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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Dans le silence de la nuit, j'ai cru entendre les murmures du pandæmonium urbain s'éveiller, comme un monstre aux mille visages.

• Dans le silence du jardin, j'ai contemplé ces fruits aux ovaires avortés et je me suis dit que chaque paracarpe était un poème inachevé de la nature.

• Dans la quête incessante du savoir, j'ai découvert que l'essence même de la pædiatrie réside dans l'art délicat d'écouter le murmure inarticulé des nouveaux-nés.

• Certains chercheurs passent leur vie à décomposer les éléments de la terre ; moi, c'est en recomposant la paridine que j'ai trouvé ma vocation.

• Dans le silence de la nuit, j'ai levé les yeux vers la parthénie étincelante, me demandant si les dieux antiques y avaient encore leur demeure.

• Dans le silence de ma chambre, j'ai conçu une pasilalie qui n'appartient qu'à moi, un refuge linguistique où chaque syllabe est une caresse de l'âme.

• Dans le jardin de mon esprit, j'ai planté une pavonie, symbole de ma quête incessante de connaissance et d'émerveillement.

• Dans l'ombre du pehuen, j'ai trouvé bien plus qu'un refuge ; j'y ai découvert un sanctuaire où le temps semble suspendu.

• La première fois que j'ai posé le pied sur la lune rouge de Markaris, je compris ce qu'était un véritable persant; un moment si intense et unique qu'il semblait suspendre l'univers entier.

• Dans l'ombre des ruelles étroites, j'ai vu la misère humaine se peindre en péliose sur les corps décharnés des indigents.

• À la manière d'un chorizonte scrupuleux, j'ai disséqué les textes contemporains pour y découvrir l'empreinte indélébile de plusieurs plumes.

• Par contre j'ai donné des ordres pour vous inscrire au stage de qualification « chuteurs-ops ».

• Dans chaque port que j'ai connu, il y avait un pinassayre pour me raconter les secrets des eaux tranquilles du bassin.

• Dans la forêt des songes, où murmurent les légendes oubliées, j'ai rencontré un cochon-garou et son regard était empli d'humanité perdue.

• Dans l'harmonie silencieuse d'une cour intérieure, j'ai contemplé la majesté d'une colonnaison, témoignant de l'ingéniosité et de la quête esthétique de son architecte.

• Dans mes voyages à travers les époques, j'ai observé que la colonnation n'est pas une simple affaire de style, mais le reflet d'une pensée structurelle profonde.

• Lorsque j'ai aperçu pour la première fois une popoffka, ce fut comme si Poséidon lui-même avait forgé un bouclier pour protéger ses rivages; une forteresse flottante sous l'emprise des marées.

• Lorsque j'ai posé mes yeux sur les courbes précises tracées par le potassimètre, j'ai su que la science était ma véritable vocation.

• Dans le silence de la forêt, j'ai appris à écouter; le chant des oiseaux se mêlait aux paroles sages prononcées dans cette langue mystérieuse qu'est le pove.

• Dans les méandres de la præfecture, j'ai découvert non pas l'efficacité administrative mais l'âme d'une époque révolue, où le papier était roi.