Virus respiratoire syncytial

Définitions de « virus respiratoire syncytial »

Virus respiratoire syncytial - Locution nominale

• (Virologie) Virus qui est la cause la plus fréquente d'infections respiratoires des jeunes enfants dans le monde.

  Le virus respiratoire syncytial, principal coupable des infections respiratoires pédiatriques, demeure un défi mondial en santé publique.

Étymologie de « virus respiratoire syncytial »

Locution composée de virus, respiratoire et syncytial.

Évolution historique de l’usage du mot « virus respiratoire syncytial » depuis 1800

Citations contenant le mot « virus respiratoire syncytial »

• Le virus respiratoire syncytial (VRS) est un virus très fréquent qui peut parfois donner des infections respiratoires très graves comme la bronchiolite du nourrisson. Comparable aux virus de la grippe, il n'existe pas de médicaments ou vaccins efficaces pour l'enrayer. Découverte avec le Dr Henri Agut, médecin virologue à Paris.

• Très fréquent, le virus respiratoire syncytial peut être à l’origine de certaines infections respiratoires comme la pneumonie ou la bronchiolite, une affection souvent bénigne mais potentiellement grave chez les enfants de moins d’un an. Ce virus est ainsi l'une des principales causes d'hospitalisation chez les nourrissons : 35 000 enfants de moins d’un an sont ainsi hospitalisés chaque année en France en raison d’une infection au VRS1.

• Pédiatrie. Comme chaque année, le virus respiratoire syncytial (VRS), à l'origine de la bronchiolite, fait des siennes à La Réunion.

• Dans 70 % des cas, le responsable de l’infection est le virus respiratoire syncytial (ou VRS). Il provoque une inflammation de la muqueuse avec une sécrétion de mucus, parfois associée à un spasme de la bronche, ce qui aboutit à une obstruction de la bronchiole et gêne la respiration.Très contagieux, le VRS se transmet entre nourrissons, mais les adultes peuvent aussi être porteurs et participer à la transmission : la toux, les éternuements, le contact avec les mains et les objets contaminés participent à la propagation du virus. Dans 30 % des cas, il s’agit d’adénovirus, de virus parainfluenzae ou de rhinovirus.

• Parmi les consultations en ambulatoire pour syndrome grippal, les groupes d’âge 25-59 ans et 15-24 ans représentent les proportions les plus élevées, respectivement 32,4 et 20%, comme habituellement observé lors des saisons précédentes, saison pandémique exclue. La hausse de l’activité grippale observée bien au-delà de la moyenne saisonnière serait associée en particulier à la grande similitude symptomatologique du syndrome grippal et de la Covid-19 et à la co-circulation d’autres virus respiratoires, notamment celui du virus respiratoire syncytial (VRS).

• Le virus respiratoire syncytial (VRS) est un cousin de la grippe : c'est un virus très contagieux, particulièrement pendant les périodes épidémiques (de décembre à mars, environ). Il se transmet par les gouttelettes de salive, par les mains. Il faut savoir qu'on peut être porteur (sain) de ce virus, sans même le savoir.

• Non, le gagnant, pour le moment, c’est le mal connu virus respiratoire syncytial (VRS). Un virus très désagréable. Si quelqu’un me dit qu’il tousse depuis trois semaines et se plaint de souffrir d’une grippe, j’ai tendance à ne pas le croire. Bien que la grippe rend très malade, elle ne fait généralement pas tousser pendant trois semaines.

• Il s’agit plus précisément d’une maladie respiratoire aigue de l’enfant de moins de 2 ans. Elle est causée par un virus (dans 70% des cas par le virus respiratoire syncytial VRS, ou encore le metapneumovirus, l’influenza, le rhinovirus…). Il s’attaque aux muqueuses de l’appareil respiratoire. Ces principaux symptômes sont des sécrétions nasales (rhinorrhée) et bronchiques (bronchorrhée) importantes, de la toux et  de la fatigue (dyspnée).

Sources et ressources complémentaires

• Définitions du Wiktionnaire