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Cheval de course
[ʃœval dœ kurs]
Définitions de « cheval de course »
Cheval de course - Locution nominale
-
(Équitation) Cheval utilisé pour une course de cheval, généralement un cheval à sang chaud : pur-sang ou demi-sang.
Un cheval de course incarne la vitesse et l'élégance, conçu pour exceller sur les pistes grâce à ses origines de pur-sang ou demi-sang.
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « cheval de course »
Usage du mot « cheval de course »
Évolution historique de l’usage du mot « cheval de course » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « cheval de course » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « cheval de course »
-
Aucun cheval de course n’est capable de filer aussi vite que l’argent qu’on a mis sur lui.
Anonyme -
Le grand échassier de cheval de course ne pourra jamais lutter pour le fond contre un de nos bons chevaux de trait qui a les rayons locomoteurs plus courts et les muscles plus forts sans être aussi longs.
Jean Déhès — Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France -
Il n’est pas rare, en effet, de voir un cheval de course engagé pour la première fois à l’âge de trois ans, présenter dans les diverses régions de l’appareil locomoteur des affections morbides telles que des molettes, des vessigons de tout genre, des nerf-ferrure, des éparvins, des jardes et autres suros, le plus souvent incurables et presque toujours héréditaires !
Jean Déhès — Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France -
Il n’est pas rare, en effet, de voir un cheval de course engagé pour la première fois à l’âge de trois ans, présenter dans les diverses régions de l’appareil locomoteur des affections morbides telles que des molettes, des vessigons de tout genre, des nerf-ferrure, des éparvins, des jardes et autres suros, le plus souvent incurables et presque toujours héréditaires !
Jean Déhès — Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France -
[…] ; le grand échassier de cheval de course ne pourra jamais lutter pour le fond contre un de nos bons chevaux de trait qui a les rayons locomoteurs plus courts et les muscles plus forts sans être aussi longs.
Jean Déhès — Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France -
Il n’est pas rare, en effet, de voir un cheval de course engagé pour la première fois à l’âge de trois ans, présenter dans les diverses régions de l’appareil locomoteur des affections morbides telles que des molettes, des vessigons de tout genre, des nerf-ferrure, des éparvins, des jardes et autres suros, le plus souvent incurables et presque toujours héréditaires !
Jean Déhès — Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France -
Le ticage chez un cheval de course est semblable à la fissure dans une œuvre d'art ; il en réduit la valeur sans altérer entièrement sa beauté.
Marcelle Durand — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle