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Monter sur le trône
[mɔ̃te syr lœ tron]
Définitions de « monter sur le trône »
Monter sur le trône - Locution verbale
-
Devenir roi ou reine.
Mais fidèle à ses promesses, le césaréwitch assura, d'abord à son frère cadet, le grand-duc Michel, qui était à Varsovie, puis à tout son entourage que ce n'était pas lui, mais bien à son frère Nicolas à monter sur le trône de Russie et montra à tous les documents se rapportant à sa résignation.
— Baron B. de Kœhne, « Le rouble de l'empereur Constantin de Russie »
Étymologie de « monter sur le trône »
Usage du mot « monter sur le trône »
Évolution historique de l’usage du mot « monter sur le trône » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « monter sur le trône » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « monter sur le trône »
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Vers 1465 avant J.-C., un changement dynastique eut lieu à Ḫattuša, faisant monter sur le trône un prince qui avait des attaches hourrites et kizzuwatniennes : Tudḫaliya Ier.
Isabelle Klock-Fontanille — Les Hittites -
Vers 1465 avant J.-C., un changement dynastique eut lieu à Ḫattuša, faisant monter sur le trône un prince qui avait des attaches hourrites et kizzuwatniennes : Tudḫaliya Ier.
Isabelle Klock-Fontanille — Les Hittites -
Mais fidèle à ses promesses, le césaréwitch assura, d'abord à son frère cadet, le grand-duc Michel, qui était à Varsovie, puis à tout son entourage que ce n'était pas lui, mais bien à son frère Nicolas à monter sur le trône de Russie et montra à tous les documents se rapportant à sa résignation.
Baron B. de Kœhne — « Le rouble de l'empereur Constantin de Russie » -
C’est pourtant le cas aujourd’hui en ce qui concerne une lointaine « alliance franco-russe » qui unit, au onzième siècle, le sang de Rurik à celui de Hughes Capet et qui fit monter sur le trône de France une princesse kiévite.
vicomte de Caix de Saint-Aymour — « Une princesse russe -
Mais fidèle à ses promesses, le césaréwitch assura, d'abord à son frère cadet, le grand-duc Michel, qui était à Varsovie, puis à tout son entourage que ce n'était pas lui, mais bien à son frère Nicolas à monter sur le trône de Russie et montra à tous les documents se rapportant à sa résignation.
Baron B. de Kœhne — « Le rouble de l'empereur Constantin de Russie »