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Vélocimane
[velɔsɛ̃an]
Définitions de « vélocimane »
Vélocimane - Nom commun
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(Désuet) Jouet enfantin constitué d'un cheval en bois monté sur un tricycle, propulsé par la force des bras.
Le vélocimane, ce vestige d'enfance, incarne la magie simple du mouvement, où l'ingéniosité des bras anime le rêve d'antan.
— (Citation fictive) -
Tricycle actionné par la force des bras, destiné aux personnes handicapées ou amputées des membres inférieurs.
Tous les mutilés n’étaient pas encore sortis de l’hôpital, ils n’avaient pas tous appris à se servir de béquilles quand les constructeurs eurent mis au point un prototype de vélocimane.
— Articles et documents, Éd. La Documentation française
Étymologie de « vélocimane »
Du latin velox, velocis (« rapide ») et du latin manus (« main »).Usage du mot « vélocimane »
Évolution historique de l’usage du mot « vélocimane » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « vélocimane » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « vélocimane »
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L’Isérois de 29 ans, qui dispute ses premiers Jeux, a remporté la course en ligne aux commandes de son vélocimane.
Le Monde.fr — Jeux paralympiques de Tokyo : le cycliste Florian Jouanny offre une septième médaille d’or à la France -
" Le vélocimane Monet & Goyon a été créé pour remplacer vos jambes" : c'est l'une des annonces publicitaires que l'on pouvait lire dans les journaux dans les années qui ont suivi la Première Guerre mondiale. Ce tricycle actionné par les mains a été mis au point à Mâcon, en Saône-et-Loire.
France 3 Bourgogne-Franche-Comté — Histoires 14-18 : Le vélocimane de Monet & Goyon -
Et puis dans le sous-sol du pavillon, Jacques Minaud couve du regard son vélocimane. Un engin fabriqué par Monet & Goyon en 1917 qui était donné par l’État français aux soldats qui avait été mutilé aux jambes afin de pouvoir continuer à se déplacer grâce à des manivelles actionnées avec les mains. « Je l’ai retrouvé à Saint-Germain-de-Marencennes sous un hangar, écrasé par un tracteur. La malle était bouffée par les rats. Je ne sais pas s’ils étaient enfermés dedans mais, en tout cas, ils ont fait des trous pour sortir. »
SudOuest.fr — La Rochelle : Jacques Minaud remet sur roues un vélocimane