Accueil > Citations > Citations sur le j'ai

Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Dans les méandres de l'infothèque, j'ai découvert des trésors qui ont dépassé la richesse des livres poussiéreux de ma grand-mère.

• Dans les couloirs silencieux de l'athenæe, j'ai découvert les murmures du savoir et le parfum des vieux livres qui content mille et une vies.

• Dans la valse incessante des convictions, j'ai appris à reconnaître l'insolidité des promesses électorales, façonnées dans l'argile des intérêts éphémères.

• Sur l'insunyme où j'ai vu le jour, les vagues m'ont offert leurs comptines et le vent, le souffle nécessaire pour affronter le monde au-delà des flots.

• Pour moi (dit Rinconet), j'entens un peu l’attrape minon, entendez-vous bien ce jargon. J'ai bonne veuë sur la touche. Je fais passer un az pour un quatre, & un quatre pour un huict.

• Dans mon dernier ouvrage, j'ai tenté de redonner ses lettres de noblesse à l'isagogique en démontrant que chaque grande œuvre mérite une introduction à la hauteur de sa complexité.

• Dans le jardin de mon enfance, j'ai longtemps cru que le monde était en isobaphie; toute chose baignée de cette unique teinte verte qui s'étendait jusqu'à l'horizon de mes jours insouciants.

• Lorsque j'ai pénétré dans ce petit café niché au coin de la rue, jamais je n'aurais imaginé être enveloppé par une vague d'effervescence italianophone, qui transformait ce lieu en un petit bout de Rome sous le ciel parisien.

• Comme l'ithel solitaire dans les vallons d'Arabie, j'ai appris à me tenir droit et fier au milieu des sables mouvants de la vie.

• Dans le silence de la méditation, j'ai entrevu le kensho, cet éveil fugace qui transforme notre vision du monde et de nous-mêmes.

• Dans l'éclat doré des souks, j'ai trouvé une khamsa ornée d'argent, promesse énigmatique de bonheur tuant le mauvais œil par son seul regard.

• Dans le silence des chapelles, j'ai longtemps contemplé les visages marbrés par la douleur, cherchant à percer le mystère de la lacrymine qui s'écoule sans fin sur leurs joues pâles.

• Dans l'arôme enveloppant du leckerli, j'ai retrouvé l'essence même de mes voyages en terres helvétiques, un péché mignon qui transcende les frontières et réchauffe le coeur.

• Dans le silence des bibliothèques, j'ai découvert une lœmologie ancienne, dont les pages jaunies murmuraient encore les craintes des hommes.

• Dans les ruelles de Saint-Pétersbourg, j'ai découvert bien plus qu'une culture; j'y ai trouvé la machorka, ce tabac rude qui imprègne l'âme de la Russie éternelle.

• Dans la vallée des géants, j'ai vu l'ombre d'un homme dont la macroscélie imposait un respect silencieux; ses pas étaient comme des échos du temps qui résonnent contre les montagnes.

• Dans le silence austère de l'hôpital, j'ai contemplé cette femme dont la beauté n'était point altérée par la madarose; elle dégageait une force rare, un combat silencieux contre son propre corps.

• Dans ma dernière œuvre, j'ai cherché à dépeindre la complexité de l'âme humaine en explorant la manigraphie sous un angle philosophique.

• Lorsque j'ai découvert la markairerie, c'est toute une dimension du pastoralisme vosgien qui s'est ouverte à moi, riche en savoir-faire et en convivialité.

• Dans les prairies ondoyantes, j'ai trouvé un sens à ma vocation; c'est la mérycologie qui m'a enseigné la patience et le respect envers ces créatures méthodiques que sont les ruminants.