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Grenade de désencerclement
[grœnad dœ desɑ̃sɛrklœmɑ̃]
Définitions de « grenade de désencerclement »
Grenade de désencerclement - Locution nominale
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Dispositif explosif contenant de 9 à 18 projectiles en caoutchouc dur qui se dispersent lors de l’explosion en provoquant éventuellement des blessures graves, le dispositif pouvant contenir selon les modèles du gaz CS.
Les grenades appelées communément "grenades de désencerclement" sont arrivées dans la panoplie du maintien de l’ordre en 2004, quand Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, s’est employé à doter les forces de l’ordre de nouvelles armes "non létales" : Flashball Super Pro, Taser X26, etc.
Étymologie de « grenade de désencerclement »
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- Grenade dont la vocation est le désencerclement.
Usage du mot « grenade de désencerclement »
Fréquence d'apparition du mot « grenade de désencerclement » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « grenade de désencerclement »
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L’équipage a rapidement essuyé une pluie de projectiles, les suspects faisant notamment usage de pierres pour tenter de blesser les agents. Ces derniers ont été contraints de faire usage d’une grenade de désencerclement de type GENL ainsi que de trois grenades au lacrymogène de type MP7, faisant finalement fuir leurs agresseurs ainsi que le conducteur du motocross.
Le Figaro — «Des faits de plus en plus fréquents» : à Marseille, des policiers violemment pris à partie par une dizaine d’individus -
L’information judiciaire est ouverte à Paris contre X depuis le printemps 2023. Elle vise des violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique, ayant entraîné une infirmité permanente. L’enjeu des investigations est de déterminer si le lancer d’une grenade de désencerclement GENL lors de la première manifestation intersyndicale contre la réforme des retraites, le 23 mars 2023, était proportionné et réalisé dans les règles.
leparisien.fr — Syndicaliste éborgné lors d’une manifestation : un commissaire de police placé sous le statut de témoin assisté - Le Parisien -
Sept heures et demie d’audience et quinze minutes de délibération. Le tribunal de Toulouse a condamné mardi soir le gendarme Richard Vilamanya à six mois de prison avec sursis et à une interdiction de détenir ou porter une arme pendant six mois. Le militaire doit aussi verser 1 000 euros de dommages et intérêts à Elsa Moulin, qu’il a blessée avec une grenade de désencerclement sur le site de Sivens (Tarn), où la jeune femme participait à la mobilisation contre la construction du fameux barrage.
L'Humanité — Justice. Sivens, un gendarme condamné - L'Humanité