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Coîffe
[kɔif]
Définitions de « coîffe »
Coîffe - Nom commun
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(Archaïsme) Variante orthographique rare de 'coiffe'.
« La coîffe, témoin silencieuse des modes d'antan, capture l'essence même des traditions vestimentaires oubliées. »
— (Citation fictive)
Expressions liées
- Aller se faire coiffer (aller chez son coiffeur pour se faire couper les cheveux.)
- Bois qui coiffe le sommet d'un tertre
- Ce vin coiffe vite
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Cheval bien coiffé (cheval qui possède des oreilles courtes et bien placées.)
Dans le calme du matin, on pouvait voir au loin un cheval bien coiffé trottant avec élégance à travers les champs.
— Émile Dubois, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle - Cheveux coiffés à plat
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Chien bien coiffé (chien aux oreilles longues, pendantes encadrant parfaitement la tête)
Dans les rues pavées de Paris, un chien bien coiffé attire toujours l'attention des passants émerveillés.
— Émile Dubois, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle - Coiffe céphalique
- Coiffe d'une bouteille (petite enveloppe de cire ou de métal qui garnit le bouchon et empêche le vin de s'éventer.)
- Coiffe de mailles
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Coiffe de nuit (coiffe de toile que l'on mettait dans le bonnet de nuit.)
Nouer sa coiffe de nuit
— Reider, Mademoiselle Vallantin - Coiffe de tôle
- Coiffe lyonnaise
- Coiffe ogivale en tôle
- Coiffe plate
- Coiffe à armer
- Coiffer des services
- Coiffer du 50
- Coiffer en bandeaux, à la jeanne d'arc
- Coiffer l'ennemi (l'atteindre par ses tirs prendre d'assaut ses positions.)
- Coiffer la chèvre (fixer sur la coiffe d'une chèvre le câble qui servira à soulever les charges.)
- Coiffer la tiare en la ville d'avignon
- Coiffer la tête d'un diadème
- Coiffer les différentes activités
- Coiffer les grenadiers d'un bonnet à poils
- Coiffer les soldats d'un casque
- Coiffer petit, grand
- Coiffer quelqu'un d'un seau d'eau
- Coiffer quelqu'un d'une idée (lui faire adopter.)
- Coiffer quelqu'un de fleurs, de plumes
- Coiffer son enfant, sa poupée
- Coiffer son mari de cornes (le tromper.)
- Coiffer ste catherine (atteindre la vingt-cinquième année sans s'être mariée)
- Coiffer un enfant d'un béret, d'une casquette
- Coiffer un livre (arranger le cuir en rabattant et en collant ce qui dépasse à chaque extrémité)
- Coiffer un objectif (l'atteindre par ses tirs prendre d'assaut ses positions.)
- Coiffer une bougie d'un éteignoir
- Coiffer une bouteille, coiffer un flacon (mettre une enveloppe de cire, de métal sur le bouchon afin d'empêcher que le vin ne s'évente.)
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Il aimerait une chèvre coiffée (il est un homme amoureux de toutes les femmes y compris des laides.)
Dans son cœur volage, il aimerait une chèvre coiffée si elle lui souriait tendrement.
— Émile Dubois, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle - La coiffe du chapeau
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Le premier chien coiffé venu (n'importe qui)
... il [Polydore de La Baudraye] se rendit à Bourges, au moment où madame Piédefer, dévote à grandes heures, était à peu près déterminée ainsi que sa fille à prendre, selon l'expression du Berry, le premier chien coiffé venu.
— Honoré de Balzac, La Muse du département - Navire coiffé, voile coiffée (frappé par le vent sur leur avant.)
- Nuage, brume qui coiffent la montagne
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Pion coiffé (pion désigné à l'avance et qui sert à un usage particulier.)
Dans la vie, chacun de nous est parfois un pion coiffé sur l'échiquier du destin.
— Émile Durand, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Ressembler à un chien coiffé (être mal accoutré.)
Dans le brouhaha de la ville, il est facile de se perdre et finir par ressembler à un chien coiffé, sans repères ni élégance.
— Émile Dufaux, Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle - Rire dans ses coiffes (rire en catimini)
- Rire sous coiffe
- Savoir coiffer
- Se coiffer avec des anglaises
- Se coiffer d'une servante
- Se coiffer en cheveux (ne pas porter de coiffure.)
- Se coiffer élégamment
- Une coiffe blanche
- Une coiffe de toile, de satin
- Une coiffe lorraine
- Une coiffe paysanne
- Une femme coiffée à la mode, coiffée en paysanne
- Une petite coiffe de nuit
- Être aisé à coiffer
- Être coiffé, se coiffer d'une idée (n'avoir que cette idée en tête, être persuadé de son exactitude.)
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Être né coiffé (avoir beaucoup de chance)
Je suis né coiffé : on mit ma coiffe en vente par la voie des annonces de journaux, au très modique prix de quinze guinées.
— Charles Dickens, David Copperfield
Usage du mot « coîffe »
Évolution historique de l’usage du mot « coîffe » depuis 1800
Citations contenant le mot « coîffe »
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Sous la coîffe de lin blanc, ses cheveux noirs brillaient d'un éclat mystérieux.
Élise Beauregard — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
La vieille couturière ajusta la coîffe avec soin, chaque pli reflétant des années de tradition et de savoir-faire.
Gaspard Montaigne — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
Dans les ruelles pavées du village, on apercevait souvent des femmes portant fièrement leur coîffe, symbole d'une époque révolue mais toujours vivante dans leurs cœurs.
Léon Dupont — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle