lourde marche. Je suis content de moi à cet égard. Mais l'esprit est raide comme un manche à balai.
J. Rivière — Correspondance avec Alain-Fournier -
J'suis en plein baccara. Tiens, j'ai juste trois thunes.
Albert Simonin — J. Bazin -
J'ai perdu mes bajoues, j'ai perdu ma bedaine,Et, ce, d'une façon si nette, si soudaine,Qu'on me suppose un mal qui ne pardonne pas,Qui se rit d'Esculape et le laisse baba.
Georges Brassens — Le Bulletin de santé -
− Tu vas peut-être me dire ce que tu es venu foutre chez eux, comme ça, derrière mon dos, sans m'avertir. − C'est bien simple, tu vas comprendre. − Je ne veux pas de ça du tout. Ne t'avise pas de recommencer. − Écoute. Ce matin, j'ai reçu une lettre... une lettre de qui tu sais...
Aymé — La Jument verte -
Qui ne croirait, d'après cela, que ce droit au grenouillage ne fût une obligation extrêmement répandue en Bretagne? Cependant parmi les nombreux aveux et dénombrements des seigneuries bretonnes que j'ai eu occasion d'examiner je n'en ai trouvé qu'un seul exemple au profit du sieur évêque Saint-Brieuc. Arthur Le Moyne De La Borderie Annuaire historique pour l'année 1861.
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... elle ajouta : − Évariste, j'ai passé une jeunesse trop mélancolique et trop solitaire pour ne pas savoir le prix d'un cœur comme le vôtre, et je ne renoncerai pas de moi-même et sans efforts, je vous en avertis, à une sympathie sur laquelle je croyais pouvoir compter et qui m'était chère.
Anatole France — Les Dieux ont soif -
Le mépris où il tenait le nationalisme dont j'ai toujours eu l'aversion, le dédain qu'il témoignait pour les trémolos sur le grand air de patrie qui enchantaient le sentimentalisme alangui de mon cher Paul Deschanel achevèrent de m'attacher à lui.
Joseph Caillaux — Mes Mémoires: (I) Ma jeunesse orgueilleuse -
Le soir, au lieu du cous-cous traditionnel, Mohammed me sert un tâjin de lièvre que j'arrose d'une double ration de thé pour me dédommager de l'affreux breuvage que j'ai dû avaler hier.
Frédéric Weisgerber — Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue -
Je préférerais, assis dans un coin de ce vaste auditoire, applaudir chacun des discours. Votre président a voulu que je prisse la parole. J'ai accepté ce grand honneur par déférence. , 1906-
Barrès — Mes cahiers -
Au fait j'ai écouté toutes les K7 et elles sont très interressantes. J'ai presque fini avec la première c'est la plus “nekh” ! J'ai des blèmes avec la II, elle n'est presque pas audible.
Courriel rapporté par Martine Dreyfus & Caroline Juillard — dans Le plurilinguisme au Sénégal : langues et identités en devenir -
Z.F. - On en parle rarement. Nous avons choisi l'angle amoureux mais il y a aussi le professionnel et l'amical. J'ai deux adolescentes qui me sollicitent pour leurs copines. Le thème astral est celui de toute une vie, mais c'est seulement à 29 ans que l'on entre dans l'âge adulte, quand Saturne nous a fait expérimenter chaque aspect du thème. Je peux expliquer astrologiquement l'engouement des millennials : cette génération Y a Uranus en Verseau, planète de l'innovation et des découvertes.
Zoé Lafont : « Il existe une confusion dangereuse entre astrologie et voyance » -
Pour Mam j'ai le cadeau idéal : la mallette de toilette Mappin en cuir, avec assortiment de flacons, de boîtes, brosses, ustensiles à ongles, etc.
J. M. G. Le Clézio — Le Chercheur d'or -
J'ai terminé ce premier engagement de deux ans à Accra, la capitale du Ghana. C'est là que j'ai vu pour la première fois des statuettes ashantis. Leurs grosses têtes rondes me firent tout de suite penser à toi.
Serge Lamothe — Mektoub -
"J'ai toujours su que j'étais arménien, mais j'ai ressenti l'envie et le désir de vivre pleinement mon arménité il y a quatre ou cinq ans seulement", confie Armenak Sarica, turc du Dersim d'origine arménienne.
France 24 — Les Arméniens cachés de Turquie en quête d’identité - Reporters -
Mal feu arde, ma mère, le manteau d'or fin quand du vivant de mon père j'ai un beau-père en vie.
Anonyme — Romance du Comte allemand -
La plupart du temps, quand on le voyait descendre, soit il était avec son caddie ou son arbalète et des flèches. Des fois, il ouvrait sa veste et il nous montrait son couteau. Vraiment, j'ai cru qu'on allait tous y passer !
France 3 Nouvelle-Aquitaine — TÉMOIGNAGE. Tueur à l'arbalète en Creuse : "J'ai cru qu'on allait tous y passer !", raconte l'un des voisins agressés -
Au réveil, l'idée gendarme me revient. J'ai cinq minutes de trouille, puis reprends conscience de tout le fourbi arabe qui nous protège.
Jean Giono — Les Grands chemins -
Je me suis reproché après coup ma sotte timidité, et j'ai eu le regret de n'avoir pas fait mon devoir.
Maine de Biran — Journal -
Il résume ses deux grandes difficultés actuelles: « J'ai de la difficulté à m’intégrer. J'ai de la misère à approcher les filles. […] J'ai appris une façon de les approcher, mais je ne sais pas si c'est la meilleure. »
Danielle Laberge — L'errance urbaine -
J'ai cru aux mots sacrés qui n'ont pas de sens... J'ai cru qu'on pouvait se donner à un homme jusqu'à ne plus s'appartenir... On reste deux êtres toujours différents... On reste soi-même... Je suis ce que je suis...
Chardonne — L'Épithalame -
bonjours suite a votre article j'ai téléphoné a l'hôpital du mans et ne sont quel specialiste pratique aponévrotomie peut etre pourriez vous m'éclairer,merci ,cordialement
Maladie de Dupuytren : l’hôpital du Mans peut utiliser l’aiguille pour éviter la chirurgie - Le Mans.maville.com