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Citations sur le S. M.
Il y a 111 citations sur le S. M..
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Abattoir s. m. Tribunal correctionnel. ... On dit aussi abatteur de Pègres : qui s'applique également à la Cour d'appel et à la Cour d'Assises. Les abatteurs sont les juges. janv.
Nouguier — Notes manuscrites interfoliées au Dictionnaire de Delesalle -
Abat, s. m. − ... En abat, − bon à abattre, à émonder, en parlant du bois : ... des léiards qui sont en abat. Verr.-On.1908.
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Abord (Mj.), s. m. − ... Du premier abord, − tout d'abord, de prime abord. Verr.-On.t. 1
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Acabit de la bête, s. m. Bonne ou mauvaise qualité d'une chose ou d'une personne. Argot du peuple.
auteur -
Acabit, s. m. En langage vendômois ce mot ne s'emploie qu'en parlant des personnes, avec le sens de bonne santé, tempérament robuste, appétit. − Cet enfant est de bon acabit, rien ne lui fait mal.
Pierre Martellière — Glossaire du Vendômois -
Cendroulier, s. m. Terme de mépris. Tisonneur, homme acoquiné au feu , qui ne peut quitter le coin du feu.
Dictionnaire de la Provence et du Comté-Venaissin — tome 2 Vocabulaire provençal-françois -
ALUN, s. m. alumen, sel fossile & minéral d'un goût acide, qui laisse dans la bouche une saveur douce, accompagnée d'une astriction considérable.
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BOSTANGIS, s. m. (Hist. mod.) classe des azamoglans ou valets du serrail, occupés aux jardins du grand-seigneur. Quelques-uns cependant sont élevés à un degré plus haut, & occupés aux messages ou commissions du sultan ; c’est pourquoi on les nomme hassakis ou chassakis, c’est-à-dire messagers du roi.
L’Encyclopédie — 1751 -
CAPITAN BACHA ou CAPOUDAN BACHA, s. m. (Hist. mod.) c’est en Turquie le grand amiral. Il possede la troisieme charge de l’empire, & a sur mer autant de pouvoir que le grand-visir en a sur terre. Ce commandant n’avoit point autrefois le titre de capitan bacha ou d’amiral ; il n’étoit que beg de Gallipoli. Soliman II. institua cette charge en faveur du fameux Barberousse, & y attacha une autorité absolue sur tous les officiers de la marine & de l’arsenal, que le capitan bacha peut punir, casser, & faire mourir dès qu’il est hors du détroit des Dardannelles. Il commande dans toutes les terres, les villes, châteaux, & forteresses maritimes ; visite les places, les fortifications, les magasins ; ordonne des réparations, des munitions de guerre & de bouche ; change les milices ,& tient conseil pour recevoir les plaintes des officiers.
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CASTELLANS, s. m. pl. (Hist. mod.) c’est le nom qu’on donne en Pologne aux sénateurs qui sont revêtus des premieres dignités après les Palatins du royaume ; leur nombre est fixé à quatre-vingts-deux. Ils sont chargés du soin des Castellanies, subordonnés aux Palatins, & les chefs & les conducteurs de la noblesse dans chaque Palatinat. Le premier de tous est le castellan de Cracovie ; celui-ci a le droit de précéder tous les Palatins, & tient après les évêques le premier rang parmi les sénateurs laïques. On divise les Castellans en grands & en petits ; les premiers sont au nombre de trente-trois, & les derniers, au nombre de quarante-neuf.
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TCHIAOUSCH-BACHI, s. m. terme de relation, commandant ou chef des chiaoux ; il garde avec le capidgi-bachi la porte du divan, quand il est assemblé, & ces deux officiers menent au grand-seigneur les ambassadeurs, quand il leur donne audience.
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TROPIEZO , s. m. L’action de broncher , de chopper , de heurter , bronchement, choppement, faux pas, chute.
Sobrino Aumentado O Nuevo Diccionario De Las Lenguas Española Francesa Y Latina — F - Z -
GERANIUM, s. m. Plante dont Dioscoride marque deux espèces. L’une a ses feuilles semblables à la Passe-fleur, mais avec des déchiquetures plus grandes & plus profondes.
Thomas Corneille — Bernard Le Bovier de Fontenelle -
ICICARIBA, s. m. (Botan. exot.) c’est l’arbre qui fournit la résine élémi d’Amérique ; car l’arbre d’où découle le vrai élémi d’Ethiopie, est l’olivier d’Egypte assez semblable à ceux de la Pouille.
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Pour un « niaquoué », S. M. l’Empereur Bao Dai n'est que l’exécutant des volontés françaises, l’exécuteur de nos plus basses œuvres.
Étiemble — Hygiène des lettres -
GALLIFORME, adj. et s. m. pl., Galliformes (gallus, coq, forma, forme). Nom donné par Latreille [Pierre-André Latreille], Ficinus [Heinrich David August Ficinus ?] et Carus [Julius Victor Carus] à une famille de l’ordre des Grimpeurs, comprenant des oiseaux qui se rapprochent des Gallinacés.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
LACERTIFORMES, adj. et s. m. pl., Lacertiformes (lacerta, lézard, forma, forme). Nom donné par Latreille [Pierre-André Latreille], Ficinus [Heinrich David August Ficinus ?] et Carus [Julius Victor Carus] à une division de l’ordre des Sauriens, comprenant ceux qui ressemblent au lézard, c’est-à-dire qui ont quatre pattes propres à la course, jamais très éloignées et pentadactyles.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
LOMBRICIFORMES, adj. et s. m. pl. Lombriciformia (lumbricus, lombric, forma, forme). Nom donné par Latreille [Pierre-André Latreille] à une famille de l’ordre des Holothurides apodes, comprenant ceux de ces animaux qui, par la forme de leur corps, se rapprochent des lombrics.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
Morions, s. m. pl. (Hist. anc.) personnages bossus, boiteux, contrefaits, tête pointue, à longues oreilles, & à physionomie ridicule, qu’on admettoit dans les festins, pour amuser les convives. Plus un morion était hideux, plus chèrement il était acheté. Il y en a qui ont été payés jusqu’à 2000 sesterces.
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UNOVISTES S. m. pl. (Anatomie et Physiologie) branche des physiciens ovistes, qui ne diffèrent des infinitovistes qu'en ce qu'ils veulent que chaque œuf soit un petit hermitage habité par un solitaire inanimé, soit mâle ou femelle, et formé peu après la naissance de celle qui le porte. Tout ce système est fondé sur ce que quelques observateurs prétendent avoir à l'aide du microscope, découvert l'embrion formé dans l'œuf avant qu'il ait été rendu fécond par le mâle ; mais ces faits prétendus et difficiles à constater, continue l'auteur de l'art de faire des garçons, sont détruits par d'autres faits incontestables, et par des raisons aussi convaincantes que les faits.
L’Encyclopédie — 1771 -
Palmirano, s. m. palmira-no. Linguist. Palmyrien ; langue des anciens habitants de Palmyre. Le palmyrien est une langue sémitique et un rameau de la branche araméenne.
Diccionario universal francés-español — español-francés -
PISSE-VINAIGRE, s. m. — Épine-vinette, Berberis vulgaris. — Corruption fort étrange d’épine-vinette. Le goût acide des baies a d’abord fait transformer vinette en vinaigre ; puis épine-vinaigre ne voulant rien dire, on a compris que de manger de ces baies faisait uriner acide. D’où pisse-vinaigre. — (Nizier du Puitspelu, Le Littré de la Grand’Côte, Académie du Gourguillon, Lyon, 1895)
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Putassier s. m. Homme qui aime & cherche les putains, qui fréquente les mauvais lieux
François Halma — Le Grand Dictionnaire françois & flamand -
REVERSI ou REVERSIS, s. m. sorte de jeu de cartes qui vient d’Espagne, où il s’appelle la ganna pierde, qui perd gagne, parce qu’à ce jeu, au revers de tous les autres, c’est celui qui fait le moins de levées qui gagne le plus.« Avant l’usage des carrosses... On donna à ce valet le nom de quinola. » Annal. litt. 1757.
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STROBILE. s. m. [strobilus, στρόβιλος, toupie, pomme de pin]. Nom donné par Sars à un polype représenté par des disques superposés adhérents entre eux et de plus en plus larges à partir du dernier développé ; il croyait qu’ils formaient un genre à part qu’il nomma Strobila ; mais il a reconnu que cette chaîne se désagrégeait en autant d’articles discoïdes, flottant isolément, dont chacun devenait rapidement l’animal sexué ou adulte appelé méduse (Medusa aurita), ayant cessé de vivre en communauté. — Par analogie, strobile ou état strobilaire, la chaîne que forment les communautés d’articles appendus au scolex ou tête de tænia chez les cestoïdes ; le scolex des distomiens, quand il est rempli de la génération de cercaires (en forme de têtard) qui bientôt prendront des organes sexuels, a été comparé au strobile des polypes et des cestoïdes. Le strobile chez ces derniers est ce qu’on appelait un ver complet ; le tænia et le bothriocéphale rejetés en masse de l’intestin peuvent servir de type.
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TALPIFORMES, adj. et s. m. pl., Talpiformes (talpa, taupe, forma, forme). Nom donné par Latreille [Pierre-André Latreille] à une famille de l’ordre des Mammifères Rongeurs, comprenant ceux qui ressemblent un peu à des taupes.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
TANGUEURS ou GABARIERS, s. m. pl. (Marine.) ce sont des porte-faix, qui servent à charger & à décharger les grands bâtimens.
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D’Aldriger fut alors baronifié par S. M. l’Empereur et Roi, car sa fortune se doubla ; mais il se passionna pour le grand homme qui l’avait titré.
Honoré de Balzac — La Maison Nucingen -
VERBOQUET, s. m. (Méchan.) còntre - lien, ou cordeau qu’on attache à l’un des bouts d’une piece de bois ou d’une colonne, & au gros cable qui la porte, pour la tenir mieux en équilibre, & pour empêcher qu’elle ne touche à quelque saillie ou échaffaud, & qu’elle ne tournoie quand on la monte. On dit aussi virebouquet, parce que la corde fait tourner la piece dans le sens que l’on veut. (D.J.)
Diderot et d'Alembert — Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences -
SAMORIN, ou Zamorin, s. m. (Hist. mod.) c’est le nom que l’on donne à un souverain de l’Indostan, dont les états sont placés sur la côte de Malabare, & qui étoit autrefois le prince le plus puissant de cette côte. Sa résidence ordinaire est à Calecut ou Kalicut.
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HIEROMENIE, s. m. (Antiq.) ἱερομήνια, nom donné au mois dans lequel on célébrait les jeux Néméens ; c'était le même mois que le Boedromion des Athéniens, qui correspondait au commencement de notre mois de Septembre.
« Hiéroménie » — dans L’Encyclopédie -
SALAMANDRINS, adj. et s. m. pl., Salamandrina. Nom donné par Muller [sic : Müller] [1832] à une famille de Reptiles nuds, qui a pour type le genre Salamandra.
Antoine Jacques Louis Jourdan — Dictionnaire raisonné -
SOMMISTE, s. m. (Chancel. rom.) c’est le principal ministre de la chambre romaine, pour l’expédition des bulles ; il en fait faire les minutes, les fait recevoir, & plomber.
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KUL ou KOOL, s. m. (Hist. mod.) en turc, c’est proprement un domestique ou un esclave. […] Nous lisons dans Meninski que ce nom est commun à tous les soldats dans l’Empire ottoman ; mais qu’il est particulier à la garde du grand-seigneur & à l’infanterie. Les capitaines d’infanterie & les capitaines des gardes, s’appellent kûl zabitlers, & les gardes, kapu kûlleri, ou esclaves de cour. D’autres auteurs nous assurent que tous ceux qui ont quelques places qui les approchent du grand-seigneur, qui tiennent à la cour par quelqu’emploi, qui sont gagés par le sultan, en un mot, qui le servent de quelque façon que ce soit, prennent le titre de kûl ou kool ,ou d’esclaves,& qu’il les éleve fort au-dessus de la qualité de sujets.Un kûl ou un esclave du grand-seigneur,a droit de maltraiter ceux qui ne font que ses domestiques; mais un sujet qui maltraiteroit un kûl ,seroit séverement puni.
L’Encyclopédie — 1751 -
ARAME, s. m. Palais des rois perses. Ce mot correspond au sérail des Turcs.
Napoléon Landais — Dictionnaire général et grammatical des Dictionnaires Français -
ANDAILLOT, s. m. Cringle. Anneau, bague en bois placée sur la ralingue des voiles, et qui sert à les enverguer.
Pierre-Marie-Joseph de Bonnefoux — Dictionnaire de marine à voiles et à vapeur : marine à voiles -
ESCHILLON, s. m. Nom que les matelots donnent dans les mers du Levant, à un météore fort dangereux pour la navigation. C'est une nuée épaisse, d'où sort une longue queue, qui s'allonge jusqu'à la mer & qui en tire l'eau comme une pompe.
Manuel lexique ou dictionnaire portatif des mots françois — 1750 -
TOQUOTS, s. m. pl. (Voy. Cloches et Bâlotte).
Vocabulaire du Berry et de quelques cantons voisins — 1842 -
MASTICATOIRE, s. m. (Thérapeutique & Pharmatie.) espece d’apophlegmatisme par la bouche, ou de remede propre à exciter une évacuation par les excrétoires de la bouche, c’est-à-dire les différentes glandes salivaires. L’action simple & méchanique de la mastication, l’action de mâcher à vuide, ou de mordre un corps tenace ou plus ou moins resistant, qui ne répand dans la bouche aucun principe médicamenteux, suffit pour faire couler abondamment la salive.
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ADIAPHORISTES, s. m. pl. (Théol.) nom formé du Grec ἀδιαφορος, indifférent, d’ἀ privatif, & de διάφορος, différent.On donna ce titre dans le xvj. siecle aux Luthériens mitigés qui adhéroient aux sentimens de Melanchton dont le caractere pacifique ne s’accommodoit point de l’extrème vivacité de Luther. Depuis en 1548, on appella encore Adiaphoristes les Luthériens qui souscrivirent à l’Interim que l’Empereur Charles V. avoit fait publier à la Diete d’Ausbourg.
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LOCRENAN, s. m. (Com.) grosse toile de chanvre écru qui se fabrique à Locrenan en Bretagne; elle a 30 aunes de long, sur deux aunes et demie de large; on l'emploie en voiles pour barques petites & grandes, & chaloupes.
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QUILBOQUET, s. m. (Menuiserie.) c'est un instrument dont les Menuisiers se servent pour sonder le fonds des mortoises, & voir si elles sont taillées quarrément; il est fait de deux petits morceaux de bois dont l'un traverse l'autre à angles égaux.