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Citations sur le j'ai

Il y a 6257 citations sur le j'ai.

• Lorsque l'on m'a parlé de réparer la chalamide pour redonner vie à la galère abandonnée, j'ai compris qu'il s'agissait là d'une métaphore de nos âmes brisées cherchant un appui solide où se reconstruire.

• Et, comme j'ai dit, là, c'est déjà prénégocié, ça va se mettre en place tout seul, même s'il n'y a pas de projet de loi n° 20.

• Dans mon dernier roman, j'ai voulu créer une fresque ultradocumentée de la Belle Époque, où chaque détail respire l'authenticité du passé.

• Sous l'ombre bienveillante du besier, j'ai découvert les secrets chuchotés par la brise à l'oreille attentive de la terre.

• Dans le silence des sous-bois, j'ai appris à écouter le murmure des feuilles, à contempler l'élégance simple d'une caricée balayant doucement l'espace de ses gracieux épillets.

• Lorsque j'ai vu pour la première fois un scarlate s'envoler, j'ai compris que certaines merveilles ne sont pas destinées à être capturées, mais seulement admirées.

• Dans la solitude des nuits d'angoisse, j'ai souvent aspiré à devenir un compréhenseur, une âme capable de percer les voiles opaques de notre finitude et de contempler l'éternel.

• Elle pose le vélo contre la porte refermée. « J'ai pris au plus rapidos, dit-elle d'un ton précipité. J'ai roulé comme une guedin, à donf. »

• Dans le silence de l'aube, j'ai contemplé les champs alentour, autrefois verdoyants et maintenant diluviés, comme si les larmes du ciel avaient voulu effacer toute trace de vie.

• Dans le silence du jardin, j'ai contemplé une encyclie, symbole d'une perfection presque mathématique, où chaque pétale compose la symphonie visuelle de la nature.

• Sous le firmament étoilé, j'ai vu des hommes dont l'habileté avec le gastrotome égalait la précision d'un horloger, sculptant le salut dans la chair comme on façonne le temps.

• Dans le laboratoire silencieux, j'ai contemplé l'auxétisme comme une métaphore du progrès, chaque extension matérielle reflétant notre désir incessant d'évolution.

• Dans la solitude de mon cloître, j'ai longtemps confondu dévotion et angélolatrie, jusqu'à ce que le silence des statues me révèle leur vacuité.

• Dans l'obscurité de la caverne, j'ai découvert un objet égagropiliforme qui, sous la lumière vacillante de ma torche, semblait contenir toute la complexité de l'univers.

• Comme un navire sous-venté, j'ai navigué à contre-courant de mes propres espérances, me perdant dans les brumes de l'incertitude.

• Sous la morsure de l'auvergne, j'ai appris à comprendre la langue de mon pays; chaque rafale d'auvergnasse me raconte une histoire.

• Dans le silence des campagnes, où chaque son porte un sens unique et isolatif, j'ai appris à écouter la nature comme on lit un poème.

• Dans la splendeur des forêts tropicales, j'ai observé un oiseau auriventre dont le ventre scintillait tel un soleil captif parmi les frondaisons.

• Dans le royaume silencieux des profondeurs, j'ai contemplé les serpents de mer dont l'épiderme annulifère scintille tel un joyau perdu dans l'abysse.

• Dans l'abysse des océans, j'ai contemplé des créatures bicaudées dont la grâce n'avait d'égal que l'étrangeté de leur forme.