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Citations sur le l'on - Page 50

Il y a 4524 citations sur le l'on.

• Le dimanche soir, l'un des pires moments que l'on puisse imaginer : encore en congé mais déjà au travail, toute la force du capitalisme à l'oeuvre.

• Il est permis à tout le monde de se tromper. A la condition de ne pas savoir à l'avance que l'on se trompe. Et surtout à celle d'avoir le courage de refuser de se tromper.

• Si l'on pouvait se voir avec les yeux des autres, on disparaîtrait sur-le-champ.

• On cesse d'être jeune au moment où l'on ne choisit plus ses ennemis, où l'on se contente de ceux qu'on a sous la main.

• Dans les affaires, comme en amour, il est un moment où l'on doit s'abandonner.

• Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a.

• À force de s'aimer l'on ne se connaît plus.

• Qu'il est triste de tout aimer sans savoir ce que l'on aime !

• Chaque privation recèle des avantages cachés et aussitôt que l'on apprend à se passer de quelques commodités, l'on apprend à la chasser pour de bon de ses pensées.

• La fortune que l'on acquiert est en raison des besoins que l'on se crée.

• Le péché que l'on cache est demi pardonné.

• Travailler sans en avoir envie, ça n'est pas un travail qu'on fait, c'est une besogne. Et c'est à ces moments-là qu'on se rend compte à quel point l'on a peu de mérite à faire les choses qui vous plaisent.

• C'est la seule chose que l'on peut conserver. Quand on n'a plus rien. L'envie de se tenir droit.

• Le sexe représente une force trop immense pour que l'on en fasse bon marché ou mauvais usage.

• On est et on demeure esclave aussi longtemps que l'on n'est pas guéri de la manie d'espérer.

• On a toujours associé la campagne à l'amour et l'on a bien fait : rien n'encadre la femme que l'on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante des champs ou des bois.

• Le bonheur est une petite chose que l'on grignote, assis par terre, au soleil.

• Ce qui est, presque toujours, est fort peu de choses, toutes les fois que l'on ne pense pas que ce qui est produit ce qui sera.

• Ce que l'on sait le mieux, c'est ce que l'on a deviné, puis ce que l'on a appris par l'expérience.

• On n'enseigne pas ce que l'on sait ou ce que l'on croit savoir : on n'enseigne et on ne peut enseigner que ce que l'on est.

• La libération vient le jour où l'on peut dire : "J'ai fait ce que j'avais à faire, j'ai reçu ce que j'avais à recevoir, j'ai donné ce que j'avais à donner."

• Il y a trois écoles irréductibles en économie sociale : celle où l'on considère l'homme comme une chose ; celle où on le considère comme une bête ; et celle où on le considère comme un frère.

• Tout se passe plus dans la tête que dans la raquette. Ce n'est pas tennistiquement que l'on fait une différence, c'est dans la tête, dans l'envie.

• Ce que l'on croît de la vanité, résulte souvent d'un complexe d'infériorité.

• Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art.

• Si l'on veut trouver certains aspects vivants de la Grèce antique, il ne faut pas les chercher dans les monuments, ni même dans les lieux, mais dans telle façon d'être ou de vivre, dans une tradition, une fête, parfois même un conte.

• On est puni par où l'on a péché.

• On n'aime point parce que l'on veut être aimé. On aime parce que l'on aime. Chemin faisant, l'on voudrait être payé de retour.

• Il faut avoir vis-à-vis de l'oeuvre que l'on écoute, que l'on interprète ou que l'on compose, un respect profond devant l'existence même. Comme si c'était une question de vie ou de mort.

• Il n'y a point de chapelle, si petite soit-elle, où l'on prêche au moins un fois dans l'année.

• On est tous les jours dans le cas de se laisser enseigner des choses que l'on sait par des gens qui les ignorent.

• On ne peut aimer que si l'on est ivre de vie.

• Il y a des gens que l'on mène par la crainte même où ils sont d'être menés.

• Tout le monde ment, mais personne ne dit : je mens ; tout le monde se réclame de la vérité, alors que dire "je mens" est la seule chose vraie que l'on puisse dire.

• L'amour est un ennemi que l'on ne peut vaincre corps-à-corps, mais seulement par la fuite.

• Si j'avais du talent on m'imiterait. Si l'on m'imitait, je deviendrais à la mode. Si je devenais à la mode, je passerais bientôt de mode. Donc il vaut mieux que je n'aie pas de talent.

• Si l'on donnait du café aux vaches, on trairait du café au lait.

• On s'en va parce qu'on a besoin de distraction, et l'on revient parce qu'on a besoin de bonheur.

• Les alentours de la trentaine, c'est un âge critique, pour un homme, celui où l'on fait les grosses bêtises, ou plutôt l'âge où les bêtises que l'on fait commencent à être irrémédiables.

• Si habile qu'on soit, on ne réussit pas à se mentir sans fin ; l'on se lasse, ou les événements se chargent de nous ouvrir les yeux.

• Savoir où l'on veut aller, c'est très bien ; mais il faut encore montrer qu'on y va.

• Quand on aime, ou bien l'on n'a point de peine, ou bien l'on aime jusqu'à aimer sa peine.