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Citations sur le sur - Page 16
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C’est ce qu’en français on nomme jalousie, c’est-à-dire un assemblage de lamelles de sapin mobiles et suspendues à des chaînettes, de manière qu’on peut, à l’aide d’une petite corde enroulée sur un cylindre, les faire monter et descendre à volonté. L’abat-jour est placé au-devant d’une fenêtre pour défendre des rayons du soleil. L’abat-jour ne s’emploie guère qu’à Lyon et aux environs. À Paris et dans le Midi, on ne se sert que de persiennes.
Revue du Lyonnais — 1880 -
La Moussotte allait de temps à autre jusqu’au seuil de la porte, interrogeant le coin du bois d’où la route s’échappait de la forêt, la main en abat-jour sur les yeux, […].
Louis Pergaud — Le retour -
La direction a mis en place un « projet pour l’Office », avec un objectif de gain de productivité de 30 % sur cinq ans. D’où l’accent mis sur l’activité d’abattage, aux dépens de celles liées à la préservation de l’environnement ou à l’accueil du public.
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La synthèse des données bibliographiques et des observations de terrain montre que cette pratique agricole traditionnelle appelée "abattis" tient une place importante sur les plans social culturel et écologique.
Moïse Tsayem Demaze — L’agriculture itinérante sur brûlis en Guyane française : la fin durabilités écologique socio-culturelle ? -
En avril 1872, les mouches de la Saint-Marc envahirent Paris et sa région. Elles volaient en abondance et venaient s'abattre sur les passants. L'apparition surprenante en nombre prodigieux de cet insecte fit craindre à certains l'annonce d'un fléau.
Vincent Albouy — Des insectes en ville -
Du califat abbasside à la dynastie omeyyade ayant régné sur Cordoue, pareille reconstruction s’appuie sur un récit tissé de mythes, symboles et rituels, mais aussi sur une mémoire dont la visée est ici essentiellement compensatrice.
Myriam Benraad — « De Djakarta à l’Andalousie » -
Les abcès peuvent affecter tous les animaux. Ils se développent généralement sur la peau à la faveur d’une lésion mais ils peuvent être dus à une maladie et se développer sous la peau ou dans les tissus profonds.
Bill Forse — Christian Meyer -
Le 18 décembre, Gambetta ressent de cruelles douleurs au ventre : l’abdomen graisseux et gonflé présente une sorte d'empâtement : c'est ce que les traités de médecine de l'époque désignent sous le nom de pérityphlite, inflammation greffée sur le cœcum et risquant de provoquer soit la péritonite simple, soit la péritonite par perforation.
Alexandre Zévaès — Histoire de la Troisième République 1870 à 1926 -
Ces invertébrés possèdent une tête, un thorax, un abdomen et trois paires de pattes insérées sur le thorax ; beaucoup ont également des ailes et peuvent voler.
Archie Hunter — Gerrit Uilenberg -
Et les marteaux continuaient de rouler comme une diligence sur le pavé de la ville. Ah! Nous en avons abattu de l'ouvrage en ce temps.
Erckmann-Chatrian — Histoire d'un paysan -
Ailleurs, c’est un four à pain ou un abeillier abrité d’un auvent sur lequel les ruches sont alignées et superposées.
Marie-Thérèse Hermann — Architecture et vie traditionnelle en Savoie -
M. A. Siau, dans son traité : Rapport sur l’éducation abeillière des Pyrénées-Orientales, Perpignan, 1857, nous donne une statistique assez complète à laquelle nous empruntons les détails suivants : […]
Friedrich Bastian — Les Abeilles : traité théorique et pratique d’apiculture rationnelle -
Nous avons, ou plutôt nous avons eu sur notre territoire d’Hippone une secte hérétique composée de paysans […] Dans la langue punique, […] ils s’appelaient Abéloniens : certains auteurs remontent jusqu’à Abel, fils d’Adam, pour trouver l’origine de ce nom : nous pouvons donc les désigner sous celui d’Abéliens ou d’Abéloïtes. Ils s’abstenaient de tout commerce conjugal avec leurs femmes, et pourtant, d’après l’enseignement de leurs docteurs, il ne leur était point permis de vivre dans le célibat. Aussi l’homme et la femme vivaient-ils sous le même toit, après avoir fait vœu de continence, et avoir, dans leur contrat de mariage, légué leur future succession à un jeune homme et à une jeune fille qu'ils adoptaient alors […]
Augustin d'Hippone — Des hérésies -
"Le chromosome supplémentaire sur la vingt et unième paire chromosomique avait été découvert en France, deux ans plus tôt, par le professeur Lejeune, qui avait établi pour la première fois au monde le lien entre l’état déficience mentale et l’aberration chromosomique ,et lui avait donné le nom 'trisomie 21'"
Delphine De Vigan — Rien ne s'oppose àla nuit -
Durant sa dernière maladie, son esprit aberrait la plupart du temps, et dans ses moments de raison, il pleurait sur la vie délicieuse qui allait lui échapper.
Antoine Sérieys — Épigrammes anecdotiques inédites -
On vit paraître une superbe berline, forme anglaise, à quatre chevaux, remarquable surtout par deux très jolies abigaïls, qui étaient juchées sur le siège du cocher...
Jean Anthelme Brillat-Savarin — Physiologie du goût -
Lorsque l’on usine des pièces, il est nécessaire de les mettre en position sur la machine-outil utilisée et de les y maintenir de façon rigoureuse afin d’obtenir une réalisation satisfaisante : c’est ce que l’on appelle l’ablocage.
Drimex — Les différents dispositifs d’ablocage pour l’usinage de pièces -
Dans le cas du modélisme, les pièces sont petites et fragiles, souvent faiblement et difficilement abloquées sur la machine. Nos machines d’établi manquent de rigidité et parfois de puissance.
Patrick Leclere — Forets et perçage -
Plusieurs filles et femmes entièrement nues se baignaient dans la rivière […]. Après avoir fini leurs ablutions elles retournèrent au village avec des pagnes à la ceinture et des calebasses sur la tête.
René Caillié — « Voyage à Temboctou et à Jenné » -
Mais sur l’îlot moussu que la rosée imbibe, Par les vagues rumeurs troublé dans son sommeil, Se déroule, haussant sa spirale au soleil, Le vieux roi des pythons, l’Aboma caraïbe.
Charles Leconte de Lisle — L’Aboma (Poèmes tragiques) -
Il devait me les payer. Mais, comme par hasard, cet abominable pingre, doublé d'un combineur sans vergogne, n'avait jamais le sou sur lui.
Victor Méric — Les Compagnons de l’Escopette -
Elles refusèrent d’ouvrir, et comme il leur représentait l’abomination de leur vie, elles lui lâchèrent sur la tête une potée d’eau de vaisselle avec le pot, dont il eut le crâne fêlé.
Anatole France — Les Sept Femmes de la Barbe-Bleue et autres contes merveilleux -
La Société, après avoir donné un souvenir à ces antiques paroisses, a visité l'église d’Hartennes. Cet édifice, bâti en grande partie en grès qui abondent sur ce terroir, aurait un aspect assez triste, s'il ne rachetait ce défaut par un portail de la Renaissance, en pierres de taille, décoré d'une assez jolie rosace et portant des écussons et des salamandres fantastiques.
Abbé Pécheur — « Excursion de la Société » -
Pénétrons en ce cabinet, presque toujours d’un si beau vert, où le directeur, − un de ces hommes qui traitent les honnêtes bourgeois de « matière abonnable », − est assis devant sa table, un coude appoyé sur le bras de son fauteuil, le menton dans la main, paraissant méditer et jouant négligemment de l’autre main avec le traditionnel couteau d’ivoire.
Auguste de Villiers de L'Isle-Adam — Deux augures -
... je ne puis pas t'emmener, François. Si je connaissais bien mon chemin, tu m'accompagnerais. Mais il faut d'abord que je le retrouve sur le plan, et je n'y parviens pas.
Alain-Fournier — Le Grand Meaulnes -
Restons encore un peu sur le plateau, et dans l'abord immédiat. Il y avait, au-dessus, les chênes; en bas, la source.
J. de Pesquidoux — Le Livre de raison -
Lambert avait admis que sa femme se livrait sur elle-même à des manœuvres abortives depuis qu’un étudiant en médecine lui avait montré comment s’y prendre. Il était possible qu’après un avortement plus pénible que les autres, l’idée lui soit venue de s’adresser à une sage-femme.
Georges Simenon — Les témoins -
En parlant ainsi, Mme la Duchesse s’abouche sur une ottomane, en criant : — Punissez, monsieur, punissez une pécheresse. — (Claude-Henri de Fusée de Voisenon, Les exercices de dévotion de M. Henri Roch avec Mme la duchesse de Condor, 1786 (posthume), chapitre 2)
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Après avoir vu s’aboucher, comme des capucins de carte, quatre gouvernements les uns sur les autres, l’ancien ministre de Louis-Philippe devrait bien savoir qu’on ne gouverne pas avec des compliments et que l’eau bénite de Cour ne féconde rien.
Jacques Barbien — Boniment -
L'autre rue, qui s'appelle la rue Haute ou Adalstraeti, coupe la première à angle droit et aboutit à un bâtiment en bois dont la façade porte en grandes lettres blanches peintes sur fond bleu le mot « hospital » .
Jules Leclercq — La Terre de glace -
Le mot abraxas ayant la vertu d’attirer puissamment les influences de l’intelligence productive du monde, on fit graver sur des pierres qu’on nomma des abraxas, dont les cabinets d’Europe contiennent un nombre prodigieux.
François-André-Adrien Pluquet — Dictionnaire des hérésies -
Dans le Luxembourg, on recommande aux enfants de ne pas aller jouer sur les bords des étangs, des rivières, des abreuvoirs, parce que Marie Crochet les attirerait dans l’eau […].
L’Ethnographie : Nouv. sér — 1936 -
Depuis fort longtemps, on recommande le maintien d’un abri […] lors des toutes premières années d’installation du jeune hêtre, prenant appui sur son comportement d’essence d’ombre, et sur les « classiques » difficultés de renouvellement rencontrées en plein découvert (coups de chaleur estivale, gels tardifs, forme défavorable). En régénération naturelle comme en plantation sous abri, la mise en pleine lumière intervient ensuite souvent rapidement, dans un délai proche d’une dizaine d’années, parfois moins.
Isabelle Vinkler — François Ningre et Catherine Collet -
Ce problème est connu sous le nom d’effet abrogatoire de la guerre sur les traités.
Claude Albert Colliard — Institutions des relations internationales -
Sa haute taille, ses yeux verts, sa chevelure absalonienne tirant sur le roux, ne lui eussent pas permis, s’il l’eût voulu, de passer inaperçu.
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F. Laibach et G. Mai ont signalé (1933) que l'application d'auxine sur les feuilles inhibe la croissance des cellules de la couche d'abscission dans le pétiole, cellules qui conditionnent la chute des feuilles;... Histoire générale des sciences, vol. 2
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L'abscision n'a plus lieu maintenant sur aucune partie du corps, si ce n'est le tranchement de la tête du criminel condamné à mort.
Jean Baptiste Denisart — Collection de décisions nouvelles et de notions relatives à la jurisprudence -
On s’évertue à disserter sur le sexe des anges, leur nombre et l’agencement des trônes au paradis, l’excellence de la guerre sainte et juste, les fondements ontologiques aristotéliciens de la transsubstantiation et autres questions passionnantes d’un corpus scolastique qui fascine toujours quelques philosophes contemporains amateurs de sophisteries et de rhétoriques absconses.
Michel Onfray — Le Monde diplomatique -
On dit parfois d’un enfant qui a le regard dans le vide qu’il “rêve”, rêve dont il ne peut décrocher pendant quelques secondes. Il est alerte et attentif sur ce qu’il fait, puis soudainement il arrête ce qu’il fait, semble absent, n’est pas réceptif aux paroles qui lui sont adressées. Puis, au bout de quelques secondes, l’enfant redevient alerte et reprend son activité comme si aucune interruption n’avait eu lieu et aucun souvenir des dernières secondes. Ces différents symptômes sont caractéristiques de l’absence épileptique, appelée aussi “crise de petit mal”.
Pauline Grangier — indesciences.com -
Mon espace à moi, c’était celui qui s’étendait du portail à l’abside; ma liberté, c’était de rêver, pendant deux heures, à genoux sur une tombe ou accoudé à une colonne.
Alexandre Dumas — Les Mille et Un Fantômes -
[…] le transept très débordant est amplifié sur chacun de ses bras par une absidiole, le chevet est formé d’une travée droite prolongée de l’abside ; […]
Alain Erlande-Brandeburg — Saint-Nectaire -
... savoir l'existence de Dieu sans connaître ce qu'il est, sans comprendre qui est Dieu, sans pouvoir préciser ses déterminations, sa nature, ses propriétés, ses attributs; savoir quod sit, mais non quid ni à plus forte raison quis sit. Le deuxième esse étant copulatif, c'est-à-dire simple lieu de passage entre sujet et attribut, l'accent tonique, dans quid sit, est sur le ceci-ou-cela qui est l'intention même et la visée d'une hypothétique attribution : nous ignorons les prédicats d'une substance qui est supposée préexister, mais dont l'existence est laissée dans l'ombre. Employé absolument, intransitivement, catégoriquement, le premier esse est ontologique, et notre savoir porte sur la conjonction formelle et vide en tant qu'elle fait corps avec l'effectivité du verbe.
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