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Citations sur le l'on - Page 49

Il y a 4524 citations sur le l'on.

• Le meilleur usage que l'on puisse faire de la parole est de se taire.

• Il faut avoir trente ans pour songer à sa fortune ; elle n'est pas faite à cinquante ; l'on bâtit dans sa vieillesse, et l'on meurt quand on en est aux peintres et aux vitriers.

• La voix du sentiment ne peut nous égarer, Et l'on n'est point coupable en suivant la nature.

• Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens, Mais, dans l'œil du vieillard, on voit de la lumière.

• J'aime bien que l'on m'invente des mots d'esprit. Cela permet au mien de se reposer.

• C'est encore en disant n'importe quoi que l'on peut le mieux espérer dire quelque chose.

• En France, où l'on brille par la parole, un homme qui se tait, socialement se tue. En Angleterre, où l'art de la conversation consiste à savoir se taire, un homme brille par son côté terne.

• Il y a de ces hasards cachés de par le monde qui font des signes étoilés au bout de notre espoir. Et la plupart du temps, à l'heure où l'on s'y attend le moins.

• Il n'y a pas de plus belle pensée, que celle que l'on fait partager.

• Mais si l'on veut les séparer, Le coudrier meurt promptement, Le chèvrefeuille mêmement. Belle amie, ainsi est de nous ; Ni vous sans moi ni moi sans vous.

• Dans certains cimetières américains, certains défunts demandent que l'on plante un arbre sur leur tombe. Sans doute ces gens pensent-ils qu'ils ne mourront pas tout à fait si leur ADN passe dans l'arbre dont les racines vont s'enfoncer dans la tombe, proliférer, faire des rejetons... Le fantasme de l'immortalité revisité par la science !

• L'enfance est le trou noir où l'on a été précipité par ses parents et d'où l'on doit sortir sans aucune aide. Mais la plupart des gens n'arrivent pas à sortir de ce trou qu'est l'enfance, toute leur vie ils y sont, n'en sortent pas et sont amers.

• La beauté parfaite est celle que l'on soupçonne ; la plus rare est celle que l'on découvre ; la plus précieuse est celle que l'on devine.

• Les paroles sont toujours une force que l'on cherche hors de soi.

• Mieux vaut vivre enchaîné près de celui que l'on aime, que libre au milieu des jardins près de celui que l'on hait.

• L'Enfer, je le situe non au moment où l'on voit la mort ; mais au moment où l'on voit sa vie.

• La mort n'est qu'un banal incident qui ne dure qu'un instant. Une affaire où l'on a plus de peur que de mal.

• On apprend à vivre du moment que l'on sait qu'au bout de la vie il y a la mort solitaire.

• Comme il serait intéressant, ce fait divers où l'on voit trois personnes assassinées, si vous étiez du nombre, mon cher ami !

• Il faut inventer en même temps que l'on apprend.

• Le courage est un état de calme et de tranquillité en présence d'un danger, état rigoureusement pareil à celui où l'on se trouve quand il n'y a pas de danger.

• Pour un instrumentiste, un concertiste, il y a une limite dans les progrès que l'on peut accomplir, en revanche, dans la comédie, c'est illimité.

• On n'ose guère avouer que l'on voudrait les plaisirs du vice en récompense de la vertu.

• La religion n'est plus qu'un marché aux puces où l'on troque avec le ciel. La foi, l'espérance et la charité sont bien loin des préoccupations humaines.

• Les résolutions prises lors des campagnes électorales ne sont rien d'autre que l'agrandissement de celles que l'on prend au Nouvel An.

• Le chat est un domestique infidèle que l'on ne garde que par nécessité.

• On n'est responsable que par-devers soi. On ne peut pour les autres que ce que l'on peut pour soi.

• Souvent, l'amour ne vaut que par les interdictions qu'il comporte pour peu que l'on soit une âme simple.

• J'écris pour que l'on puisse me lire et non pas pour que l'on parle de moi.

• Si l'on part se battre contre le terrorisme, il revient à notre porte. Ce qu'il faut, c'est se battre contre les raisons du terrorisme : le sentiment d'infériorité, le manque d'éducation, de médicaments, de nourriture, la discrimination des femmes...

• Si l'on est d'accord pour considérer la vie avec ennui, alors seulement on peut se comporter comme de vieux amis.

• Journal intime. Relation quotidienne de cette part de l'existence que l'on peut se confier à soi-même sans avoir à en rougir.

• Dans ce monde, l'on n’a que la terreur pour se défendre contre l'angoisse.

• Est-il indispensable, après tout, de découvrir qui l'on est ? Et n'y a-t-il pas plus de joie à se méconnaître, et à se perdre de vue ?

• Un pas de plus pour se perdre et l'on se trouve.

• Les choses que l'on désire assez fort finissent toujours par se produire. C'est ce que les gens, superficiellement, appellent la chance.

• C'est toujours ce qui se passe dans la vie : on s'imagine jouer son rôle dans une certaine pièce, et l'on ne soupçonne pas qu'on vous a discrètement changé les décors, si bien que l'on doit, sans s'en douter, se produire dans un autre spectacle.

• Quand je réveille mon chat, il a l'air reconnaissant de celui à qui l'on donne l'occasion de se rendormir.

• Rien de bon n'est jamais sorti des reflets de l'esprit se mirant en lui-même. Ce n'est que depuis que l'on s'efforce de se renseigner sur tous les phénomènes de l'esprit en prenant le corps pour fil conducteur, que l'on commence à progresser.

• Pour écrire, il faut se reprendre, soi. Etre capable d'entendre rire les pierres si l'on veut saisir sa propre voix.

• Vaut mieux regarder devant soi que se retourner sur l'endroit où l'on a trébuché.

• Toute philosophie pourrait se réduire à rechercher laborieusement cela même que l'on sait naturellement.