Accueil > Citations > Citations sur le S. M.
Citations sur le S. M.
Il y a 111 citations sur le S. M..
-
D’Aldriger fut alors baronifié par S. M. l’Empereur et Roi, car sa fortune se doubla ; mais il se passionna pour le grand homme qui l’avait titré.
Honoré de Balzac — La Maison Nucingen' -
Abat-relui, s. m. − Abat-jour.
François Vidocq — Les Voleurs -
Abat-relui, s. m. − Abat-jour. François Vidocq Les Voleurs
-
GAIANITES, s. m. pl. (Théologie.) nom de secte qui étoit un branche des Eutychiens. […] Cette secte étoit plus ancienne que Gaian ou Gaien, évêque d’Alexandrie dans le VIe siècle, dont elle prit le nom. Elle suivit les erreurs de Julien d’Halicarnasse, chef des Incorruptibles ou des Phantastiques ; ensuite ces hérétiques prirent ou on leur donna le nom de Gaian, qui se mit à leur tête. Ils nioient que Jesus-Christ après l’union hypostatique, fût sujet aux infirmités de la nature humaine.
-
TONTONG, s. m. ( Hist. mod.) instrument usité chez les nègres qui habitent la côte du Sénégal, C'est un tambour d'une grandeur démesurée, dont le bruit s'entend à plus de deux lieues.
Encyclopédie méthodique: Histoire — tome 5 -
ACRATISME, s. m. (Hist. an.) Les Grecs faisoient quatre repas ; le déjeuner, qu’ils appelloient acratisma, ou dianestismos ; le dîner, ariston ou dorpiston : un petit repas entre le dîner & le souper, hesperisma, ce qu’on appelle en Latin merenda ; & le souper, dipnon, & quelquefois epidorpis.
« Acratisme » — dans L’Encyclopédie -
PROTOCTISTE, s. m. (Hist. ecclés.) hérétiques origénistes. Après la mort du moine Nonnus, vers le milieu du jv. siecle, les Origénistes se diviserent en deux branches, les Protoctistes & les Isochristes. Les Protoctistes s’appellerent aussi Tétradites ; le chef des Protoctistes fut Isidore.
-
CHROMIDE, s. m. Nom générique donné par Ampère à une famille de corps simples qui comprend : le colombium, le molybdène, le vanadium, le chrome et le tungstène.
Pierre Hubert Nysten — Émile Littré -
HIEROMENIE, s. m. (Antiq.) ἱερομήνια, nom donné au mois dans lequel on célébroit les jeux Néméens ; c’étoit le même mois que le Boedromion des Athéniens, qui répondoit au commencement de notre mois de Septembre.
« Hiéroménie » — dans L’Encyclopédie -
MÉTANGISMONITES, s. m. pl. hérétiques, ainsi nommés du mot grec ἀγγεῖον, qui veut dire vaisseau. Ils disoient que le verbe est dans son pere, comme un vaisseau dans un autre. On ne sait point qui fut l’auteur de cette secte.
« métangismonites » — dans L’Encyclopédie -
GOSE, s. m. (Commerce.) nom que l’on donne en Moscovie aux principaux commerçans qui trafiquent pour le souverain ; ce sont proprement les facteurs du prince. Les goses, outre leurs fonctions dans le commerce, en ont aussi dans les cérémonies publiques ; & lorsque le souverain donne audience aux ambassadeurs étrangers, les goses sont tenus de s’y trouver revêtus de vestes magnifiques, & avec des bonnets de martre qui sont des marques de leur profession, & en quelque sorte de leur dignité parmi une nation où le commerce est honorable.
« Gose » — dans L’Encyclopédie -
GISSEMENT, s. m. (Marine.) Les marins désignent par ce mot la manière dont une côte gît & est située, eu égard aux rumbes de vent de la boussole.
Diderot et d’Alembert — L’Encyclopédie -
SOUBA ou SUBA, s. m. (Hist. mod.) c’est ainsi qu’on nomme dans l’Indostan des especes de vicerois ou de gouverneurs généraux, qui ont sous leurs ordres des gouverneurs particuliers, que l’on nomme nababs ; ils sont nommés par le grand-mogol.
« Souba » — dans L’Encyclopédie -
MABY, s. m. boisson rafraîchissante fort en usage aux îles d'Amérique ; elle se fait avec de grosses racines nommées patates : celles dont l'intérieur est d'un rouge violet, sont préférables à celles qui sont ou jaunes ou blanches, à cause de la couleur qui donne une teinture très agréable à l'œil.
Diderot & D'Alembert — L'Encyclopédie -
PISSE-Z-YEUX, s. m. — Libellule, agrion vierge. De la croyance peu fondée que l’insecte, pour se délivrer de la poursuite de l’homme, lui seringue dans les yeux une liqueur corrosive. — (Nizier du Puitspelu, Le Littré de la Grand’Côte, Académie du Gourguillon, Lyon, 1895)
-
Les auteurs du Dictionnaire de Trévoux disent dans le même sens Nageoir , s. m. , qu'ils indiquent comme un vieux mot, sans d'ailleurs alléguer aucune autorité -Quoi qu'il en soit, le mot nageoir, qui est en quelque sorte homonyme [de natatoire s.m.] ne me parait point de nature à être restitué au langage moderne.
Marie Charles J. de Pougens — Archéologie français -
LANGON. s. m. (péchc) Perche dont le bout est armé de pointes barbelées, et dont on se sert pour harponner le poisson.
Complément du Dictionnaire de l'académie Française — Éd. Firmin Didot -
ECHIM, s. m. (Hist. mod.) medecin du serrail. Il y en a dix, parmi lesquels trois sont ordinairement juifs. La jalousie du souverain rend leurs fonctions très-dangereuses.Echim-bassi, (Hist. mod. turq.) c’est le nom du premier medecin du sultan & de son serrail. Une des prérogatives de sa charge, est de marcher seul, le premier, & avant tout le monde, au convoi funebre des empereurs ottomans.
-
MORDEXIN, s. m. (Médecine.) c’est un mot chinois qui a passé en Médecine, par lequel on désigne une espece de cholera morbus qui est fréquente à la Chine, à Goa, & dans le Brésil, où on l’appelle mordechi. Cette maladie se déclare brusquement par des vomissemens continuels bilieux, par des diarrhées de même nature, auxquels le joignent une fievre aiguë, sois immodérée, délire, douleur de tête, inquiétudes,&c.
-
Kabani, s. m. (Hist. mod.) nom qu’on donne dans le Levant à un homme public, dont les fonctions répondent à celle d’un notaire parmi nous : pour que les actes ayent force en justice il, faut qu’il les ait dressés. Il a aussi l’inspection du poids des marchandises. Pocock, Description d’Egypte.
« Kabin » — dans L’Encyclopédie -
SCHAT-ZADELER-AGASI, s. m. (Hist. mod.) en Turquie c’est l’eunuque noir à qui les enfans du grand-seigneur sont donnés en garde. Schat signifie maître ou gardien.
-
TCHORVADGI, s. m. terme de relation, capitaine de janissaires ; les tchorvadgis portent dans les cérémonies des turbans pointus, du sommet desquels sort une haute & large aigrette, plus grande encore que ne sont les panaches qu’on met en France sur la tête des mulets.
L’Encyclopédie — 1751 -
HARAJ, s. m. (Hist. mod.) c’est ainsi que les Turcs nomment un tribut reglé que doivent payer au grand Seigneur tous ceux qui ne sont point mahométans ; cet impôt est fondé sur l’alcoran, qui veut que chaque personne parvenue à l’âge de maturité paye chaque année treize drachmes d’argent pur, si en demeurant sous la domination mahométane elle veut conserver sa religion. Mais les sultans & les visirs, sans avoir égard au texte de l’alcoran, ont souvent haussé cette capitation ; elle est affermée, & celui qui est préposé à la recette de ce tribut se nomme haraj-bachi.
-
HOUSTALAR, s. m. (Hist. mod.) chef d’un jardin du grand-seigneur. Tous les vendredis les houstalars viennent rendre compte aux bostangis bachis de leurs charges, & de la vente qu’ils ont faite de ce qui croît dans les jardins du grand-seigneur. L’argent qui provient de cette vente est employé à la dépense de bouche.
-
TCHENEDGIR, s. m. terme de relation, officier de la table du grand-seigneur ; ils sont au nombre de cinquante pour le servir, & leur chef se nomme Tchenedgir-Bachi.
-
SEYMAR-BASSY, s. m. (Hist. Turq.) premier lieutenant des janissaires ; il commande en particulier ceux qu’on appelle seymenys. Lorsque l’aga marche en campagne, il prend le titre de son lieutenant à Constantinople, il peut mettre son propre cachet sur les ordres qu’il donne : enfin, il a le maniement de toutes les affaires des janissaires.
L’Encyclopédie — 1751 -
SEYMAR-BASSY, s. m. (Hist. Turq.) premier lieutenant des janissaires ; il commande en particulier ceux qu’on appelle seymenys. Lorsque l’aga marche en campagne, il prend le titre de son lieutenant à Constantinople, il peut mettre son propre cachet sur les ordres qu’il donne : enfin, il a le maniement de toutes les affaires des janissaires.
L’Encyclopédie — 1751 -
JAMI, s. m. (Hist. mod.) c’est ainsi que les Turcs nomment un temple privilégié pour les dévotions du vendredi, qu’ils appellent jumanamazi ; & qu’il n’est pas permis de faire dans les petites mosquées appellées meschids. Un jami bâti par quelque sultan est appellé jami-selatyn ou royal.
L’Encyclopédie — 1766 -
MUZARABES, MOSARABES, ou MISTARABES, s. m. pl. (Hist. mod.) chrétiens d’Espagne qui furent ainsi appellés, parce qu’ils vivoient sous la domination des Arabes, qui ont été long-tems maîtres de cette partie de l’Europe. Quelques-uns prétendent que ce nom est formé de musa, qui en arabe signifie chrétien, & d’arabe pour signifier un chretien sujet des Arabes ; d’autres prononçant mistarabes, le dérivent du latin mixtus, mêlé, c’est-à-dire chrétien mêlé aux Arabes. D’autres enfin, mais avec moins de fondement prétendent que ce nom vient de Muça capitaine arabe qui conquit l’Espagne sur Roderic dernier roi des Goths.
-
KADARD, ou KADARI, s. m. (Hist. moder.) Nom d’une secte mahométane, qui nie la prédestination dont les Turcs sont grands partisans, & qui soutient la doctrine du libre arbitre dans toute son étendue.
L’Encyclopédie — 1751 -
MUZERINS ou MUSERVINS, s. m. (Hist. mod.) nom que se donnent en Turquie les athées. Ce mot signifie ceux qui gardent le secret, & vient du verbe aserra, celer, cacher. Leur secret consiste à nier l’existence de la divinité : on compte parmi eux plusieurs cadis ou gens de loi très-savans, & quelques renégats qui s’efforcent d’étouffer en eux tout sentiment de religion. Ils prétendent que la nature ou le principe intérieur de chaque individu, dirige le cours ordinaire de tout ce que nous voyons. Ils ont fait des prosélytes jusque dans les appartemens des sultanes, parmi les bachas & autres officiers du serrail ; cependant ils n’osent lever le masque, & ne s’entretiennent à cœur ouvert que lorsqu’ils se rencontrent seuls parce que la religion dominante, qui admet l’unité d’un Dieu ne les toleréroit pas. On prétend que ces muzerins s’entraiment & se protegent les uns les autres.
-
JAMI, s. m. (Hist. mod.) c’est ainsi que les Turcs nomment un temple privilégié pour les dévotions du vendredi, qu’ils appellent jumanamazi ; & qu’il n’est pas permis de faire dans les petites mosquées appellées meschids.
L’Encyclopédie — 1766 -
NAKIB, s. m. (Hist. mod.) c’est ainsi que les Turcs nomment un officier fort considéré, dont la fonction est de porter l’étendart de Mahomet. Il n’est point inférieur au muphti même ; cette dignité est toûjours conférée par le sultan à un des émirs descendans de la fille de Mahomet ; & sans son consentement, le prince n’oseroit offenser ni faire du mal à aucun des émirs ; le sultan a soin de ne pas laisser un personnage de cette importance jouir long-tems d’une dignité si incommode à son despotisme ; il change souvent de nakib, mais il ne lui en ôte que l’exercice ; les émolumens lui restent comme les fruits d’un caractere indélébile.
-
CHAS-ODA-BACHI, s. m. (Hist. mod.) nom d’un officier du grand-seigneur. C’est le grand chambellan qui commande tous les officiers de la chambre où couche le sultan. Son nom vient de chas-oda, qui signifie en turc chambre particuliere ; & bachi, qui veut dire chef. Ricaut, de l’empire Ottoman.
L’Encyclopédie — 1751 -
CRODONIUM, s. m. Nom donné par Trommsdorff à une substance qu’il crut d’abord constituer un métal particulier, et qu’il a reconnue depuis n’être que de la magnésie cuprifère.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
VÉRÉTRIFORMES, adj. et s. m. pl., Veretriformia (veretrum, verge, forma, forme). Nom donné par Latreille [Pierre-André Latreille] à une famille de l’ordre des Holothurides apodes, comprenant ceux de ces animaux qui ont la forme d’une verge.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
SIRÉCIFORMES, adj. et s. m. pl., Sireciformes. Nom donné par Latreille [Pierre-André Latreille] à une section de la tribu des Tenthrédines, pour exprimer que les insectes qu’elle renferme ont de l’affinité avec les Sirex.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
PLANIFORMES, adj. et s. m. pl., Planiformes (planus, plan, forma, forme). Nom donné par Duméril [André Marie Constant Duméril] à une famille de l’ordre des Coléoptères, comprenant des insectes dont le corps est très déprimé. Voyez Omaloïdes.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
CHAIDEUR, s. m. (Minéralog.) nom que l’on donne dans les mines aux ouvriers qui pilent la mine à bras.
-
LERNÉIFORMES, adj. et s. m. pl., Lernæiformes (lernæa, lernée, forma, forme). Nom donné par Cuvier [Georges Cuvier] et Latreille [Pierre-André Latreille] à une famille de l’ordre des Crustacés siphonostomes, comprenant ceux dont le corps est presque cylindrique, ce qui leur donne l’apparence d’un ver.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles