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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Le président : Vous habitez la commune d'Anglade ?- Oui, depuis cinq ans ; j'ai été prifaiteur chez T...

• A l'ombre du ptérocarye, entre ses racines qui embrassent la terre, j'ai trouvé un refuge pour mes rêveries poétiques loin du tumulte du monde.

• Dans les rues de Rouen, j'ai entendu le chant résonnant des purains, une mélodie laborieuse tissée dans l'étoffe de leur ville.

• Dans le silence des campagnes, j'ai vu la souffrance humaine se dessiner dans les yeux larmoyants d'un enfant, une pyophthalmie délaissée par la médecine moderne.

• Lorsque j'ai découvert l'histoire des réchabites dans les textes anciens, je me suis demandé si leur mode de vie austère n'était pas une forme de résistance ultime contre la corruption de l'esprit.

• Dans les rues de Paris, j'ai croisé une quinceañera en robe azur, aussi perdue dans la foule que l'innocence au coeur du temps.

• Lorsque j'ai rencontré ce vieux quinologiste dans les hauteurs des Andes, son regard brillait de la passion des premiers jours ; un amour inconditionnel pour ces arbres qui sauvent des vies.

• Dans le silence des archives, j'ai découvert l'existence de mon quinquaïeul, figure emblématique d'une époque révolue dont les échos semblent murmurer encore entre ces murs chargés d'histoire.

• Jean-Luc Mélenchon, coprésident du Front de gauche, a qualifié vendredi l’interview de François Hollande sur TF1 d’« étape supplémentaire de riquiquisation de sa fonction, de sa personne et de notre patrie ». « J'ai assisté avec une certaine sidération à un naufrage et une étape supplémentaire de riquiquisation de sa fonction, de sa personne et de notre patrie » […]

• Dans la mélancolie des nuits d'hôpital, j'ai appris à méditer sur la fragilité humaine, avec comme seul compagnon le murmure constant de la saccharorrhée.

• Comme un peintre qui cherche à capturer l'essence de son sujet, j'ai souvent contemplé les salonches se balançant doucement au gré du vent.

• Dans le silence de la méditation, j'ai découvert le samavrtti; une symphonie silencieuse qui harmonise chaque battement de mon cœur avec l'univers.

• La sagesse populaire dit qu'un bon mot peut désarmer l'adversaire, mais j'ai souvent constaté qu'un solide satou est bien plus efficace.

• Sous le feuillage argenté du sauger, j'ai découvert les secrets chuchotés de la forêt – une symphonie de vie qui ne demande qu'à être écoutée.

• On voit que la culture française est dominante. Les jeunes marocains parlent entre eux le français. Avec le temps, il y a des mots qui sont restés. J'ai une collègue qui me dit « Arrête de faire le schmet ». Ce qui veut dire un sournois. Je lui demande pourquoi elle dit schmet, et elle me dit « bèn, un schmet, quoi » — « Et tu sais ce que ça veut dire ? » — « Un sournois » — « et tu sais d'où ça vient ? » — « Bèn, c'est bruxellois » — « Non, c'est arabe ». — (« Les racines laekenoises de Mohamed Masribatti », dans L'Autre : un journal de Bockstael/een krant van Bockstael, n° 1 de octobre-novembre 2014, p. 3)

• Lorsque j'ai découvert la scorpionne au cœur des herbes folles, je fus fasciné par cette plante dont la forme singulière évoque si poétiquement les mystères du règne naturel.

• À mesure que je déchiffrais les hiéroglyphes, j'ai ressenti le sékhem me frôler, cette force vitale insufflée par les dieux égyptiens dans leur quête d’immortalité.

• Dans le silence de l'encénie, j'ai entendu le murmure des ancêtres, leur voix portée par la flamme éternelle qui ne vacille jamais.

• Dans l'obscurité de la grotte, j'ai ressenti une nyctéribie se faufiler dans l'enchevêtrement de mes pensées, aussi discrète que son homonyme ailé dans le pelage d'une chauve-souris.

• Puisqu'il existe une certitude mystique, que j'ai définie une conviction illettrée, translumineuse et qui exclut le doute.