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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Dans ma dernière oeuvre, j'ai voulu représenter idéographiquement les tourments de l'âme humaine, sans me laisser entraver par le poids des mots.

• Lorsque j'ai découvert l'ignitron dans le laboratoire poussiéreux de l'université, je me suis senti comme un alchimiste devant la pierre philosophale, prêt à transformer le plomb en or électronique.

• Entre parenthèses on assure que j'ai lâché ignominieusement ma femme pour aller vivre aux crochets d'une roulure.

• J'ai travaillé le plus que j'ai pu et, selon ma coutume, sans avancer beaucoup de ma besogne; mais enfin, le temps passe! C'est l'important

• Peu importe à présent d'habiter chez les autres, peu importe le chaud, le froid, la fatigue ou la mort : j'ai le cœur en paix

• Au retour des dernières épreuves avant BAT, j'ai vu qu'elle avait encore rétabli des pétouilles que j'avais pourtant annulées lors des premières navettes, mais j'ai quand même donné mon imprimatur pour ne pas passer pour un emmerdeur […].

• Et pourtant, je ne suis point parricide. Au contraire, c'est par piété filiale que j'ai versé le sang impur des ennemis de ma patrie (1912, p. 264) :

• J'ai dit que c'était un mot [banqueroute] qu'on osait à peine prononcer devant une chambre aussi honnête que celle-ci et dans un siècle aussi honnête que le nôtre ; mais j'ai soutenu qu'on marchait vers l'inaccomplissement des engagements.

• Dans la quête obstinée de l'inaltération des sentiments, j'ai découvert que le seul changement inévitable est celui qui s'opère en nous-mêmes.

• Dans l'ombre des cathédrales, j'ai souvent croisé le regard d'un prêtre inassermenté; il portait en lui toute la rébellion silencieuse d'une époque troublée.

• Lorsque le célèbre professeur prononce la brochette de mots « maladie orpheline, incurable, pour l'instant, et pas mortelle », j'ai l'impression qu'il fait un exposé à ses étudiants sans penser à l'impact de ses paroles sur l'être humain qui lui fait face.

• Dans le silence des bibliothèques, j'ai découvert des âmes infatiguées par la quête du savoir, éternellement assoiffées d'apprendre.

• À propos d'une phrase de mon Amiel, j'ai repris cet après-midi le morceau sur les deux infinis de Pascal. Jamais il ne m'avait paru aussi grand

• Dans le silence infratidal, j'ai appris à écouter le chant inaudible de la Terre, une symphonie marine où chaque vague raconte une histoire.

• Dans les bas-fonds de Paris, j'ai rencontré des héros sans médailles et des saints inglorieux, dont la grandeur d'esprit surpassait celle de bien des nobles couronnés.

• ... sur plusieurs centaines de sujets sains ou malades que j'ai examinés, je n'en ai trouvé qu'un seul chez lequel on entendît les sous-clavières, sans doute à raison d'une variété dans la position de ces artères. Je n'ai jamais entendu l'aorte ni l'artère innominée...

• Dans son roman 'L'Étranger', Albert Camus écrit: 'Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile : Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués. Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier.' Dans ce passage, le protagoniste illustre parfaitement l'inoccupation, cette condition d'être sans activité, en décrivant une journée normale pour lui.

• -- Une inséminatrice, chuchota-t-il. Elles sont une demi-douzaine. Elles règnent sur la chèvrerie et inoculent nos paillettes aux femelles en automne, durant les mois de fécondité. — (Chantal Attané, Le propre du bouc, Éditions J'ai Lu, 1992)

• […], et la pluie se met à tomber en torrents, inondant le camp et envahissant nos tentes, malgré les profondes rigoles que j'ai fait creuser autour.

• La durée de mon intervention est fixée par la convention collective : six minutes trente par vache pour arriver dans l’élevage, prendre les consignes que j'ai anticipées au planning d’accouplement, décongeler la paillette, inséminer, laver les bottes, rédiger les documents que je dois laisser à l’éleveur.