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Sans rancune
[sɑ̃ rɑ̃kyn]
Définitions de « sans rancune »
Sans rancune - Locution interjective
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(Familier) Oublions les anciens torts, les sujets que nous pouvons avoir de nous plaindre l’un de l’autre.
« Laissons derrière nous les différends passés, avançons sans rancune. »
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « sans rancune »
Usage du mot « sans rancune »
Évolution historique de l’usage du mot « sans rancune » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « sans rancune » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « sans rancune »
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Oui, on est sans rancune. On fait de la politique pour un projet de société, pas pour se faire aimer. Qu’on ne se raconte pas d’histoire. Aujourd’hui, seules deux personnes sont capables de challenger Emmanuel Macron : Mélenchon et Marine Le Pen. La situation est grave. On va mobiliser nos soutiens en leur disant : «Vous nous avez fait confiance une fois, donc, malgré les malentendus et les erreurs, faites-nous confiance une deuxième fois.»
Libération — Samuel Grzybowski quitte la Primaire populaire: «Avec Mélenchon, on peut gagner sans rassemblement des partis» – Libération -
Sans rancune envers son club, ni son coach, Antoine Kombouaré, Limbombe estime qu’il fallait « faire de la place aux jeunes » et qu’il était « en trop ». Il comprend le « choix sportif » fait par le FC Nantes.
Score.fr — FC Nantes : Les confidences d'un ancien du club -
bonne nuit fatatita sans rancune
L'Obs — Guerre en Ukraine : le point sur la situation ce samedi 9 avril au soir -
J’ai même dit à un gentleman des plus copurchics, guêtres blanches, pantalon gris perle, cravate blanche, melon clair, monocle, cravache à la main et qui arborait sans rancune à sa boutonnière les couleurs du drapeau de Valmy : « Vive la République, citoyen ! » Je ne sais ce qu’a compris ce républicain, mais il m’a flanqué un coup de poing dans l’œil.
J. B. — Sous la présidence de Mme Lebrun s’est couru -
Trois mois après les événements, il écrivit, non sans rancune et agacement : « La presse youpine et tous ceux qui haïssent l’Église orthodoxe et sa hiérarchie traînent mon nom dans la boue. […]. »
Ilarion Alfeev — Le mystère sacré de l’Église : introduction à l'histoire et à la problématique des débats athonites sur la vénération du nom de Dieu