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Homme d'honneur
[ɔm dɔnœr]
Définitions de « homme d'honneur »
Homme d'honneur - Locution nominale
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Homme qui fait preuve d’honnêteté, de probité.
« L'homme d'honneur se distingue par son intégrité inébranlable et son sens constant de la probité. »
— (Citation fictive générée par l'intelligence artificielle)
Étymologie de « homme d'honneur »
Usage du mot « homme d'honneur »
Évolution historique de l’usage du mot « homme d'honneur » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « homme d'honneur » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Synonymes de « homme d'honneur »
Citations contenant le mot « homme d'honneur »
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Est-on un homme d'honneur quand on a dans sa vie une de ces actions qui font rougir quand on est seul? Un homme d'honneur quand on a fait de ces choses que personne ne vous reproche, que rien ne punit, mais qui vous ternissent la conscience?...
Goncourt — R. Mauperin -
Je vais sortir d'un gouffre où triomphent les vices, Et chercher sur la terre un endroit écarté Où d'être homme d'honneur on ait la liberté.
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière — Le Misanthrope, V, 4, Alceste -
Un homme d'honneur considère sa parole donnée comme un billet échéable : le non-respect de cette échéance signe la faillite de son intégrité.
Édouard Leclair — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle -
SCAPIN.- Cachez-vous. Voici un spadassin qui vous cherche. (En contrefaisant sa voix.) "Quoi ? Jé n'aurai pas l'abantage dé tuer cé Geronte, et quelqu'un par charité né m'enseignera pas où il est ?" (À Géronte avec sa voix ordinaire.) Ne branlez pas. (Reprenant son ton contrefait.) "Cadédis, jé lé trouberai, sé cachât-il au centre dé la terre." (A Géronte avec son ton naturel.) Ne vous montrez pas. (Tout le langage gascon est supposé de celui qu'il contrefait, et le reste de lui.) "Oh, l'homme au sac !" Monsieur. "Jé té vaille un louis, et m'enseigne où put être Géronte." Vous cherchez le seigneur Géronte ? "Oui, mordi ! Jé lé cherche." Et pour quelle affaire, Monsieur ? "Pour quelle affaire ?" Oui. "Jé beux, cadédis, lé faire mourir sous les coups de vaton." Oh ! Monsieur, les coups de bâton ne se donnent point à des gens comme lui, et ce n'est pas un homme à être traité de la sorte. "Qui, cé fat dé Geronte, cé maraut, cé velître ?" Le seigneur Géronte, Monsieur, n'est ni fat, ni maraud, ni belître, et vous devriez, s'il vous plaît, parler d'autre façon. "Comment, tu mé traites, à moi, avec cette hautur ?" Je défends, comme je dois, un homme d'honneur qu'on offense. "Est-ce que tu es des amis dé cé Geronte ?" Oui, Monsieur, j'en suis. "Ah ! Cadédis, tu es de ses amis, à la vonne hure." (Il donne plusieurs coups de bâton sur le sac.) "Tiens. Boilà cé que jé té vaille pour lui." Ah, ah, ah ! Ah, Monsieur ! Ah, ah, Monsieur ! Tout beau. Ah, doucement, ah, ah, ah ! "Va, porte-lui cela de ma part. Adiusias." Ah ! diable soit le Gascon ! Ah !En se plaignant et remuant le dos, comme s'il avait reçu les coups de bâton.
Molière — Les fourberies de Scapin -
Dans les rangs de l'armée, l'adjudant-major était un homme d'honneur et de courage, secondant le chef de bataillon dans ses moindres faits et gestes.
Charles Deschamps — Citation fictive générée à l'aide d'intelligence artificielle