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Citations sur l'emprunté

Il y a 202 citations sur l'emprunté.

• J'ai emprunté cette ligne entre limoges et lyon pendant des années le dimanche soir et vendredi soir, et le turbotrain était plein. Si cette ligne a été abandonnée s'est à cause des infrastructures usagées et du manque d'intérêt de la sncf et non du manque de voyageurs.

• Originaire d’Iran, le manuscrit est écrit en arabe naskh. Il remonterait au 15e siècle, ce qui correspondrait à l’ère timouride (1370-1507). L’empire timouride était une dynastie sunnite, d’origine turco-mongole, dont le nom a été emprunté de son fondateur, Timour, également connu sous le nom de Tamerlan.

• Enfin, le nom de roi de carreau, César, est évidemment emprunté à Jules César. La dame, Rachel, est un personnage biblique. Quant au valet, Hector, il s'agit du fils du roi Priam, héros de la guerre de Troie, ou de Hector des Mares, un des personnages de la légende du roi Arthur.

• Elle portait cette robe en soie bleu-gris qui lui donnait un air à la fois mystérieux et élégant, comme si elle avait emprunté les couleurs du crépuscule.

• « Enfin ! » vont s’exclamer le 14 octobre tous les usagers de la RD 110 qui traverse le village, itinéraire emprunté par les véhicules montant à la station du Semnoz. L’avancement des travaux commencés le 13 juin, est conforme aux prévisions. C’est...

• Dérivé du mot « sac », emprunté au latin saccus, lui-même issu du grec sakkos (étoffe grossière de poil de chèvre), le verbe saquer, autrefois orthographié sachier, sakier ou encore sacher, s'emploie du XIIe au XVe siècle comme synonyme de « mettre dans un sac, ensacher ». C'est aussi « tirer violemment » quelque chose, une arme, un couteau de son fourreau. Mais pas seulement…

• Lorsque j'ai emprunté le chemin transmongolien, j'ai ressenti une connexion profonde avec la nature et les traditions qui perdurent au fil du temps.

• Le chemin emprunté par le faisceau rubrospinal allant de la moelle épinière aux pédoncules cérébelleux reste encore aujourd'hui une source d'étude et de fascination pour les anatomistes.

• Il y a quelque chose de fascinant et de terrifiant dans l'art du grimeur, cette capacité à disparaître derrière un visage emprunté pour mieux abuser ses victimes.

• « En astronomie, on regarde le mouvement des astres du point de vue de la Terre, c’est-à-dire du référentiel géocentrique. Ainsi, on définit la sphère céleste où l’équateur céleste est le prolongement de l’équateur terrestre. Le chemin emprunté par le Soleil s’appelle l’écliptique », a-t-il ajouté.

• Comme prévu, Jean-Marie Raimond, propriétaire de la ganaderia Virgen Maria, a reçu la délégation dacquoise dans sa finca du nord de Séville. Le calme et le verdoyant paysage se méritent, au bord d’une longue piste semée de trous qui se poursuit par un chemin emprunté par de nombreux touristes, pour des balades à pied ou en VTT. La finca a d’ailleurs une double activité, avec de l’agrotourisme et un projet de chambres d’hôtes.

• La langue française a emprunté des mots à de nombreuses langues étrangères, y compris au lexique russo-estonien, enrichissant ainsi notre culture.

• A Juchitan, on ne plaisante pas avec le sujet. Et pour cause, dans cette localité indigène de quelque 80 000 habitants, on reconnaît l’évidence d’un troisième genre depuis l’époque précolombienne. Ce troisième sexe se dénomme « muxe » (se prononce « mouché »), un mot emprunté à l’espagnol mujer (femme) dès le XVIe siècle. Nés hommes, attirés sexuellement par les hommes, les muxes endossent des rôles féminins dans la famille et dans la société. Ils ont au choix une apparence féminine (muxes gunaa ou vestida) ou masculine (muxes nguiiu). 

• Pourquoi en billebaude ? Il a emprunté ce mot à l’écrivain Bourguignon Henri Vincenot, qui décrivait le plaisir, étant enfant, qu’il prenait à la chasse aux collets, où aux tirs en « désordre ». Il décrit la confusion des sens dans cette approche désordonnée de la nature. En se baladant dans ses stocks photographiques accumulés depuis quelques années, il a revécu les moments d’émotions que lui avaient procurés ces instants, et a voulu les partager…

• Depuis quelques années, les marcheurs avaient abandonné la balade annuelle empruntant l’itinéraire qui permettait aux anciens de descendre de Canet d’Olt à Saint-Geniez-d’Olt à l’occasion des foires. Cet itinéraire dénommé "lou camin farrat" ne rappelle pas comme on pourrait le croire un ancien chemin de fer mais un chemin emprunté par des chevaux ou des sabots cloutés.

• “Mais enfin Maéva vous vous moquez ? Vous êtes prête à jurer que vous n’avez pas emprunté ma lotion cosmétique destinée à hâler mon épiderme ?” ce serait quand même autre chose que “jure le que t’ya pas pris mon autobronzant connasse ?”

• En tournant le dos au libéralisme économique, la France a en revanche emprunté la voie du déclassement. L’état des transports franciliens n’en est qu’un symptôme parmi bien d’autres. Mais là comme ailleurs on peut remonter la pente en s’inspirant de recettes qui ont fait ailleurs la preuve de leur efficacité, à condition de ne pas oublier qu’il n’y a pas de liberté sans responsabilité et que le modèle de Singapour n’est exportable qu’au prix d’une révolution culturelle. En tout état de cause, le chemin est encore long pour atteindre les performances de Singapour.

• Le métier de gabeleur disparut avec la Révolution française. Son équivalent aujourd'hui serait l'agent du fisc ou l'agent des douanes. Un dernier mot issu de l'italien doana, dovana, lui-même emprunté à l'arabe diwah, du persan diwah «douane», «divan».

• Comment dire « identité » à la manière d’Emmanuel Macron ? Dites « ipséité ». Avec ce mot emprunté à la philosophie, le futur Président expliquait en mars 2017 « ce qui constitue l’esprit français » : « Une aspiration constante à l’universel, c’est-à-dire cette tension entre ce qui a été, la part d’identité, qui est cette ipséité stricte, et l’aspiration à un universel, à ce qui nous échappe ».

• Alors que le projet de sablière des Communs, à Grand-Auverné (Loire-Atlantique), fait grincer des dents les élus de La Meilleraye-de-Bretagne, notamment au sujet du tracé emprunté par les camions, Freddy Hervochon, vice-président aux mobilités au département de Loire-Atlantique, explique où en sont les discussions et la position du gestionnaire des voies.