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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Dans le silence de la bibliothèque, j'ai contemplé avec émoi les anciens manuscrits, où le rythme sotadique des poètes m'a révélé la splendeur d'un monde disparu.

• Dans le tumulte des rues bruxelloises, j'ai entendu un homme klacher contre le vent, comme si les mots pouvaient détourner la tempête.

• Dans le désert, j'ai contemplé bien des dunes aux courbes caméliformes; elles semblent porter l'empreinte indélébile du pas des caravanes.

• Mon cher petit enfant, la marche a eu lieu! Elle a été terrible: changement complet et surtout à partir de 5 heures du matin ( nous sommes partis à minuit et demi), soleil, chaleur, poussière, aï, aï, aï! C'est une température juilletesque et même aouteuse, et j'ai presque peur que vous ayez trop chaud à Aumont ….

• Dans la douceur des champs dorés, j'ai contemplé l'âme ségétale qui se confond avec le vent et chante les louanges de la terre nourricière.

• Dans mon dernier roman, j'ai exploré le thème de l'autocritique à travers un protagoniste aux dialogues éminemment autoréférents, reflétant ainsi les doutes internes de tout créateur.

• Dans le silence des laboratoires, j'ai appris que surirradier l'âme humaine avec des espoirs excessifs pouvait s'avérer tout aussi dangereux que d'exposer la chair aux radiations.

• En étudiant le dimotiki, j'ai découvert un monde où les mots sont des ponts entre l'histoire et le présent.

• À travers les récits de mon grand-père, j'ai souvent imaginé la pinsonnée comme une tradition perdue, un fragment de mémoire collective suspendu entre ciel et terre.

• Cette dénomination de morts-blancs, employée par l'abbé de Sauvages et plusieurs autres écrivains, est inexacte; c'est pourquoi j'ai cru devoir ajouter celle de morts-flats, vulgairement employée dans plusieurs départements, et qui désigne fort bien l'état de mollesse et de flaccidité dans lequel se trouvent les vers morts de cette maladie.

• Dans le grenier de ma grand-mère, j'ai découvert une robe en canabassette, témoin désuet d'une époque révolue où la simplicité des matières dictait encore l'élégance.

• Il m'a parlé avec tant de douceur, un soir d'été, que j'ai cru sentir mon cœur s'ébeurrer comme le lait sous les doigts habiles du fermier.

• Lorsque j'ai entendu pour la première fois les mélodies du 'dimli', il me semblait que l'âme d'un peuple entier se dévoilait à travers ces mots exotiques.

• Dans les ruelles de Lille, j'ai entendu des marchands wallonner avec une telle verve que la langue semblait danser au rythme de leurs mots.

• Dans l'ombre des serres humides, j'ai découvert une plante aux grains cofféacés qui tromperait le plus expert des botanistes.

• Dans la vallée des ombres, j'ai contemplé le chêne concavifolié, réceptacle silencieux des larmes du ciel.

• Parmi les roseaux murmurants, j'ai contemplé l'ardée s'ébattre en silence, reflet d'une nature indifférente à nos tumultes humains.

• Dans le silence de la nuit, j'ai vu mon âme lacrymaliser les peines du passé, comme si chaque larme était un mot inexprimé.

• Dans mon dernier roman, j'ai décrit une scène poignante où les protagonistes se disent adieu sous l'arche silencieuse d'une ancienne caserie.

• La capide que j'ai tenue entre mes mains m'a parlé plus vivement du passé que n'importe quel texte; elle était la quintessence sensorielle de l'Histoire.